Philosophie Sur Le Conformisme

ou sous celle de l'augustinisme politique dans le Moyen Âge chrétien : immanentes l'une à l'autre ou dans un rapport de subordination, les sphères politique et religieuse semblaient inextricablement nouées. C'est pourtant ce lien étroit que la philosophie moderne a petit à petit défait, en commençant par jeter les bases théoriques d'un État souverain débarrassé de toute tutelle théologique. Machiavel, Hobbes et Spinoza, chacun à sa manière, ont contribué à ce mouvement. I-Le Prince de Machiavel

réveil d'un cauchemar : non, Bérenger n'est pas prisonnier mais bien libre dans sa condition d'être humain. Il a pris son parti de ne pas pouvoir être l'animal en question : "Eh bien, tant pis !" et affirme cette fois au contraire sa volonté d'anti-conformisme : "contre tout le monde", puisqu'il sait qu'il est radicalement différent d'autrui. On peut d'autant plus parler de résistance que le champ lexical est celui de la guerre : "Ma carabine, ma carabine ! Je ne capitule pas !" Cette apologie de la

Philosophie Politique : Aristote → IV av J.C (Les Grecs) : - L’homme est un animal politique → créer des liens sociaux dans la ville c’est faire de la politique. - La vie privée n’est pas une politique → vie politique meilleure que vie privée - L’humain devient plus humain en société→ on fait de la politique entre semblable, pouvoir familiale = pouvoir dictatorial→ soumission de la femme. Contrairement à nous, les grecs pensaient que la politique était naturelle. Nous, nous vivons dans

classicisme peut devenir académisme, conformisme, conservatisme. Le classicisme littéraire, en 1825, est un ensemble de caractères propres aux grandes oeuvres littéraires de l'Antiquité et au XVII siècle. Le classicisme est donc une théorie littéraire qui recherche l'imitation des anciens et des auteurs du XVII siècle. Qu’est-ce que le classicisme ? Naissance d’un mouvement Le classicisme est plus qu’une simple mode artistique éphémère, c’est avant tout une philosophie, une façon de voir les choses

Descartes préconisait de penser à la « seule lumière naturelle », et non plus selon des schémas divins ou surnaturels. LES LUMIÈRES, C’EST : → une critique de la religion Dans leurs écrits, les philosophes des Lumières cherchent à libérer la philosophie des références systématiques à la Bible. De plus, ils critiquent certains aspects de la religion, en particulier la superstition qui est responsable, à leurs yeux, de nombreuses erreurs de jugement. Toutefois, ils défendent l’idée de respect et

cynisme 2. Deuxième partie a. Citations et explications 3. Troisième partie a. Liens avec d’autres philosophes Références bibliographiques : Livre ou encyclopédie : • Sous la direction de Françoise Kinot, Philosophie gréco-latine : Cyniques, Sceptiques, Epicuriens, Stoïciens, Edition France loisirs, France, août 2000, 489 pg. • Anne Ollier, Encyclopédie thématique et universalis 3, Médiasat France, France, 2005, 1669 à 2496 pg. o Henri WETZEL

Voltaire écrit "Micromégas", un conte philosophique, en 1739, après l'échec de son manuel «Elément de philosophie de Newton». Ce conte est remanié en 1750, et prend la forme d'un divertissement mondain destiné à distraire Frédérique II et à le faire rire, aux dépends de Maupertuis (philosophe). Ce chapitre présente le héros, son histoire et la sphère de départ. Nous sommes ici au premier chapitre de ce conte, qui en compte sept. Ce premier chapitre est un chapitre d’exposition dans lequel l’écrivain

employé par Ducharme: “Elle me donne la main, pour que je lui fasse un serrement. Je la lui prends avec le reste du bras puis avec tout ce qui va avec le bras. Pour la serrer toute, livre inclus, jusqu'à ce que sous la pression des mamelons sa philosophie s'imprime dans mon coeur, et que je contracte les maladies de l'auteur, y compris la schizophrénie.” (Ducharme, 1992) Ce passage démontre si facilement l’excès et l’humour qu’utilise Ducharme pour imagé ses propos. Il choisit l’absurde tel contracter

introduisant l’espoir dans un monde expliqué par la science et régi par les lois de la gravitation universelle de Newton et un « grand horloger », «  le Créateur », régissant toute cette mécanique.] - Critique de la philosophie scolastique (qui réconcilie l'enseignement et la philosophie d'Aristote avec la théologie chrétienne) avec la « forme substantielle » des choses : Voltaire applique ici ironiquement cette théorie à des « puces de Sirius » et des « colimaçons ». - Critique de l’anthropocentrisme :

télévision la population mondiale... Et bien, peu à peu, c'est ce qu'il se passe aujourd'hui. Par nos lectures, nos jeux vidéo, les informations, et même les grandes institutions comme le lycée, le collège, etc., nous en venons peu à peu à une forme de conformisme et nous sommes manipulés. Bien sûr, vous allez me dire "Oui, et alors, nous le savons, mais que faire ?" Je ne le sais bien sûr pas plus que vous. Mais si j'ai écrit ces quelques lignes, c'est parce que certains n'en sont pas encore tout à fait