Phèdre

a) un encrage réaliste Zola justifie cette épisode en quelques mots : "Un soir, Renée et Maxime assistent à une représentation de Phèdre" (l.4). Le lieu est donc défini puisque c’est le théâtre Italien qui est une référence identifiable pour le lecteur d’un roman réaliste. L’encrage réaliste est également donné par la référence à l’actrice Italienne qui joue Phèdre. En effet, celle-ci appelée Ristori qui est une tragédienne célèbre. Il est donc tout a fait vraisemblable que Maxime et Renée l’est

son fils Hippolyte, fils de la première amoureuse de Thésée la reine des Amazones. Phèdre son deuxième amour éprouve un sentiment pour son beau-fils Hippolyte mais ce dernier n’éprouve rien en retour pour elle. A l’annonce de la mort du roi Thésée, Démophon fils du roi et de Phèdre n’étant pas convaincu que son père soit mort décida alors de partir à la recherche de son père. Quelques jours après on retrouva Phèdre pendue dans ses appartements. Mais Thésée n’était pas mort et croisa même son fils

Acte II, Scène 5. La déclaration d'amour de Phèdre à Hippolyte. 1ère tirade : 1. On retrouve des éléments de la personnalité de Thésée : « fidèle, fier, un peu farouche, charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi --->séducteur  ». Son fils, Hyppolite avait les mêmes yeux, le même langage que son père. Thésée était d'une « noble pudeur ». des éléments de sa légende : allusion à son départ de Crête pour aller tuer le Minotaure. Puis au labyrinthe

L'homme est un loup pour l'homme Les fables des six premiers livres reprennent les schémas d'Ésope et de Phèdre, mettent surtout en scène des animaux et dégagent une ou plusieurs morales, le plus souvent traditionnelles aussi bien dans des apologues placés en début ou en fin de texte qu'à l'intérieur même des récits : « Nous n'écoutons d'instinct que ceux qui sont les nôtres,/ Et ne croyons le mal que quand il est venu » (livre I, fable 8 : « L'Hirondelle et les petits oiseaux »). Les livres suivants

Phèdre, Jean Racine Schéma actantiel Actant sujet : Phèdre Actant objet : Amour de Phèdre pour Hippolyte Actant adjuvant : Oenone Actant opposant : Hippolyte, Aricie, Thésée Actant destinateur : Phèdre Actant destinataire : Hippolyte Jean Racine, dramaturge français du XVIIe siècle, a parfaitement appliqué la loi du théâtre classique dans Phèdre : pour qu’il y ait théâtre et tragédie, il faut qu’il y ait action. Celle-ci est introduite par une complication, et consiste par la suite

DISCOURS DE PHÈDRE 1. Il dit qu’Éros est la source des biens les plus grands – C’est un Dieu important, admirable surtout par son origine- Il est le plus ancien et n’a ni père et n’a ni mère – Il mérite l’admiration chez les Dieu comme chez les Hommes – Qu’il y a qu’un seul Éros. 2. L’Amour rend capable les amants de mourir pour ceux qu’ils aiment – L’Amour les rend courageux. 3. Il pense que si on formerait une cité ou une armée avec des amants et leurs aimés, chacun rejetterait ce qui est laid

Le mal mystérieux de Phèdre Introduction Situation a) Auteur-Œuvre : Extrait de Phèdre de Racine (1677) b) Dans l’œuvre : Acte I Scène 3, scène d’exposition, Phèdre sur le point de mourir livre son

Commentaire composé sur « Phèdre » de Racine Dans ce commentaire, nous allons parler de Phèdre, un des livres de Racine qu'il a écrit en 1677. Racine est un dramaturge du XVIIeme siècle. La tragédie est apparue en Grèce au Veme siècle avant J-C pendant l'antiquité mais le théâtre tragique est arrivé en France que fin du XVIeme, début du XVIIeme siècle. Racine est un des premiers auteurs de tragédie connu avec Corneille et Molière. Phèdre est une pièce de théâtre tragique, elle est composée de

L'aveu d'Hippolyte à Théramène : Remarques sur l'exposition de Phèdre « Rien n'est plus difficile que de faire une bonne exposition », rappelle justement Jacques Schérer dans sa Dramaturgie classique en France [1]. Sans m'étendre sur tous les problèmes qui se posent alors au dramaturge, je me contenterai de rappeler que la principale difficulté consiste à renseigner le spectateur d'une manière aussi vraisemblable et naturelle que possible. Car les personnages doivent apprendre

Corbeau et le Renard est la deuxième fable du livre I de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables, édité pour la première fois en 1668. Il y a deux sources à cette fable: la version d’Esope (« Le Corbeau et le Renard ») et celle de Phèdre (Macédoine - 10 avant J.-C. - vers 54 après J.-C., auteur de vingt-trois fables imitées d’Esope). La version du fabuliste latin (Livre I, 13) a été traduite en français par Sacy en 1647. Elle a été mise en musique par Maurice Delage en 1931.*