Phèdre Commentaire Composé Dénouement

exalter sous un autre 24 ». Ce type d’approche offre la possibilité de lire un texte en prenant en compte le fond et la forme. Lire une œuvre littéraire provoque un plaisir esthétique parce que le lecteur se délecte de la manière dont le créateur a composé son ouvrage. Mais la lecture excite aussi les passions, puisque le lecteur est confronté aux émotions qu’elle provoque en son for intérieur. Le texte littéraire est un espace où l’esthétique et les émotions ne font plus qu’un25. L’inconscient s’actualise

(page 19) - l’intérêt littéraire (page 29) - la langue (page 29) - le style (page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne lecture ! RÉSUMÉ Première partie : ‘’Fantine’’ Livre premier : ‘’Un juste’’ Évêque de Digne depuis 1806, M. Myriel, qui avait eu une jeunesse agitée avant de devenir Monseigneur Bienvenu, et qui, jusque dans

créateur appliquée aux images, posture que l’artiste adosse à une déconstruction ironique des leurres de notre présent. Aussi, avec ces études, on renoncera semble-t-il définitivement au fantasme d’une modernité sans mélange, qui n’aurait jamais à composer avec le passé vivant des traditions. Comparatismes -n° 1Février 2010 22 Audrey GIBOUX – Tradition, Modernité : un éternel retour ? Préface La modernité, devenue un enjeu esthétique de premier plan en Occident après Baudelaire et Rimbaud

les fragments de novembre 1922, à la NRF pour les suivants: l'entrelacement des fils narratifs du roman oblige à des découpages et à des transitions nouvelles, ce qui faisait écrire à Proust, qui aurait bien préféré avancer l'ensemble du roman: "Composer pour moi ce n'est rien. Mais rafistoler, reboutir, cela passe mon courage" (Lettres NRF, p. 153). Dans "La regarder dormir", il modifie le prénom de l'héroïne en Gisèle, pour éviter tout risque de confusion avec l'extrait donné aux Oeuvres libres

des ducs de Bourgogne, « chef d’œuvre d’histoire et de littérature » qui inspirera Deux Mains sur une couronne et Loys XI. Fin de la rédaction de Frédégonde et Brunehaut : « Je suis encore indécis si je dois le faire imprimer ». « Des narrations à composer », sans doute les Narrations et discours. Flaubert a lu les œuvres de Beaumarchais : « C’est là qu’il faut trouver les idées neuves ». Il est « occupé au théâtre du vieux Shakespeare […] en train de lire Othello ». Il va emporter en voyage l’Histoire

maximes. Mais si nous parlons de ses ouvrages, ils sont infinis, et nous n'apprenons pas que nul ancien ait plus écrit que Théophraste. Diogène Laërce fait l'énumération de plus de deux cents traités différents et sur toutes sortes de sujets qu'il a composés. La plus grande partie s'est perdue par le malheur des temps, et l'autre se réduit à vingt traités, qui sont recueillis dans le volume de ses oeuvres. L'on y voit neuf livres de l'histoire des plantes, six livres de leurs causes. Il a écrit des vents

ne point supposer ce qui est faux, je veux dire que le grand ou le beau monde sait sa religion et ses devoirs ; et ne pas appréhender de faire, ou à ces bonnes têtes ou à ces esprits si raffinés, des catéchismes ; ce temps si long que l’on use à composer un long ouvrage, l’employer à se rendre si maître de sa matière, que le tour et les expressions naissent dans l’action, et coulent de source ; se livrer, après une certaine préparation, à son génie et au mouvement qu’un grand sujet peut inspirer

Mais si nous parlons de ses ouvrages, ils sont infinis, et nous n’apprenons pas que nul ancien ait plus écrit que Théophraste. Diogène Laërce fait l’énumération de plus de deux cents traités différents et sur toutes sortes de sujets qu’il a composés. La plus grande partie s’est perdue par le malheur des temps, et l’autre se réduit à vingt traités, qui sont recueillis dans le volume de ses œuvres. L’on y voit neuf livres de l’histoire des plantes, six livres de leurs causes. Il a écrit des

ans, je quittai l’école et travaillai à la maison et aux champs aux côtés de mes parents et de mes frères et sœurs. À dix-sept, je me mariai. 31 3 Le caniche comme totem Dans l’imaginaire collectif, le couple de concierges, duo fusionnel composé d’entités tellement insignifiantes que seule leur union les révèle, possède presque à coup sûr un caniche. Comme chacun sait, les caniches sont des genres de chiens frisés détenus par des retraités poujadistes, des dames très seules qui font un report

une infinité de genres. Il y a, d’abord, le genre mélancolique et romantique, qui se signale par des immortelles, des ruines, des tombeaux, et « un ex-voto à la Vierge, indiquant la place où un seigneur est tombé sous le fer d’un assassin ». On compose le genre terrible avec des rocs suspendus, des arbres fracassés, des cabanes incendiées, le genre exotique en plantant des cierges du Pérou « pour faire naître des souvenirs à un colon ou à un voyageur ». Le genre grave doit offrir, comme Ermenonville