Petites sœurs des pauvres

du peuple, très excitée, rentre chez elle pour narrer à sa famille comment les prolétaires, les ouvriers, les petites gens, sont venus à bout de la monarchie. Ce régime tyrannique qui maintenait le peuple de France sous son joug depuis trop longtemps déjà. Traversant les ruelles sombres des bas quartiers de la capitale, elle regagne sa pauvre masure et trouve ses parents, frères et sœurs, tous impatients de connaître les détails de cet après-midi historique. « - Alors Jeanne ! Raconte-nous ! Vite

 LE CHEVALIER AU BOUCLIER VERT Odile Weulersse Chapitre 1 : Un départ précipité Personnages : Thibault de Sauvigny, 15 ans, écuyer, puis il devient chevalier. Fils du cousin du seigneur de Montcornet, son père est plutôt pauvre Courageux, joyeux, amusant Physique : Cheveux blonds bouclés jusqu’aux épaules PERSONNAGE PRINCIPAL Eléonore, on ne précise pas son âge mais on la qualifie de « jeune fille » Fille du Compte de Blois Coquette, belle, noble, gracieuse, généreuse Physique : « son visage

1885 (Paris) I) Sa vie privée 1) Son enfance Jules Vallès nait le 11 juin 1832 au Puy-en-Velay, il est le troisième enfant de Jean-Louis Vallès. Il vit dans un petit appartement qu'il qualifie plus tard de "petite maison basse et rongée" et de "prison" ce qui est certainement vrai car les différents domiciles de ses pauvres parents devaient êtres exigus et sombres. La vie des parents de Vallès était peu heureuse : ressources faibles, quatre enfants décédés en bas âge ; il est facile d'imaginer

Mademoiselle Victorine ? » ; « Eh ! comment ? ». 2 * Vautrin dispose de toutes les informations nécessaires pour s’adresser à Rastignac. En effet, il connaît sa situation familiale (« Nous avons, […] papa, maman, grand’tante, deux sœurs (dix-huit et dix-sept ans), deux petits frères (quinze et dix ans) ») et financière (« […] si l’on ne vous rapporte que douze cents francs par an et que votre terrine ne rapporte que trois mille francs ») à la perfection. Par ailleurs, Vautrin met Rastignac devant un

Une saison dans la vie Emmanuel de Marie-Claire Blais, on démontre la pauvreté en étant un des plus grands problèmes sociaux à cette époque. Les canadiens français cherchent à s’évader de la misère. Comment vous sentiriez-vous avoir quinze frères et sœurs; que l’on vous oblige de continuer les traditions et de cultiver les terres; que votre prénom est le Septième; que tu es si misérable que le seul temps que tu es heureux c’est lorsque ton frère a ses mains dans tes culottes? Les auteurs présentent

Le Vilain petit Canard Comme il faisait bon dans la campagne ! C'était l'été. Les blés étaient dorés, l'avoine verte, les foins coupés embaumaient, ramassés en tas dans les prairies, et une cigogne marchait sur ses jambes rouges, si fines et si longues et claquait du bec en égyptien (sa mère lui avait appris cette langue-là). Au-delà, des champs et des prairies s'étendaient, puis la forêt aux grands arbres, aux lacs profonds. En plein soleil, un vieux château s'élevait entouré de fossés

échantillon d’enfants pour symboliser cet univers de déséquilibre dans les droits humains. Un déséquilibre tel que la description de veste de Kaki, l’un des enfants qui figure dans le passage, tend vers l’animalité et la déshumanisation.  Né parmi les pauvres, les tendances idéologiques de Mohammed Dib sont fidèlement reflétées dans la vie quotidienne des personnages de ce roman-tribune qui plaide la cause du colonisé. Roman qui baigne au cœur du réalisme et qui vise avant tout une prise de conscience

pouvait être; j’entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d’un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l’étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine, et le petit chemin qu’il suit va être gravé dans son souvenir par l’excitation qu’il doit à des lieux nouveaux, à des actes inaccoutumés, à la causerie récente et aux adieux sous la lampe étrangère qui le suivent encore dans le silence de la nuit, à la douceur

Nous tenons ces vérités…sont créés égaux » « la gloire du Seigneur sera révélée à tout être fait de chair » La fraternité et l’unification du peuple américain :« les fils d’anciens esclaves…à la table de la fraternité », « les petits garçons noirs…comme frères et sœurs », « superbe symphonie de fraternité », « ensemble », « se donner la main ». La liberté et la justice :« liberté », « une oasis de liberté et de justice », « de défendre la cause de la liberté », « nous serons libres », « la cloche

Georges Izambard Le cœur supplicié 15 mai 1871, à Paul Demeny Chant de guerre parisien Mes petites amoureuses Accroupissements L’orgie parisienne Les mains de Jeanne-Marie Les Poètes de sept ans Les pauvres à l’église Ce qu’on dit au Poète à propos de fleurs Les chercheuses de poux L’homme juste Tête faune Voyelles L’étoile a pleuré rose… Oraison du soir Les sœurs de charité Les premières communions Le bateau ivre