Petite bourgeoisie

trois à sept. Dans son ouvrage Les Luttes de classes en France, il définit sept classes sociales2 : l'aristocratie financière la bourgeoisie industrielle la bourgeoisie commerçante la petite bourgeoisie la paysannerie le prolétariat le lumpenprolétariat Mais Marx a toujours considéré que les deux classes les plus importantes étaient le prolétariat, et la bourgeoisie capitaliste (propriétaire des moyens de production), qui sont les deux pôles antagonistes acteurs de la lutte des classes dans la

Marxiste Petite Bourgeoisie traditionnelle : artisans, commerçants… Définition possible : Classe en soi : caractéristiques objectives communes Classe pour soi : plus difficile, hétérogénéité avec des fragments de classe. C- Bourdieu Réponse explicite : Définition possible K éco, culturel et social Petite Bourgeoisie d’exécution : instituteurs, cadres moyens Petite Bourgeoisie en déclin : artisans, commerçants, difficultés à transmettre leur boutique et leur patrimoine Petite Bourgeoisie

Qu’est-ce qui préoccupe les jeunes du film ?   4. Faites un petit portrait physique et psychologique de :               Philippe             Charlotte             Nathalie             Patrick   5. Qu’est-ce qui indique la couche sociale des personnages principaux ? Qu’est-ce que le « Drugstore » ?   6. Quelle image de la jeune fille de la haute bourgeoisie est présentée dans le film ? du jeune homme de la haute bourgeoisie ? Est-ce que ce sont des portraits sympathiques de la part du

Etude de mœurs : la petite bourgeoisie Tous les jeudis soirs, la famille Raquin reçoit différents invités. On a tout d’abord le commissaire de police Michaud qui est un vieil ami de Madame Raquin. Tous les deux s’étaient perdus de vue puis se sont rencontrés par hasard au passage du Pont-Neuf. Il est très souvent à l’heure et expose « une face blafarde ». Michaud amène ensuite son fils Olivier, un grand garçon de trente ans sec et maigre qui occupe un emploi à la préfecture de police. Il est

classe moyenne est le stéréotype de "l'idéal raisonnable", elle permet l'accès à la consommation de masse sans avoir "la culpabilité de la classe possédante". * Intrusion par le haut : On se dit plus facilement de la classe moyenne que de la petite bourgeoisie, en effet la classe moyenne inspire des valeurs positives (ascension sociale par le travail) tandis que la classe bourgeoise est chargée d'une symbolique plus négative (classe exploitante). * Intrusion par le bas : La classe moyenne c'est

semble en effet cristalliser tout ce que Flaubert déteste. En quoi Homais incarne-t-il l’anti-Flaubert ? I. Ce personnage incarne d’abord la vanité bourgeoise, honnie par Flaubert. Il incarne toutes les fausses valeurs qu’il déteste dans la petite bourgeoisie de son époque : la malhonnêteté, le conformisme, la réussite matérielle et l’ambition. 1. C’est un personnage détestable prêt à tout afin de gagner la reconnaissance. Flaubert le présente ainsi : « Sa figure n’exprimait rien que la satisfaction

clairement ce qui fait la particularité de ce portrait (subjectif/ négatif/ ironique) C) Problématique et axes En quoi le personnage dépeint ici est-il médiocre, ordinaire, « réaliste » ? Un portrait en partie subjectif Un portrait négatif Un portrait de petit-bourgeois, engeance haïe des artistes… ( la satire sociale) D) Lecture analytique 1) Un portrait en partie subjectif : repérage du point de vue - l1-13 : narrateur omniscient « sa réputation était établie tout à fait », « les campagnards le chérissaient

roman est une véritable provocation (pour l’époque). B. Une scène chez les petits bourgeois. - Le lecteur est plongé directement dans l’histoire grâce à un narrateur extérieur à l’histoire mais omniscient. Il s’agit d’une scène de comique conventionnel : les deux fils se moquent gentiment de leur père. - Les dialogues transcrivent la réalité et permettent une satire de la petite bourgeoisie à travers le père Roland qui prononce un juron. - La manne avec l’agonie des

distinguer sont les girondins et les montagnards. Et tandis que ce dernier supportait la petite bourgeoisie, était très favorable à la démocratie et rejetait la monarchie, les girondins eux étaient supporté par la grande bourgeoise et étaient plus radicaux. En ce qui concerne la deuxième république : On distingue les républicains socialistes, les républicains modérés avec Lamartine, le Parti démocrate (petit bourgeois, paysans), le Parti de l’Ordre( parti conservateur) et les Bonapartistes.

chef la petite bourgeoisie, au travers d’une galerie de personnages où se détache la figure du pharmacien Homais. Ce personnage qui prendra ultérieurement de plus en plus d’importance dans le roman n’apparaît que dans la 2e partie. Flaubert pique notre curiosité en nous décrivant l’orgueil foncier de l’apothicaire qui a fait peindre partout son nom en lettres d’or, son goût du commerce plus que de la santé d’autrui. Au-delà du personnage un peu grotesque et contradictoire, s’élabore petit à petit