Philosophe Anti Déterminisme

la dignité de l’homme et date de 1487. Pic de la Mirandole se propose un pb : il se dmd ce qui fait la grandeur de l’homme ? Prcq il n’est ø du tt convaincu par la réponse que proposent les philosophes du moyen-âge notamment prcq ces philosophes du moyen-âge se réfèrent en permanence à la Bible et que leur réponse est une réponse + théologique que philosophique. On peut la résumer ainsi : la grandeur de l’h se résume au fait que l’h est un être intermédiaire entre

d’autres, et des sciences sociales qui ont une reconnaissance scientifique et sociale plus importante que la sociologie (histoire, économie), c’est une science sociale relativement jeune, elle apparaît au début du XIXe siècle, elle a été baptisé par le philosophe français A. Comte en 1838. Sciences sociale qui n’a pas de grand prestige scientifique, par de notoriété sociale. P. Bourdieu : « la sociologie est une science dominée ». - Science dominée dans le champ scientifique. Science sociale difficile

cette vision déterministe et collective holiste. A l’inverse, il y a d’autres chercheurs qui privilégient une approche de l’autonomie des acteurs. A partir du moment que ces chercheurs travaillent sur cette autonomie des acteurs, on les appelle anti déterministes, ils sont individualistes. L’individu c’est le centre d’intérêt. Ce sont deux postures théoriques opposées. Les méthodes d’investigations ne sont donc pas êtres les mêmes : * Pour les déterministes et holistes, ils analysent une

microsoft.com/fr-fr/clipart/ Composé par Jérémie Dobiecki Imprimé par Dumas-Titoulet Imprimeurs ISBN 978-92-3-204070-1 © UNESCO 2007 Imprimé en France LA PHILOSOPHIE UNE ÉCOLE DE LA LIBERTÉ Enseignement de la philosophie et apprentissage du philosopher : État des lieux et regards pour l’avenir Éditions UNESCO LA PHILOSOPHIE, UNE ÉCOLE DE LA LIBERTÉ Remerciements Aux experts Michel Tozzi (chapitre I), Luca Scarantino (chapitres II et III), Oscar Brenifier (chapitre IV) et Pascal Cristofoli

pour le développement. Cependant l'argument contraire est très souvent développés : le fait que l'Islam serait en réalité un frein permanent au développement économique. Cette idée est lourdement soutenue par Ernest Renan (1823-1892), historien et philosophe français dont la majeur partie de son œuvre est consacré à l'étude des religions. Ses prises de positions, et ses analyses lui ont souvent attirées les foudres des autorités religieuses. Son jugement envers l'Islam est très dur, cette religion est

ou les entreprises qui fixent donc les orientations de ces sciences. Les sciences apparaissent donc tributaires des entreprises. Aussi, à coté de cette communauté scientifique, la présence d’un pôle critique semble indispensable. Occupé par les philosophes qui « tirent la sonnette d’alarme », le pôle critique est indispensable dans le sens où les nouvelles techniques que l’on invente nécessitent un cadre donné, donc une éthique qui pose des principes et des règles moraux. Pourtant, il y a constamment

guerrières (« Duels mis en scène » : la double affaire Kravchenko et Rousset autour des Lettres françaises et Pierre Daix : double succès des communistes dans l’opinion et auprès des intellectuels encore prêts à serrer les rangs comme au temps du combat anti-nazi). Mais les ébranlements de 1956 (les révélations du rapport Khrouchtchev au XXe congrès du PCUS et l’invasion de la Hongrie par les Soviétiques en novembre) ne mettent pas sérieusement en cause la prédominance progressiste-marxiste du fait de

problèmes, car, dit-on volontiers, les solutions des problèmes présents se trouvent, toutes dictées, dans le passé, et par le passé. Eh bien, non ! Vous permettrez à un homme qui, au nom de la liberté humaine, a déchiré en France ces haillons de déterminisme — ou plus exactement de nécessitarisme géographique dont s’approvisionnaient avec complaisance nos géographes outre-Rhin —, vous lui permettrez de ne pas s’arrêter à un nécessitarisme pseudo-historique de moindre envergure, mais de plus grande

besoins sont une source de gaspillage et abrogent la subjectivité de la classe ouvrière, avec des conséquences négatives pour la réalisation des objectifs socialistes, le nazisme reposait sur une idéologie anti-individualiste et que l'idéologie fasciste est étayée par le fantasme du déterminisme de l'ensemble. La base des connaissances sur la vie économique n'est donc pas le mécanisme d'équilibre, comme le présume l'économie orthodoxe, mais plutôt le concept d'institution que Polanyi partage avec

c’est-à-dire la moins pénible. Car la philosophie de Montaigne est celle d’un homme très cultivé, qui veut éviter les excès en toutes choses, plaisirs ou soucis, afin d’éviter le plus possible la souffrance. Montaigne est un Sage. Pour lui, ‘‘philosopher c’est apprendre à mourir’’. Philosophie sceptique, la philosophie de Montaigne est aussi une philosophie individualiste : il ne s’intéresse pas, ou peu, à la société, il s’intéresse à l’Homme. Quand il analyse ses sentiments et ses réactions c’est