Philosophie Peut On Tout Exprimer

Philosopher est un verbe dont le sens peut être ambigu : en un sens propre, il désigne la réflexion sur les causes dans une conception générale du monde, comme résultat de l'amour de la connaissance. En sens dérivé, il peut désigner un art de bien vivre. Il désigne donc à la fois une représentation de type contemplative (connaissance pure) ou une activité plus engagée dans la vie proprement humaine. L'activité de philosopher concerne donc à la fois l'action morale et politique, et nos moyens de connaître

KEMIKBAS Mercredi 12 janvier 2011 Aysegul T.ES Dissertation de philosophie |Note : Observations : | | | |

J'éprouve, déclarait Calliclès, à l'égard de ceux qui cultivent la philosophie un sentiment très voisin de celui que m'inspirent les gens qui balbutient et font les enfants » (Platon, Gorgias, 484c-485e). La critique de la philosophie est, comme on voit, fort ancienne, et aujourd'hui encore, la philosophie est suspectée d'être à la fois difficile, comme sont les sciences les plus abstraites, mais, de plus, parfaitement inutile. Tout juste pourrrait-elle servir à dégourdir un peu l'esprit des adolescents

Brève réponse à la question : qu'est-ce que la philosophie ? par Raymond-Robert Tremblay, du cégep du Vieux Montréal La philosophie est une discipline intellectuelle qui utilise des méthodes qui se veulent rationnelles et critiques. Elle travaille avec des concepts abstraits et tente de définir de grands principes généraux et de répondre aux questions fondamentales de la vie et de la mort, du sens de l'existence, des valeurs individuelles et sociales, de la nature du langage ou de la connaissance

Platon, qu’il décide d’étudier la philosophie. Quelles sont les caractéristiques de son écriture ? Est-ce un essai ? Est-ce une autobiographie ? Le récit commence comme une autobiographie : l’auteur décrit ses départs pour l’internat, il nous dit qu’il est handicapé, il utilise la première personne : il nous raconte son histoire. [Citation] Cependant, dans le reste de son récit, l’auteur ne nous raconte plus son histoire bien qu’il l’utilise. En effet, tout au long de son œuvre, Alexandre

Etude de texte « De la simple croyance aux exigences de la raison » Epictète, Entretiens, II Dans ce texte, Epictète nous explique le point de départ de la philosophie, c'est à dire la début, la différence qui amène a penser philosophiquement. Il nous fais part de ses idées sur la structure de la philosophie en générale. En premier temps, il en lumière qu'il faut prendre conscience du conflit qui met aux prises les hommes entre eux. Il met ici en avant ce conflit qui oppose les hommes par

désir, qui n’est pas maîtrisable mais dont la fin est jugée bonne par l’homme. Il est certain que le désir fait partie de ce que nous sommes mais peut-on dire que nous sommes la cause de nos désirs ou que nous devrions les assumer ? En définitif, sommes-nous responsables de nos désirs ? C’est sur ce problème que nous ferons notre réflexion. Peut-on maîtriser ses désirs ? Cela sous-entendrait que nous avons un pouvoir sur eux, doit-on prendre en charge nos désirs ? Désirons-nous que ce dont

vérité est susceptible de se réduire au point de vue de tout un chacun, qu'en est-il du sens même de la philosophie qui se définit par la recherche de la vérité, une même vérité autour de laquelle tous les esprits en droit et en fait, seraient susceptibles de s'accorder ? Y a-t-il en somme une possibilité d'accorder une vérité hypothétique que tout un chacun revendique confusément, avec la fin ultime de vérité universelle que la philosophie se fixe au risque de se perdre elle-même si cette fin n'est

se subdivise en plusieurs sous-genres rattachés à des époques particulières. MOUVEMENT LITTERAIRE / EPOQUE : Philosophie des lumières : Mouvement philosophique du XVIIIème siècle, les Lumières tirent leur noms du combat qu’elles ont mené contre l’obscurantisme (=refus du progrès, de la diffusion des connaissances et de la culture). Née dans les salons intellectuels, cette philosophie s’appuie sur des découvertes scientifiques afin de développer l’esprit critique et lutter contre toute forme de

de la vérifiabilité à la philosophie, il rejette la possibilité d'une connaissance « a priori »[1] absolue, cette impossibilité exclut le métaphysicien du domaine de la philosophie, car « (...) jusqu'à ce qu'il nous ait fait comprendre comment la proposition qu'il désire exprimer pourrait être vérifiée, il n'a pas réussi à nous communiquer quelque chose. »[2] Pour Ayer, tous les énoncés métaphysiques seraient des puzzles linguistiques ou des non-sens se réduisant à exprimer l'émotivité de leur auteur