Philippe Segur

liaison. Louis Ferdinand Céline utilise également l'ironie, il se moque de ses supèrieurs. Le texte a un ton ironique malgré l'horreur de la guerre.D'autres romans sont à la fois faits pour divertir et pour instruire. Ainsi les romans de la Comtesse de Ségur divertissent beaucoup le lecteur surtout avec les aventures de la pauvre Sophie retracées dans le roman Les Malheurs de Sophie mais derrière ces mésaventures se cache un morale à chaque fois. Lorsqu'elle tue tous les petits poissons de sa mère en voulant

Kessel 40 Huis clos de Jean-Paul Sartre 42 Antigone de Jean Anouilh 43 Les lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet - x 44 Premier de cordée de Roger Frison-Roche 45 Si c'est un homme de Primo Levi 46 Les malheurs de Sophie de la comtesse de Ségur - x 47 Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne - x 48 Les fourmis de Bernard Werber 49 La condition humaine d'André Malraux 50 Les Rougon-Macquart d'Emile Zola 51 Les rois maudits de Maurice Druon - x 52 Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand

la pornographie, il n’a pas d’animosité envers ses victimes, elles sont indifférentes, déshumanisée. Les autres sont des choses, objets de jouissance interchangeables. Jouissance de Sophie quand les poissons rouges ne bougent plus. La comtesse de Ségur montre que le fait de torturer fait jouir le pervers. Sophie est tantôt méchante tantôt perverse. Ccl : si le méchant est le pervers n’est pas la même chose alors la méchanceté n’est-elle qu’une forme de faiblesse, si on écarte la perversité, la

Pan ou encore des histoires de La Comtesse de Ségur. Mais celle-ci est tout de même rattraper par des romans visant à faire grandir les enfants, les ancrer dans la réalité quotidienne comme gueule de loup de Sarah Cohen-Scali parlant d’un enfant enlevé chez soi pendant l’absence de ses parents. Un compte à rebours est alors lancé pour une course contre la montre, contre la mort. Les histoires pour amuser les enfants comme celle de La Comtesse de Ségur ont alors laissé une place importante aux histoires

La comédie Humaine), Emile Zola (Thérèse Raquin), Oscar Wilde (Le portrait de Dorian Gray) ou encore Stendhal (Le Rouge et le Noir) … Cependant, les livres récréatifs apparaissent à la seconde moitié du XIXème siècle. La comtesse de Ségur publia vingt volumes en dix-huit ans, parmi lesquels : Les Malheurs de Sophie (1859) et Les Petites Filles modèles (1857). Hetzel fut un grand spécialiste de la littérature enfantine. Pierre Larousse était célèbre dans les éditions des dictionnaires

cette occasion : la comtesse de Ségur, Jules Verne, Jules Sandeau, Hector Malot, George Sand, Alexandre Dumas, Charles Nodier. La Libraire Hachette crée en 1855 la « Bibliothèque rose », collection exclusivement destinée aux jeunes, qui propose des livres à couverture rose disponibles partout à bas prix, y compris dans les gares. Une place de choix est accordée aux romans de mœurs de l’enfance. Louis Hachette conclut notamment un contrat avec la comtesse de Ségur, stipulant que l’auteur cède à la

le lecteur à la vertu, à la piété », il pose un modèle de personnage exemplaire. Ces personnages sans défaut sont imaginés pour que le lecteur cherche, en s'identifiant à eux, à se rapprocher au maximum de la perfection. Par exemple la comtesse de Ségur écrivit Les Petites Filles modèles, publié en 1858. Les trois personnages principaux sont Camille et Madeleine de Fleurville et Marguerite de Rosbourg, petites filles exemplaires qui, au fil de leurs aventures apprennent à distinguer le bien du mal

Notre Dame de Paris, sociaux, comme Les Misérables, ou romantiques, comme L'homme qui rit. Romans pour enfants et adolescents au XIX° siècle Le XIX° siècle voit apparaître les premiers romans pour enfants. Il s'agit, d'abord de la comtesse de Ségur et de ses œuvres comme L'auberge de l'ange gardien (1863), puis de Jules Renard avec Poil de carotte (1894) qui a un succès retentissant. Jules Verne inaugure également une série, celle des voyages extraordinaires, romans scientifiques d'anticipation

Octave Mouret, Angelo Pardi), ou, de manière implicite, signale une profession voire un caractère. Les connotations doivent ici être étudiées de près. Pourquoi, par exemple, voulant dénommer une mère ou une marâtre cruelle et tyrannique, la comtesse de Ségur, Jules Renard et Hervé Bazin aboutissent-ils, chacun de leur côté, à des noms aux sonorités agressives ou chuintantes : Mme Lepic, Mme Mac Miche, Folcoche ? A partir des connotations engendrées par chacun des noms suivants, imaginez

humain bon et digne de son amour. Le cœur de la Belle ainsi gagné rompt le sortilège transformant l’horrible Bête en un joli Prince charmant. Un beau mariage suivra. • Mise en réseau • La Princesse Grenouille ; Ourson, La Comtesse de Ségur • Doucette, Grimm • Le Monstre Poilu, Bichonnier H.  1ère séance : Objectifs : Saisir l’atmosphère de l’ouvrage. Imaginer l’histoire. Matériel : La belle et la bête