Peul

décanter. (proverbe burkinabé) Celui qui creuse une source n’en boit pas l’eau. (proverbe du Lesotho) L'eau chaude n'oublie pas qu'elle a été froide. (proverbe nigérian) Un poisson de trou d’eau ne connaît pas la largeur de la rivière. (proverbe peul) L’eau qu’on prend pour rincer une jarre suffit à remplir une cruche. (proverbe éthiopien) Amérique Quand on est à l’eau, il faut nager. (proverbe québécois) On n’engraisse pas les cochons à l’eau claire. (proverbe québécois) Le poisson a confiance

LICENCE/2015 Licence LLCER langues rares (SOUS RESERVE) Plus de 60 spécialités : arabe, arménien, berbère, birman, chinois, coréen, danois, grec, hébreu, hindi, islandais, japonais, khmer, kurde, letton, malgache, néerlandais, népali, ourdou, persan, peul, polonais, russe, serbe-croate-bosniaque, suédois, tamoul, turc, vietnamien, wolof… UNIVERSITÉ MENTION DE LICENCE ET PARCOURS MODALITÉS D’ADMISSION ORIENTATIONS PÉDAGOGIQUES ET RECOMMANDATIONS Mention langues, littératures, civilisations étrangères

Sénégal, Goree, Île Il existe une grande diversité linguistique à travers les langues du Sénégal. La Constitution de 2001 a reconnu au français le statut de langue officielle et à six langues celui de langues nationales, le wolof, le sérère, le peul, le mandingue, le soninké et le diola. Cinq autres langues vernaculaires ont été promues peu après (hassaniyya, balante, mancagne, noon et manjaque), et d'autres ajouts de langues codifiées sont en cours. Au total ce sont près d'une vingtaine de langues

populations différentes sont appelées des « races » humaines. Pour utiliser un terme biologique précis, ce sont en fait des « sous-espèces » au sein de l’Homo Sapiens. 12) Nation et l’ethnie A partir du XIXe siècle, le mot nation sera réservé aux peules occidentaux dotés d’un grand projet historique, tandis que l’on utilisera ethnie (ou encore tribu) pour désigner les populations jugées inférieures. On peut le constater, d’emblée le terme ethnie procède d’un regard ethnocentriste à double titre :

intervient dans certains foyers pour régler des litiges. Terme générique, le nom griot se décline sous divers noms : « djéli » ou « djali » (mandingue : malinké, bamana, khassonké, soninké, dioula…), « guewël » (wolof), « gawlo » (peul), lambat (mandjak, mankagne), « dan mà-abba » (haoussa), qawal » (arabe) ou encore « iggawin » (maure, touareg).  En Afrique centrale et dans d’autres régions du continent, le griot s’apparente à l’atalaku qui joue un rôle fondamental dans la rumba et

documents qui font autorité en la matière, depuis Dieu d'eau (entretiens avec Ogotemmêli) de Marcel Griaule, textes cosmogoniques recueillis auprès du vieux Sage dogon, jusqu'aux ouvrages d'Ibrahima Alpha Sow et de A. Hampate Bâ sur les poésies peules ou sur les récits mythiques des cosmologies pastorales. Les propos présentés ici veulent simplement donner quelques éléments pour situer la question de la parole à travers le contexte précis de son exécution dans les sociétés de l'oralité. Le

partir et il vois la hyène qui lui dit ou allé, à partir de la il essaye de chercher de l'eau, il veut se nourrir il va trouvé du lait. Pour le moment à part cette vision qu'il a on ne sait pas qui il est et au moment ou il va figé les deux gerbiers peules, on voit qu'il prend du pouvoir il passe à autre chose, il passe de cette idée d'enfant à l'idée d'ado, puis il devient adulte d'une façon naturel car il nique la femme du roi peule.)

la base de l’enseignement et les éditeurs français ne sont pas prêts à publier des livres dans des langues nationales, faute de marché suffisant. Il y a tout de même eu quelques romans maliens et sénégalais et des recueils de poésie en wolof ou en peul édités ces dernières années mais c’est relativement marginal » Mais l'usage du français auquel la plupart se sont ralliés, considérant le français comme un bien acquis, s'est coloré, a su trouver chez un certain nombre de ces écrivains une nouvelle

FASO Les Mossi forment l’ethnie majoritaire du Burkina Faso. Mais on rencontre également d’autres groupes moins importants comme les Peul, les Bobo, les Lobi, les Dagari, les Birifor, les Gan, les Samo, les Bisa... Les instruments utilisés par ces différentes tribus sont en général : | les tambours de calebasse, le binha chez les Mossi, le kakol chez les Peul, le bimbiri chez les Bobo ; | | les tambours à une membrane, le bili chez les Lobi, le diallé chez les Dagari, le koli chez les Birifor

(Bamako). Les Songhaï sont établis dans l’Est, les Soninké dans l’Ouest (Kayes) ; les Sénoufo vivent autour de Sikasso, dans la zone frontalière avec le Burkina et la Côte d’Ivoire. Plus au nord-est vivent les Dogon, sur le plateau de Bandiagara. Les Peul peuplent la cuvette du Macina tandis que le Sahara est le domaine des Maures et surtout des Touareg qui nomadisent entre l’adrar et la boucle du Niger. Ces derniers, au nombre d’environ 400 000, ont toujours refusé la domination politique des Mandingues