Petites sœurs des pauvres

ère nouvelle s’ouvre, où le milieu urbain occupera de plus en plus le fond de scène de l’action romanesque. Ce roman réaliste, est d’abord considéré comme un portrait de la société canadienne-française de 1940; celui de sa très grande fraction de pauvres concentrés dans les quartiers défavorisés. Pour-tant, ce réalisme social, on l’a également « qualifié de réalisme politique, interculturel, psycholo-gique, féminin, voire maternel » . Fort de cette diversité d’approches, l’analyste de Bonheur d’oc-casion

les écoles sont détruites, enfants et parents ont peur. Dans ces situations, il manque aussi souvent de nourriture, d’eau. Et les installations sanitaires (toilettes, douches, système d’égouts,…) sont en mauvais état ou n’existent pas. Voici un petit mémo pour t’aider à être prêt(e) le jour J : Quoi? Un exposé (= une élocution) Pourquoi? Pour informer et convaincre les autres sur l’horreur de la guerre et ce que ça fait aux enfants. Pour que tu apprennes la situation des enfants dans le monde.

Les Nains magiques   Il était un cordonnier qui, par suite de malheurs, était devenu si pauvre, qu'il ne lui restait plus de cuir que pour une seule paire de souliers. Le soir il le tailla afin de faire les souliers le lendemain matin ; puis, comme il avait une bonne conscience, il se coucha tranquillement, fit sa prière et s'endormit. Le lendemain, à son lever, il allait se mettre au travail, quand il trouva la paire de souliers toute faite sur sa table. Grande fut sa surprise ; il ne savait

pourquoi t'enorgueillir ? Le premier et fondamental talent que le religieux a reçu, c'est son être lui-même avec ses acquis et le capital de ses expériences. Exprès, a-t-il choisi cette profession de médecine, pour servir et soigner les plus pauvres, les plus démunis. D'une capacité forte d'adaptation devant les besoins des malades et les exigences du milieu, jadis le religieux médecin offrait ses services en quittant régulièrement Affagnan pour le Bénin (Tanguiéta). Dans sa relation avec ses

prendre en charge la colonisation. Pour faire venir la main d'œuvre, elle incita les pauvres d'Angleterre à émigrer à travers le système des indentured servants. On leur promettait une terre, et pour payer le voyage il suffisait de travailler gratuitement pendant un certain temps, souvent de 4 à 7 ans, ce qui revenait à être esclave temporairement. Jusqu'en 1662 l'exploitation des terres était assurée par ces pauvres Anglais venus là dans des conditions misérables, pas bien meilleures que celles des

bibliques. Durant cette période, les tendances du classicisme se retrouvent dans ses oeuvres. Rembrandt ne se limite pas à la peinture et s’adonne avec talent au dessin et à la gravure à l’eau-forte (la Pièce aux cent florins, les Trois arbres, la Petite tombe). Sa nouvelle femme finit par être interné en 1649, laissant à nouveau le peintre dans la solitude. Une fois de plus, cela ne dure pas puisque Rembrandt fait d’une jeune servante, Hendrickje Stoffels, sa compagne. Elle deviendra rapidement

haut dans l'Armée et il en est très fier. Il est devenu riche dans les tissus. Madame est très petite et adorable, mais très arrogante. Ils appartiennent à la classe moyenne, mais sur un degré plus élevé que les Loiseau. Comte et Comtesse Hubert de Bréville. Ils sont extrêmement riches. Monsieur est dans la Politique et dans l'Immobilier. Madame a un salon renommé. C'est la classe aristocratique. Deux sœurs, dont on ne connait pas le nom. Elles représentent Le Clergé. Elles se concernent surtout de

octobre 1910. A l’école, elle était aussi bien intelligente que violente. Clyde, lui, est né en 1909, un an avant Bonnie et lui aussi au Texas. Ils vécurent tous les deux dans une enfance pauvre. Clyde fut élevé par une de ses sœurs et non par ses parents. Après avoir échoué dans son année scolaire, il trouva un petit boulot de coursier à l’âge de 16ans. A la même époque, il intégra le Root Square Gang, un groupe d’adolescents spécialisé dans le vol. Il se fit arrêté à plusieurs reprises, mais ses parents

d'un grand maître; trois surtout rappelleront souvent vos regards. «Voyez celui d'une prieure dont la dévotion a attendri le cœur et exalté la tête. Son éloquence est ardente; ses paroles celles d'une inspirée; ses prières des actes d'amour. Les sœurs qu'elle juge dignes d'une communication intime ressentent bientôt la même ferveur; elle leur fait éprouver le besoin et goûter les charmes des consolations intérieures; elle les échauffe, pleure avec elles, et leur transmet les impressions célestes

préjugés. Le lecteur entre réellement dans la vie de ces sœurs et reçoit grâce aux fautes qu'elles commettent et aux pensées qu'elles transmettent, une véritable leçon de vie. C'est également ce qu'a voulu Balzac en écrivant la Comédie humaine et en tentant d'imaginer toutes ces vies différentes auxquelles le lecteur pourrait s'identifier et s'accaparer les points de vue et préoccupations des divers personnages. Comme par exemple ce pauvre Goriot, qui a raté beaucoup de sa vie et qui s'en repend