Philosophie Peut On Critiquer La Démocratie

La démocratie Introduction Le mot démocratie vient du Grec ancien démokratia « souveraineté du peuple ». Il désigne un ensemble de principes philosophiques et politiques suivant lequel un groupe social organise son fonctionnement à travers des lois, des règles qui permettent l’égalité des membres de cette société. Aujourd’hui, la démocratie est devenue un système politique, et non plus un régime, dans lequel la souveraineté est attribuée au peuple. Il ne faut pas confondre la démocratie

Peut-on juger les opinions ? Une opinion est une croyance, c’est à dire une idée que l’on tient pour vraie, juste ou bonne sans que l’on puisse en fournir de preuve suffisante : elle exprime un jugement personnel ou collectif subjectif peu ou pas argumenté ou dont l’argumentation apparaît rationnellement fautive. En cela toute opinion est en droit critiquable ; c’est même un des rôles principaux de la réflexion philosophique de remettre en question la valeur des opinions, particulièrement celles

côté de la philosophie marxiste et durkheimienne, en s’opposant donc à la sociologie individualiste moderne, celui-ci avait notamment une idée bien précise de la télévision et des médias, il déclarait ainsi : «  La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d'une partie très importante de la population  ». Nous verrons ainsi dans ce travail comment se réparti la pensée de Bourdieu, dans un premier temps nous analyserons sa critique portée sur

avait un objet propre. Ces sciences sociales doivent être applicable. La sociologie a découpé son objet en tranche : sociologie du sport, du travail, du politique… On est obligé de faire appel aux autres sciences. La recherche peut être aussi orientée. Les sciences sociales sont au contact du pouvoir et de l’argent. La crise des sciences sociales, lorsque l’on s’est rendu compte que la sociologie politique ne pouvait pas expliquer certain phénomène. Au XXè

et notamment avec sa philosophie politique, occupe une place importante dans le grand livre où P. Ricœur propose des fragments stratifiés d'une philosophie pratique, qui a renoncé à toute ambition de fondation ultime, et qui pourtant ne manque ni de l'assurance ni de la confiance qu'engendre l'attestation de soi-même comme un autre1. Il nous a semblé que la présentation du discernement ricœurien pouvait apporter des éléments de réponse à la question de savoir si l'on peut, sans incohérence, départager

LE DOSSIER 72 Philosophie et politique en Afrique Pierre Nzinzi La démocratie en Afrique : l’ascendant platonicien Cet article soutient l’idée que la démocratie en Afrique se développe sous le signe d’un « néoplatonisme » politique qui se caractérise par le primat de la forme sur le contenu et dénie la souveraineté du peuple. L’obstacle démocratique aurait ainsi un fondement culturel, mais qui ne serait pas spécifiquement africain. Il appartiendrait au contraire au vieux fonds platonicien

qu’humanisme, se définit comme « l’ensemble des valeurs de civilisation du monde noir ».Il ressort que la négritude prévaut sur le discours ethno philosophique. Le terme ethnophilosophie quant à lui vient d’Albert Doutreloux qui le conçoit comme une philosophie à prétention ontologique. Le mouvement intégriste des occidentaux en Afrique a causé de graves problèmes et situations ; non seulement démographique, politique, économique et culturelle. La déportation des noirs en Afrique pour l’Europe et de l’Amérique

19ème siècle: l'émancipation humaine hantait tous les cerveaux. L'homme aspirait à la liberté. La sociologie est pour l'homme un instrument privilégié. En 1750: philosophie des Lumières: mouvement de pensées qui affirme que l'homme est capable de se libérer du joug de la religion, que l'homme peut être majeur, c'est la « philosophie debout ». « Les lumières » = lumières de l'esprit humain suffisantes pour que les hommes détiennent la connaissance. Ils n'ont pas besoin de LA lumière, c'est à dire

auquel elle s’applique. On va s’intéresser ici à sa dimension philosophique avec sa portée juridique. Il y a trois segments de la modernité : - la modernité philosophique et politique (avènement de l’individualisme, de la subjectivité, de la démocratie). - la modernité sociale (avènement du capitalisme libéral, étude de l’évolution des comportements) - la modernité culturelle, esthétique. Le point commun de toutes les modernités est de rompre avec l’ordre ancien, l’ordre de la tradition. On

marquée par d'énormes avancées en matière philosophique, scientifique et politique. C'est l'époque des esprit universels: Pythagore (philosophe et mathématicien) par exemple, ou encore Archimède, Thalès. La politique dans la Grèce et la Rome Antique peut être abordée sur deux plans: organisation de la cité, une réalité politique des écrits, une pensée/réflexion qui laisse penser à une science politique Au 5eme siècle avant JC, ces deux approches se rejoignent, cela nourrit une pensée politique