Peut Il Y Avoir Une Croissance Sans épargne

macroéconomique La macroéconomie c’est une approche théorique qui vise à étudier l’économie d’un pays à travers des agrégats. La macroéconomie s’oppose t elle a la microéconomie ? Non pas tout à fait. Certains défendent l’idée que la macroéconomie ne peut se faire qu’à partir de l’étude de la micro. La macro n’est qu’une généralisation de la micro.  Les néoclassiques (Léon Walras) ont une approche microéconomique et considère que cette approche est la seule valable. La microéconomie est aujourd’hui

 LA CROISSANCE ECONOMIQUE Le Modèle Keynésien HARROD-DOMAR INTRODUCTION : LE CONTEXTE : LA PENSEE KEYNESIENNE ET LA CRISE DE 1929 PARTIE I. HARROD ET L’INSTABILITE DE LA CROISSANCE A.) Le taux de croissance garanti B.) Le fil du rasoir C.) Le taux de croissance naturel PARTIE II. DOMAR ET LES 2 EFFETS DE L'INVESTISSEMENT A.) La double nature de l’investissement 1) L’effet "capacité" de l’investissement 2) L’effet "revenu" de l’investissement B.) La

cotisations sociales et la baisse des prix. o Ainsi, sur le long terme, la croissance de la productivité explique qu’il a été possible, à la fois, de réduire la durée du travail (sous toutes ses formes), d’augmenter le pouvoir d’achat et de financer la protection sociale ainsi que l’offre de services publics.  Aspects théoriques : o Schumpeter (typologie des innovations, rôle de l’innovation dans la croissance – « destruction créatrice ») ; o le progrès technique exogène ou autonome

A. la définition de la croissance de l’économie Croissance de l’économie : est l’augmentation de la production de B&S durant une longue période d’un pays. Egalement l’enrichissement de ses habitants. La croissance est un indicateur de richesse d’un pays sur le long terme. L’évolution du PIB mesure la croissance éco d’une année sur l’autre. Augmentation = Croissance Diminution = Récession 1973-1979 : 2 choques pétroliers B. la mesure de la croissance économique 1. Le

considère que la consommation est le résidu non épargné. Pour les revenus les plus bas, on aurait tendance à d’abord considérer la consommation et vis versa pour les classes supérieures. Y= C+ S Y/Y = (C+S/Y) -> 1 = PMC + PMS S= Y - C Y = C + S -> 1 = PmC + PmS D’où la fonction d’épargne: S= Y- C = Y – (cY+ C0) -> S = (1-c) Y- Co La PmC peut elle être inférieure à 0 ou supérieure à 1 ? -> Lorsque les ménages puisent dans leur épargne (Ex : PmC = 1.3 donc PmS= -0.3 car PmS + PmC

= conso +investissement + dépense publique + exportation + variation des stocks 2. Le circuit économique Voir schémas 3. L’équilibre du circuit économique A. L’équilibre en économie fermé Voir feuille Epargne est désidé par les ménages (montant) Investissement est décidé par les entreprises ⇨ Rien ne prédit que les deux vont être égaux. L’épargne est perçu comme une fuite, la consommation reste dans le circuit économique. L’épargne est une fuite

| Constituant la base de l’investissement, l’épargne demeure un agrégat nécessaire dans la mesure où celle-ci permet d’élargir le circuit économique. Ainsi pour une forte croissance économique, la mobilisation de l’épargne est une condition essentielle. Pour l’analyse de ce phénomène au Maroc, on étudiera tout d’abord ses différentes composantes avant de décrire son évolution durant divers périodes. Problématique : Un niveau

Chapitre 1 : Consommation et épargne des ménages. La consommation finale (C) des ménages est la principale composante de la demande globale. Si l’on s’en tient à l’économie française, en retenant le cas de la comptabilité nationale, on considère deux agrégats qui sont relatifs à la consommation des ménages : La dépense de consommation finale : elle correspond aux dépenses que les ménages supportent directement. Cet agrégat comprend entre autre les dépenses de santé, d’éducation et de logement

terme, la croissance de la productivité explique qu’il a été possible, à la fois, de réduire la durée du travail (sous toutes ses formes), d’augmenter le pouvoir d’achat et de financer la protection sociale ainsi que l’offre de services publics. Aspects théoriques : Schumpeter (typologie des innovations, rôle de l’innovation dans la croissance – « destruction créatrice ») ; le progrès technique exogène ou autonome (Carré, Dubois et Malinvaud, Solow…), les théories de la croissance endogène (Romer

revenus primaires. Le compte de distribution secondaire des revenus. Le e ainsi obtenu est le revenu disponible. Le compte d’utilisation des revenus. Le s’appelle l’épargne (correspond au résultat de l’exercice dans l’entreprise privée). Epargne 2. = (Revenu Disponible) — (Dépenses de Consommation) Les Comutes d’Accumulation. Dans ces comptes il y aura deux découpages ou subdivisions. - Le m te de ca ital Le solde ainsi obtenu s’appellera capacité ou besoin de