Philippe III de Macédoine

en les choisissant ou en les adaptant selon les circonstances[23]. Dans le Panégyrique, Isocrate évoque le mythe de l'autochtonie des Athéniens pour justifier leur prétention à la supériorité sur les autres cités[24], et, dans le Philippe, adressé à Philippe II de Macédoine, il rappelle la parenté entre les ancêtres du roi macédonien et les cités grecques pour le convaincre de leur venir en aide[25]. Les inscriptions consignant des décrets d'alliances entre cités témoignent du même genre de recours

Droit 2011 / 2012 SOMMAIRE Prolégomènes à l’Introduction historique au droit 7 I. La définition du droit 8 II. L’Introduction historique au droit : une introduction au droit par l’étude de son histoire 17 III. Les institutions génératrices de droit : les sources institutionnelles du droit 24 IV. Les sources formelles du droit : coutume, loi, ordonnance, jurisprudence et doctrine 59 V. Bibliographie 84 Chapitre préliminaire

quittent leur quartier… Règles variables selon le temps et les lieux. Ils payent impôt : la jizia (la capitation). Région caractérisée par pluralisme religieux, groupes communautaires relativement cloisonnés. Avant 1870 : 1/3 de non-musulmans. III. Revers militaires et réformes au début du XIXe siècle A. Un déclin ? Tsar Nicolas 1er : parle de l’empire ottoman comme de « l’homme malade de l’Europe ». Déclin ? Idée à nuancer. Il y a eu transformation et réformes : période des Tanzimat :

séparées des choses. On voit un soldat en uniforme grec sur ce tableau, c plutôt étrange. C’est Alexandre le Grand (356-323) Elève d'Aristote, il se lança à la conquête de l'Asie et créa un empire de l'Indus à la Méditerranée. On est en macédoine, le roi Philipe a un fils Alexandre dont il confie l’éducation à Aristote. Quand Alexandre devient roi (336 av JC) il décide attaquer tous les grands royaumes. Alexandre part à la conquête de l'Asie Mineure en 334 avant Jésus-Christ Tout le monde pensait

étrangère était déjà profondément hellénisée. La Macédoine (qui existe toujours, mi-indépendante, mi-grecque, et dont la ville principale est le port de Thessalonique, en grec « Victorieuse de la mer ») était un royaume dont le roi Philippe, de culture grecque, pacifia les cités grecques en leur imposant son protectorat (bataille de Chéronée, en -338), malgré les harangues passionnées – les « Philippiques » – de l’Athénien Démosthène. À la mort de Philippe, en – 336, son fils Alexandre lui succéda. Alexandre

au Ivème siècle. Né à Stagire, appelé le « Stagirite ». N'est pas Athénien, est un métèque (étranger), position d'observateur de la vie politique, fils de Nicomaque qui était le médecin de Philippe de Macédoine (roi), il destine son fils à la médecine pour devenir médecin du fils du roi (Alexandre de Macédoine, Alexandre LeGrand), il est donc devenu l'élève d'Aristote. Reçoit une formation médicale qui sera importante pour sa conception du droit qui vient de la connaissance de la nature humaine scientifique

un impact sur la politique occidentale, Aristote va devenir plus puissant que son maître . II) L'œuvre politique d'Aristote . ( 323 - ? ) Il est Macédonien, à Stagire, il est d'origine aristocratique car son père est le médecin du roi de Macédoine père d'Alexandre le grand . Il devient le précepteur d'Alexandre le Grand . Il décide après d'aller suivre l'enseignement de Platon . Il fonde sa propre école qui est le lycée . Dans sa jeunesse il est très influencé par l'enseignement de la

cela se détache de l’enseignement de son maître. 2) l’enseignement d’Aristote De son maître, Aristote, ne retient que le dernier enseignement, les lois, enseignement réaliste, concret, fondé sur l’observation. Il va être appelé par Philippe roi de Macédoine pour faire l’éducation de son fils Alexandre qui va construire un empire considérable. Son éducation explique sans doute l’esprit de conquête qui a prise sur les réalités. Dans son enseignement, Aristote part de l’observation, il va collecter

qu'on dissimulait avant : que les cas les plus nombreux sont à l'intérieur des familles. Ce qui s'est joué depuis deux siècles fut donc de lever, sur cette question, le secret familial qui protégeait les coupables. • Il y a quarante ans, Philippe Ariès attirait l'attention sur l'émergence de l'enfant en tant qu'individu. Il va de soi qu'ainsi individualisée, la personne de l'enfant interrogeait nécessairement la société au chapitre d'abus sexuels dont l'essentiel était dissimulé par le grand

orléaniste où le chef d'État a de grandes prérogatives (révocation du ministère car le gouvernement est responsable devant lui et droit de dissolution). Le théoricien de ce modèle fut Duvergier de Hauranne qui défendit en 1838 les pouvoirs de Louis-Philippe face à la chambre et dont la thèse sera reprise par Guizot, Broglie ou Laboulaye ; le modèle du parlementarisme occidental, de type britannique post-victorien, ainsi que français sous la IIIe République après 1877 (constitution Grévy), où le chef