Petit Chien

brute prétentieuse sous des dehors comiques et chamarrés, comme elles dissimulent leurs grosses mains rouges sous des gants de soie écrue. Elle avait pour servante une brave campagnarde toute simple, nommée Rose. Les deux femmes habitaient une petite maison à volets verts, le long d’une route, en Normandie, au centre du pays de Caux. Comme elles possédaient, devant l’habitation, un étroit jardin, elles cultivaient quelques légumes. Or, une nuit, on lui vola une douzaine d’oignons. Dès que Rose

fait que j’ai bien reçu votre courrier, concernant les réclamations par rapport à mon chien. En reprenant vos mots : « Les locataires maîtres d’animaux domestiques doivent veiller à ce que leurs compagnons ne causent aucun dégât à l’immeuble et aux parties communes, ni aucun désagrément à leur voisins. » Je tiens à préciser que les personnes qui ont saisis ses réclamations sont aussi propriétaire l’une de chien qui n’ai jamais tenu en laisse (App. 5055) et l’autre personne (App.5058) propriétaire

La cigale ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foi d'animal, Intérêt et principal. La Fourmi n'est pas prêteuse, C'est là son moindre défaut. Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. Nuit et jour

mes devoirs, comme ça, je n'aurais à m'inquiéter pour ça. GO ! GO ! AYA ! Le tigre, le chien féroce d'à côté a tué Mary en lui arrachant la tête. Mary qui était très petite, approcha le monstrueux tigre en remuant gentiment sa queue. J'ai hurlé de toutes mes forces, "Mary non! Reviens ici!" mais... Mary devait être frustrée... Elle mourrue sans avoir put dire un mot. Si cette pauvre petite chienne n'était pas née, elle ne serait pas morte si rapidement. Mary, je t'en pris, soit heureuse autre

ACTEON Actéon est le petit-fils d'Apollon par son père et l'arrière petit-fils de Mars par sa mère. Cependant, il fut élevé par le centaure Chiron qui lui apprit l'art de la chasse. Un jour qu'il chassait dans les bois de Cithéron avec sa meute de cinquante chiens, il se perdit et se retrouva par hasard face à Artémis et ses suivantes qui se baignaient nues dans la fontaine de Gargaphie. Subjugué par leur beauté divine, il ne put s'empêcher de rester pour les contempler. Les suivantes entourèrent

l’inverse. -> v.8 : « les loups voyageurs que nous avons traqués » -Lutte inégale -> Les hommes nombreux, désignés par des pluriels, face au Loup seul. -> Champ lexical des armes : « couteaux » ( v.24) ; « fusils » (v.25) -….Sauf contre un chien (donc pas un homme) Violence de la lutte, perspective épique : hyperboles :« mâchoires de fer » (v.47) ; mouvements violents : « traversaient sa chair » (v.48) ; « plongeant dans ses larges entrailles » (v.50) . / Durée de la lutte, prolongement

habile, L'autre riche, mais ignorant. Celui-ci sur son concurrent Voulait emporter l'avantage : Prétendait que tout homme sage Etait tenu de l'honorer. C'était tout homme sot ; car pourquoi révérer Des biens dépourvus de mérite ? La raison m'en semble petite. Mon ami, disait-il souvent Au savant, Vous vous croyez considérable ; Mais, dites-moi, tenez-vous table ? Que sert à vos pareils de lire incessamment ? Ils sont toujours logés à la troisième chambre, Vêtus au mois de Juin comme au mois de Décembre

l'emmène naviguer sur la baie de San Francisco. Il se met alors à travailler et collectionne les petits boulots pour acheter un esquif. En 1887, il entre dans l'Oakland Cole Grammar School. Il continue de travailler, et réussit à se payer un skiff à soixante dollars avec lequel il entre en compétition l'année d'après, en 1888. Résumé : L'histoire commence avant la naissance de Croc-Blanc, un chien loup. Le roman suit la meute d'où il vient et ses premières semaines de vie sauvage, sa lutte pour

Zadig et la haute société avec des superlatifs constant comme « Le grand veneur »  « Le premier »l.1 « du grand Desterham »l.3.. Le héro quant a lui est accusé d'avoir soit disant volé la chienne et le cheval du roi, dénoncée par le grand veneur et le premier eunuque qui « ne doutèrent pas qu'il eu volée le chien de la reine et le cheval du roi » l.2 ceci montre bien que le jugement et basée sur des non faits non prouvée et non démontrée, juste une rumeur de « on a dis que ». Le hero se vois donc

scène, nous remarquons que cette pièce appartient bien au registre comique. En effet, nous sommes premièrement un peu surpris des petits surnoms affectifs qu'emploie Tchouboukov avec Lomov durant toute l'histoire, et même durant les disputes un peu violentes. Ce qui rend forcément un effet purement comique : « Mon mignon » (l.1 scène 1), « Mon poussin, les Petits-Prés-aux-Boeufs sont à nous » (l.5 scène 2), « Ce n'est pas vrai, monsieur! Mon poussin je suis vif » (l.26 scène 7). Ces surnoms affectifs