Phytoplancton

mg/l / DCO : 90 mg/l / MES : 30 mg/l. Dans le cas particulier d’une filière de traitement par lagunage le seuil concernant le paramètre MES est ramené à 150 mg/l. Cette technique d’épuration par lagunage favorise, entre autre, le développement de phytoplancton qui se retrouve dans l’effluent épuré. Ainsi, la concentration en MES en sortie de lagunage mesure, en plus de la pollution particulaire résiduaire, une part liée à la production algale qui n’est pas synonyme de pollution. Les objectifs d’épuration

l’écoulement depuis la terre de matières en suspension, herbicides, pesticides et engrais, peut avoir un impact sur le récif34. Les études dans le lagon de la Grande Barrière montrent qu’une augmentation significative des concentrations de phytoplancton a eu lieu depuis 65 ans. L’augmentation de l’utilisation du récif peut aussi être vue comme une menace avec la décharge des détritus des bateaux, les dommages physiques au récif causés par les ancres, les plongeurs et leur contact avec les

bivalve de l'étage intertidal, qui vit enfoui dans des sédiments sablo-vaseux jusqu'à une profondeur de 7 centimètres. C'est un organisme filtreur, à l' instar de Mytilus edulis, et suspensivore, qui se nourrit de détritus particulaires, de phytoplancton et de microzooplancton présents dans la colonne d'eau audessus du fond (Harino et al., 2005). Mytilus edulis est un bivalve filtreur épibenthique très abondant dans les zones de substrat dur de l'étage intertidal (Harino et al. , 2005), où il

en Bretagne, près de Nantes, où les vagues sont moins puissantes. Mais là encore, ces algues avaient été modifiées par biologie de synthèse. Or elles ont échangé des gènes avec du plancton de même taille et de nature voisine. Rapidement, le phytoplancton fut à son tour contaminé et commença également à hyperproduire de l’hydrogène, mais aussi du diméthylsulfoxyde (DMSO) en excès. Or le DMSO crée des « germes de nuages » et des points de germination cristallisés, minuscules cristaux de glace

nitrates en excès provoquent la prolifération d’espèces végétales. Par exemple, en Bretagne, le phénomène des « marées vertes » résulte de la prolifération d’algues vertes du fait de l’excès d’azote des rivières qui arrive en mer. Le développement du phytoplancton peut contaminer les coquillages. En rivière, un phénomène d’eutrophisation peut se produire avec une réduction du taux de dioxygène entraînant la mort de nombreuses espèces animales aquatiques. Pour ces raisons, il est très important d’agir afin

un delta (celui du Gangue ou du Brahmapoutre), soit un estuaire (celui des Célèbes en Sulawesi pour la 7ème) Cette bactérie peut se présenter dans cet environnement sous différentes forme [12] : une forme libre mobile, une forme symbiote de phytoplancton, une forme commensale de zooplancton et en particulier des copépodes, une forme en dormances lorsque les conditions environnementales deviennent préjudiciables à sa survie. Etat qui empêche la détection du vibrio par la technique de culture

climats (l’effet de serre, la couche d’ozone altérée…). C’est aussi de lui dont dépend, en partie, la pureté de l’eau (les pluies acides…). Sa régénération est en grande partie assurée par les forêts, mais également par les océans (les algues, le phytoplancton…). L’eau On présente traditionnellement l’eau, dans les cours de physique-chimie, comme un liquide incolore, neutre, inodore et sans saveur. Pourtant l’eau est l’un des éléments les plus indispensables à la vie. La liste des usages qu’on en fait

1983).  Chez une algue unicellulaire, des travaux réalisés sur Thallassiosira weissflogii ont montré que le cadmium peut jouer un rôle bénéfique en substituant au zinc dans certains métallo-enzymes et pourrait donc favoriser la croissance des phytoplanctons lorsque le zinc fait défaut (Price et Morel, 1990). 6 I.3. Origine des métaux lourds Les métaux se retrouvent dans la croûte terrestre: c'est la source ultime, ils ne sont pas créés ni détruits par les humains. Ils sont redistribués naturellement

de l’ozone stratosphérique porte en lui le germe d’un accroissement des cancers de la peau et, peut-être, d’autres pathologies. La croissance de diverses plantes en est également affectée, d’où un impact probable sur les capacités vivrières. Le phytoplancton serait abîmé et pour partie détruit, alors qu’il est à la base de la chaîne alimentaire sousmarine. Les pluies acides, qui correspondent à des précipitations dont l’acidité est plus forte qu’usuellement (pH < 5,6), appauvrissent les sols et perturbent

Océans) à l’autre. Il y a lieu de s’inquiéter de ce que la température des eaux du courant des Canaries se soit élevée, depuis 1985, de 1,5°C, et seulement de 0,5°C dans les 3 autres EUBE. Il en est résulté une baisse de la productivité du phytoplancton dans la première région, spécialement à proximité des littoraux africains de la zone, pendant qu’il y a eu hausse dans les autres zones. L’augmentation de la température de l’eau provoque des effets en chaîne. Le brassage des eaux est d’autant