Petite bourgeoisie

et des modes de vie observés : le bourgeois se lit à travers sa manière de vivre, son attitude intellectuelle et son instruction reçue. Elle distingue également plusieurs formes de bourgeoisie ( petite, moyenne ou haute bourgeoisie parisienne ; bourgeoisie catholique ou industrielle). L’auteur nous dit que la bourgeoisie est fondée sur l’ancienneté. Son écrit se poursuit par le récit de ses entretiens effectués non sans difficultés (recours à des « informateurs ») avec des personnes issues du milieu

leur accumulation. La nature des rapports de production découle de la place dans la propriété des moyens de production et les pouvoirs qui lui sont associés. Marx opposait deux classes centrales dans la société capitaliste, la bourgeoisie et le prolétariat. La bourgeoisie est constituée du groupe qui finance et contrôle les principaux moyens de production et de transports. Ce sont les gros actionnaires et leurs représentants, le Prolétariat est lui constitué du groupe qui tire ses revenus de la

possèdent les grandes terres, les « Junkers ». En Angleterre, ils siègent à la « chambre des Lords ». Avec l’industrialisation, la bourgeoisie se développe. A l’origine, le « bourgeois » désigne l’habitant des villes. A partir du XIXème siècle, ce mot désigne « Ceux qui ne travaillent pas de leurs mains et qui n’appartiennent pas à la noblesse ». Les valeurs de la bourgeoisie sont : le gout du travail, la volonté de réussir, le mérite, l’épargne, la famille, le gout du paraître, et le gout du loisir

dans l’Europe du 19° siècle, avec une grande diversité de ces pratiques selon la classe sociale. Il y a eu un modèle dominateur qui c’est diffusé : les pratiques et valeurs de la bourgeoisie. I Vers une uniformisation des pratiques culturelles ? A/ La bourgeoisie On va partir du groupe social dominant, la bourgeoisie, un groupe social très diversifié avec des écarts de fortune considérable (médecin, avocat, industriel…) et des métiers très différents. Ce qui relie les bourgeois c’est la culture

qui permet de définir les classes sociale fondamentale ce n’est pas le revenus , ni la professions c’est plutôt la position «économique» c’est-à-dire le fait d’être exploiteur ou non . Chacune de ses classes essaient de défendre ses intérêts la bourgeoisie essaie d’augmenter la plue value et la classe ouvrière essaie de limiter le niveau de son exploitation L’antagonisme des classes sociales sur la journée de travail Les ouvriers étant payer à la journée , pour augmenter la plue value ,

condamne les exploitations les – rentables. Les jeunes partent dans les villes : devenir ouvrier et salaire fixe 1850 jusqu’au 20e EXODE RURAL Prix productions agricoles s’effondrent donc accentue celle-ci ! Education d’une jeune fille de la Bourgeoisie : Mariage à un bon parti, se cultiver, art du savoir vire apprentissage de la littérature, épanouissement de l’art artistique Alliance matrimoniales entre des industriels & familles aristocratique Rôle : donner un héritier, créer une dynastie

Les conséquences de l'industrialisation sur la société française du 19ème siècle. Le chemin de fer, moteur de l’âge industriel au XIXe siècle en France. Introd: l'industrialisation / l'apparition du monde ouvrier / une nouvelle élite, la bourgeoisie / les transformations urbaines. La première révolution industrielle désigne la période historique qui s'étend de la fin du XVIIIesiècle et sur tout le Xxesiècle. La première révolution industrielle est liée à l'utilisation de la machine à vapeur

Rimbaud démontrent souvent sa façon de penser qui s’oppose au matérialisme de la bourgeoisie. Les Symbolistes n’appuyaient pas la classe bourgeoise et cela se reflétait dans leurs poèmes. Dans ‘Le bal des pendus’, il utilise les mots paladins et pantins pour les identifier et se venger d’eux, en les ridiculisant, comme on peut le lire encore une fois dans la deuxième strophe : «Messire Belzébuth tire par la cravate Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel.» Les pantins qui portent des cravates représentent

• Introduction Cet ouvrage, Grandes fortunes : Dynasties familiales et formes de richesses en France, de Michel Pinçon et de Monique Pinçon-Charlot, a été publié à Paris aux éditions Payot & Rivages en 2006. Il est publié dans la collection « Petite Bibliothèque Payot ». Cet ouvrage rigoureux et accessible synthétise de façon très complète leurs recherches scientifiques sur l’univers des grandes fortunes. Les auteurs, Michel Pinçon et sa femme Monique Pinçon-Charlot, sont les deux spécialistes

est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre françaisqui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Issu d'une famille de la riche bourgeoisie marchande parisienne (son père tient une boutique de tapissier qui vend mobilier, tissus et tapisseries à la haute bourgeoisie et à la riche aristocratie et il détient depuis 1631 la charge prestigieuse de« tapissier valet de chambre du Roi »), Jean-Baptiste Poquelin se consacre au théâtre à 21 ans après la