Philippe III de Macédoine

philosophiques naissent en même temps en ce III° siècle avant J.C.: l’épicurisme et le stoïcisme. Deux choses sont à examiner: le contexte socio-politique et le contexte philosophique. Contexte socio-politique: c’est la fin de l’empire d’Alexandre. Il ne reste de cet empire que des lambeaux que se disputent ses généraux. La cité a été brisée au profit d’un empire immense. Avant Alexandre, la Grèce était formée de petites cités politiquement autonomes: Athènes, Spartes etc. Au III° siècle cela représente le passé

volumes un sur le 1er semestre et l'autre sur le 2ème: Thémis presse universitaire de France * JJ Chevalier: les grandes œuvres politiques de Machiavel à nos jours: Armand Colin. + manuel chez Paillot. * Guchet manuel en 2 volumes. * Philippe Nemo: manuel. * Dictionnaire par Châtelet François: grandes œuvres politiques * Dictionnaire de philosophie politique Rias * Dictionnaire de Pierre Larousse (12 à 15 volumes). * Encyclopédie Universalis              

philosophes, Protagoras, Socrate, Platon, Aristote & Cie. Dernière période de cette Grèce antique : monarchies hellénistiques. Différent d’hellénique. Monarchies qui se mettent en place après la disparition des Cités grecques. Les Rois de Macédoine (Philippe II, Alexandre le Grand (333 à 323 avant JC)) mettent sous domination le territoire grec. A la mort d’Alexandre, l’empire est explosé puis partagé en différents royaumes par ceux qui se présentent être ses héritiers. Ces différents royaumes qui

JeanClaude Lefort, Maurice Ligot, vice-présidents ; Mmes Michèle Alliot-Marie, Nicole Ameline, M. René André, Mme Marie-Hélène Aubert, MM. Jean-Marie Bockel, Pierre Brana, Yves Bur, Mme Monique Collange, MM. Camille Darsières, Bernard Derosier, Philippe Douste-Blazy, Mme Nicole Feidt, MM. Yves Fromion, Gaëtan Gorce, Michel Grégoire, François Guillaume, Christian Jacob, Pierre Lellouche, Pierre Lequiller, François Loncle, Mme Béatrice Marre, MM. Gabriel Montcharmont, Jacques Myard, Daniel Paul, Joseph

plaisent à tourmenter les mortels nuit et jour etleur apportent en silence toutes les douleurs, car le prudent Jupiter les a privées de la voix. Nul ne peut donc échapper à la volonté de Jupiter. » Hésiode, Les Travaux et les Jours, traduction de Philippe Brunet (1999) Les mythes qui relatent une catastrophe cosmique anéantissant l'univers sont extrêmement répandus dans le monde entier et dans pratiquement toutes les civilisations. En particulier, un mythe ancien de déluge figure dans les mythologies

à Athènes (337-336 av. J.-C.). Ce texte, gravé dans le marbre, est proposé à l’Ecclésia par Eucratès du Pirée, démocrate fervent, au lendemain de la défaite de Chéronée (338 av. J.-C.) qui marque l’échec de la politique de résistance à Philippe de Macédoine. Dans ce contexte, © Nathan 2010, Histoire 2de coll. Sébastien Cote Chapitre 2 – Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) Athènes cherche alors à se prémunir contre de possibles menées antidémocratiques qui auraient

Abî Hafs, autrefois vizir de Muhammad an-Nasir déclarent leur indépendance en 1226, sous l’impulsion de Abû Zakariyâ Yahyâ. La mort d’Abu Muhammad al-Adil marquera le début de l’ingérence du Royaume de Castille dans les affaires marocaines. Ferdinand III de Castille soutiendra Abu al-Ala Idris al-Mamun tandis que les cheikhs soutiendront le fils de Muhammad an-Nasir, Yahya al-Mutasim. C’est le premier qui prit pour un temps l’ascendant, parvenant à prendre Marrakech et à massacrer les cheikhs. Il renia

respects, in many of the features of his art he belongs to no era, and conforms to no tendency, except that of his own Titanic genius. He could see white and he could see black, but he could not see grey, and never tried to paint it. He does not allow Philip II even his redeeming virtues of indefatigable industry and unceasing devotion to duty, while in his Rome of the decadence would assuredly be found scarce five good men. His vision is curiously limited to the darker side of history; he hears humanity

une transposition[12]. Vous vous souvenez de l’attitude des Athéniens au moment où Philippe, roi de Macédoine, réclamait son espace vital et occupait, l’une après l’autre, les petites cités de la Grèce[13]. „Attention!“ disait Démosthène aux Athéniens, „attention! Si vous n’allez pas au secours de la Tchécoslovaquie, vous serez dévorés à votre tour!“ [14] Mais les Athéniens étaient confiants, frivoles, et Philippe avait une Cinquième Colonne…[15] Démosthène échoua… Puis un jour vint le tour d’Athènes…

(Traduction et note de Mario Meunier ; orthographe modernisée)   Livre I - Livre II - Livre III - Livre IV - Livre V - Livre VI - Livre VII Livre VIII - Livre IX - Livre X - Livre XI - Livre XII - Notes   LIVRE I Retour au sommaire I. - De 1 mon grand-père Vérus 2 : la bonté coutumière, le calme inaltérable. II. - De la réputation et du souvenir que laissa mon père 3 : la réserve et la force virile. III. - De ma mère 4 : la piété, la libéralité, l’habitude de s’abstenir non seulement de mal faire