Petit Chien

siècle caractérisé par un essor bancaire conséquent et une importance grandissante de l’argent dans la société. Le texte proposé est un extrait de « Pierrot », l’une des nouvelles de ce recueil dans laquelle une dame campagnarde décide d’acquérir un chien après le vol de quelques oignons. Nous verrons en quoi Maupassant érige, par le biais de ce récit, une critique de l’argent et des mœurs de la société du XIXème siècle. Nous nous demanderons, en premier lieu, en quoi cet extrait nous présente une vision

grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule, pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint, avec un jeu de mot en latin sur les futurs dominicains, dominicanes (les chiens du Seigneur)2 qui ont pour vocation d'« aboyer contre les hérésies » et d'être les chiens du Seigneur surveillant le troupeau de brebis. C'est ainsi que l'iconographie les figure parfois, comme à la chapelle des Espagnols de la basilique Santa Maria Novella de Florence, où les chiens de berger protègent

Un chien se fiche éperdument des grosses voitures,des belles maisons ou des vêtements de marque. Un morceau de bois mordillé ça lui va très bien. Les chiens se moquent que vous soyez riches ou pauvres, beaux ou laids, intelligents ou bêtes, donnez lui de l’amour et il vous en donnera. Combien d’humains sont capables de ça ? Combien de gens sont capables de vous donner le sentiments que vous compter vraiment pour eux ? Combien de gens arrivent à vous donner l’impression que vous êtes unique au monde 

bourgeois qui promène un singe en laisse. Toujours au premier plan sur la gauche, est allongé un ouvrier qui fume la pipe. Près de lui, une femme bourgeoise brode. On remarque la présence de deux chiens de race et de taille différente. Le petit chien est la propriété des bourgeois tandis que le gros chien appartient aux ouvriers. Au deuxième plan, une femme tenant une ombrelle se promène avec un enfant. A sa hauteur, une femme pêche. Un peu plus loin, un homme joue de la musique. Au dernier plan

et celui de sa chienne. (p. 180) - « Elle ne pleura pas, mais elle demeura longtemps immobile à regarder » la vielle « la chienne hurlait, Elle hurlait, cette bête, d’une façon continue, debout au pied di lit » la chienne « penchée maintenant » la vielle b) Interprétation Qu’est-ce que ce contraste fait ressortir quant au personnage de la vieille ? Cela fait ressortir que la Vielle est ronger par la rage de le venger et non par la peine de la perte de son fils. Mais la chienne est tout l’inverse

longues oreilles" . Il choisit de se rendre plutôt que d'attaquer ou de s'enfuir . La mort du loup peut faire penser à la mort de Langlois " le loup regarde le sang du chien sur la neige" il accepte de mourir peut être pour les même raisons car apparemment il a tué le chien pour se divertir car il ne l'a pas mangé " il y a le chien de Curnier , couché , mort" Le loup à le droit à une mort douce grâce à Langlois " nous nous serions certainement rués sur lui de toute nos forces " . Langlois lui prend

l'Alcázar de Madrid du roi Philippe IV d'Espagne dans laquelle se trouvent plusieurs personnages de la cour. La jeune infante Marguerite-Thérèse est entourée de demoiselles d'honneur, d'un chaperon, d'un garde du corps, d'une naine, d'un nain et d'un chien. Derrière eux Vélazquez se représente lui-même en train de peindre, regardant au-delà la peinture, comme s'il regardait directement l'observateur de la toile. Un miroir à l'arrière plan réfléchit les images de la reine et du roi en train d'être

mystérieux de chiens de garde, dont les têtes ont disparu et la disparition de la tête du cadavre d’un chien sauvage. Epoque et durée de l’action L’histoire se passe au 1er siècle en 79 après Jésus-Christ, au mois de juin, sous le règne de l’Empereur Vespasien. Elle dure un mois. Description des lieux L’action se déroule à Ostia, port de la Rome Antique, dans plusieurs lieux : les maisons des principaux personnages, rue de la Fontaine-Verte, dans lesquelles deux meurtres de chiens sont commis

Ferdinand Bardamu, héros narrateur du roman Voyage au bout de la nuit (Louis Ferdinand Céline, 1932) se trouve au front, pendant la guerre 1914-18. Voici ses réflexions. 1.Ce colonel, c'était donc un monstre! A présent, j'en étais assuré, pire qu'un chien, il n'imaginait  pas son trépas! Je conçus en même temps qu'il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre  armée, des braves, et puis tout autant sans doute dans l'armée d'en face. Qui savait combien? Un,  deux, plusieurs millions peut-être

vieux Salamano, mon voisin de palier. Il était avec son chien. Il y a huit ans qu'on les voit ensemble. L'épagneul a une maladie de peau, le rouge, je crois, qui lui fait perdre presque tous ses poils et qui le couvre de plaques et de croûtes brunes. A force de vivre avec lui, seuls tous les deux dans une petite chambre, le vieux Salamano a fini par lui ressembler. Il a des croûtes rougeâtres sur le visage et le poil jaune et rare. Le chien, lui, a pris de son patron une sorte d'allure voûtée