Photographie Sentiment

les copains étaient là, et la maîtresse était en train de gronder Geoffroy qui était venu habillé en martien. Geoffroy a un papa très riche qui lui achète tous les jouets qu’il veut. Geoffroy disait à la maîtresse qu’il voulait absolument être photographié en martien et que sinon il s’en irait. Le photographe était là aussi, avec son appareil, et la maîtresse lui a dit qu’il fallait faire vite, sinon nous allions rater notre cours de mathématiques. Agnan, qui est le premier de la classe et le chouchou

la vie, emprunte du réel. godard dit: « la règle c’est la culture, et l’exception c’est l’art » LOUIS LUMIERE- film : aller au cinéma : Renoir interviewé - il nous dit a proposé des film de lumières : il dit que revoir les films lui donne un sentiment intime de comprendre l’histoire de manière fin, plus fort et que le cinématographe construit un rapport avec l’histoire. Renoir parle d’une « reconstruction ». Il savait déjà que le cinématographe aurait changé la manière de voir le monde, l’histoire

peut penser aux collages de Braque et aux fragments de lettres disposés dans certaines œuvres de Picasso (les uns et les autres autour de 1912). • Avec dada, c’est l’invention du photomontage (vers 1917). Des artistes assemblent des morceaux de photographies dont ils ne sont pas les auteurs et créent ainsi leurs propres œuvres. • Rodtchenko, chef de file du constructivisme (largement soviétique) utilise un procédé semblable dans ses œuvres graphiques. 3 Il conçoit notamment l’affiche de Kino-Glaz

deux points de fuite « Née du désir aveugle, qui ne voit pas encore son objet, l’aventure imaginaire aboutit à l’extase heureuse, qui perd de vue tout objet. Les moments les plus précieux de la rêverie sont ceux où la conscience, submergée par le sentiment tout puissant, oublie toutes les images qui lui ont servi de prétexte. Ainsi le domaine propre de l’imagination se délimite entre une obscurité première et un éblouissement final qui paraissent se rejoindre. » J. Starobinski, L’ oeil vivant L’usage

disparition sont les thèmes récurrents de sa démarche. Dans un premier ensemble d’œuvres, il constitue une mythologie personnelle autour de son enfance reconstituée et mise en scène. Il s’intéresse ensuite à un passé plus collectif, expose des photographies, des vêtements ayant appartenu à des personnes anonymes et fait référence aux événements tragiques de l’histoire. Sans jamais ne donner que cette lecture Christian Boltanski affirme lui-même que la Shoah est bien un élément présent dans son œuvre

un autre corps jusqu' a l épuisement. Elle a de nombreuses fois frôlé la mort pour mettre en évidence la force mentale contre la force physique. Le corps humain et le corps animal : Oleg Kulik [pic] [pic] Dans ses performances et ses photographies, Oleg kulik se met en scène dans des situations animales. Ainsi, il compare les réactions de sont corps par rapport à celui de l'animal en particulier un chien. Ses œuvres souvent provocantes étudient le lien entre l'homme et l'animal ainsi que

En synthèse. Au départ, le terme « cliché » appartient au vocabulaire typographique (plaque qui porte une composition en relief et qui permet sa reproduction en un grand nombre d'exemplaires) et photographique (pour désigner le négatif d'une photographie). Plus tard, le cliché désignera également une idée toute faite et sans originalité (qui se répète à l'identique, comme un cliché typographique ou photographique). Dans le domaine de la sociologie, les clichés sont relatifs à une culture donnée

l'extrême gauche de la photographie. Celle-ci est intensifiée par la rangée de ces 12 jeunes filles de dos ainsi que par la longueur de leur chevelure. Les cheveux défaits s'harmonisent avec la nature. Le « mur » créé par ces demoiselles attirent et ralentissent le regard. Leurs corps faisant le lien entre la terre et le ciel, le premier et le troisième plan. Le troisième plan est la continuité de la nature par le sommet de la montagne, semblant toucher les nuages. Cette photographie, de par son naturel

SYNTHESE SUR LA PHOTOGRAPHIE Le thème commun de tous ces documents est la photographie et ce qu’elle apporte. Le document de Gisèle Freuna est un texte sur les forces et les dangers de la photographie. Le document deux parle de la photographie. Un article de Roland Abrecht qui s’intule  « La mémoire pétrifiée ». Le document quatre est une photo sur la guerre du Viêtnam mais plus encore un mouvement pacifiste. Les documents cinq, six et sept sont des photos sur les attentats du onze septembre

appartenance à l’enseigne. Tout se passe comme-ci l’employé nous-dit « je suis salarié du groupe Club Med/Promovacances/Look Voyage ». Cette adhésion collective et symbolique à l’enseigne est créatrice de cohésion, d’harmonie. Elle fait exister le sentiment d’appartenance à un groupe qui est un des besoins de l’homme. L’entreprise apparaît donc ici, comme bénéfique car elle répond aux besoins humains de ces salariés en lui offrant la possibilité d’exister au sein d’un groupe. Néanmoins, l’uniforme est