Phalene Bouleau

chances de survivre et de transmettre leurs gènes à la descendance. Les génotypes les plus favorables dans un environnement donné sont « sélectionnés » et deviennent plus fréquents  Les autres se raréfient. (= Sélection naturelle) Ex : La phalène du bouleau : Il coexiste 2 phénotypes dans les populations de ce papillon ; des formes sombres et des formes claires. Selon les conditions du milieu (pollué ou non) l’une ou l’autre de ces formes est privilégiée parce qu’elle a plus de chances d’échapper

tôt et se reproduisent moins. 3. La couleur des phalènes leur permet de se dissimuler sur leur support. Là où les troncs sont clairs (couverts de lichens), les phalènes claires prédominent. Dans les régions où les troncs sont sombres, les phalènes noires prédominent. 4. Les phalènes sombres deviennent prédominantes dans les régions polluées car elles échappent à leurs prédateurs, survivent mieux et se reproduisent davantage. Au contraire, les phalènes claires sont facilement repérées et mangées par

Logithèque Modélisation de l’évolution des pinsons des Galapagos avec le logiciel Vensim PLE : www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/spip.php?article453 Simulation graphique de la dérive génétique et de la sélection naturelle à partir de l’exemple de la phalène du bouleau – programme « Java » permettant de simuler l’évolution des allèles au sein d’une population, en fonction des génotypes choisis et de l’avantage apporté ou non. www.pedagogie.ac-nantes.fr/03312400/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=1160339691609

sélection par le milieu des caractères procurant un avantage Région non polluée : les troncs d’arbres sont couverts de lichens de couleur claire SÉLECTION NATURELLE (*) 90 % des phalènes sont de couleur claire a La phalène du bouleau est un papillon nocturne qui se repose le jour sur les troncs d’arbres. Chez les phalènes, il existe toujours deux formes : une claire et une sombre (ces formes diffèrent par une modification d’un gène responsable de la couleur du corps). Pollution de l’environnement

une meilleure survie > + de chances d’atteindre la maturité sexuelle > + de chances de se reproduire OU innovation génétique à l’origine d’une fécondité + élevée. I.3. Plusieurs facteurs sélectifs agissent souvent ensemble ( Ex. de la phalène du bouleau montre que les fréquences des ≠ phénotypes ont souvent plusieurs causes : pollution > phénotype typica ; pas de pollution > phénotype carbonaria (avant. sélectif autre que la seule défense contre les prédateurs : meilleure absorption de la chaleur 

Les préférences des gens deviennent plus favorables à la croissance. * Est-ce possible d’avoir une sélection naturelle sur une période de moins de 10 000 ans ? Évidence en faveur des changements évolutionnistes rapides * Exemple de la phalène du bouleau : 300 à 500 générations pour passer de 60% de papillons blancs à 90% de papillons noirs. Résultat principal * Lorsque la fécondité est associée positivement au revenu, la pression malthusienne donne un avantage évolutionniste à ceux qui

dérive génétique ont été abordés dans les classes antérieures. Néanmoins, il paraît utile, voire nécessaire, de rappeler et de préciser les caractéristiques et les conséquences de ces processus fondamentaux. À partir d’un exemple classique, la phalène du bouleau, le document 1 permet de faire le lien entre survie et reproduction différentielle. Cette notion est importante car c’est là l’origine d’une variation de la fréquence des différentes formes en fonction des conditions de l’environnement.

perdue et leur colonne vertébrale est devenue rigide, tandis qu’une robuste ceinture scapulaire se développait pour résister à la force du saut. - La phalène de bouleau constitue un exemple de sélection naturelle contemporaine. Dans l’Angleterre industrielle du XIXe siècle, la suie noircit l’écorce des arbres. Les 113 - - formes sombres de la phalène, qui apparurent comme résultat d’une variation naturelle, proliférèrent puisqu’elles étaient mieux camouflées sur le tronc sombre des arbres. - Un

EthologieChapitre 1 : Sensorialité et Cognition (par cœur) Idées de bases : · La base de la cognition est la sensorialité. · Spécificité selon les espèces mais l’animal est un modèle pour nous dans différent domaines. · Le chien remue la queue pour s’auto apaisé, il fait redescendre une trop grande excitation. · Question des comportement conditionnés des chevaux en club· Selon l’espèce l’attachement est plus ou moins rapide. IntroductionDéfinition : L’éthologie

Sand. Pour voir au petit matin la Sicile en feu sur la mer étincelante, le voyageur gravit les pentes de l’Etna à la nuit tombante. Il s’arrête pour dormir dans la Grotte des Chèvres, mais ne pouvant trouver le sommeil, il rêve devant le feu de bouleau ; il reste naturellement (p. 22) « les coudes appuyés sur ses genoux et ses yeux fixés sur la braise rouge de son foyer, d’où s’échappaient sous mille formes et avec mille ondulations variées, des flammes blanches et bleues. C’est là, pensait-il