Pesticide

mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques[2]. Pour atteindre ces objectifs, les agriculteurs biologiques s'interdisent (et excluent réglementairement) l'usage d’engrais chimiques de synthèse et des pesticides de synthèse, ainsi que d'organismes génétiquement modifiés. Les agriculteurs qui pratiquent ce type d'agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures, l'engrais vert, le compostage, la lutte biologique, l'utilisation de produits

et les durées de présence sont suffisants pour produire un effet toxique et /ou écotoxique. b - le sol La pollution du sol peut être diffuse ou locale, d'origine industrielle, agricole (suite à l'utilisation massive d'engrais ou de pesticides qui s'infiltrent dans les sols). Ces pollutions agricoles peuvent avoir plusieurs impacts sur la santé humaine, en touchant des nappes phréatiques d'une part et en contaminant par bioaccumulation c – l’eau La pollution de l'eau peut avoir diverses

moins n'ont aucun effet sur son organisme. III. Les risques des OGM L'existence de risques liés aux OGM ne fait pas l'unanimité auprès de tous les acteurs du débat… • Risques économiques Même jugée indispensable pour réduire l'usage des pesticides, la commercialisation des OGM, risque de mettre à mal l'économie et l'agriculture de certains pays en voie de développement. Ainsi certains planteurs affirment que la moitié des paysans de certaines régions ont perdu de l'argent à l'issue de la

animaux peuvent contaminer les eaux souterraines des puits qui ne sont pas très profond. C’est eau pollué contienne des bactéries nocive. Les produits chimiques qui polluent l’eau venant des produits phytosanitaires que l’on utilise, (insecticides, pesticides, ou fongicides). Ces produits peuvent se charrier dans la pluie et ensuite polluer les nappes phréatiques. Ces engrais chimique sont ensuite transporter dans les lacs ou les rivières et ce qui entraine la dégradation de l’eau. L’industrie est aussi

d'ordre ecologique : les productions de certains états utilisent des methodes agricoles peu respectueuses de l' environnement et dangereuses à long terme. Des pratiques telles que l'agriculture intensive qui utilise beaucoup d' eau, d'engrais et pesticides divers qui degradent les sols en font partie. Par exemple Les conditions de travail des agriculteurs ainsi que leurs salaires peu élevés sont aussi des problèmes auxquels doivent répondre les revolutions vertes. En Inde, un très grand nombre suicides

AGRICULTURE BIOLOGIQUE L’agriculture biologique possède un mode de production spécial. Elle vise à maintenir et à améliorer l’écosystème*, à diminuer la pollution et l’utilisation d’énergies non renouvelable. L’utilisation d’engrais chimiques, de pesticides et de désherbants manipulés génétiquement est interdite. L’agriculture biologique respecte l’environnement en augmentant la fertilité du sol, notamment en utilisant des fertilisants naturels. Ce type d’agriculture dispose de 3 grands principes :

mammifères marins, les poissons, les algues, etc. 1) La pollution des cours d'eau est devenue l'un des problèmes majeurs de l'environnement. Cette pollution provient essentiellement des produits chimiques rejetés par les usines, des engrais et des pesticides utilisés en agriculture, des déjections animales (vaches, porcs, etc.), ainsi que des fuites de conduites (égouts et fosses septiques). La pollution de l’air est due à la présence de polluants dans les plus basses couches de l’atmosphère

bien d’autres rai- sons. D’abord, les agriculteurs des pays pauvres ne produisent pas assez. Au Mali par exemple, un hectare de céréales produit environ 650 kg de grains. En France, dix tonnes ! Ces paysans n’ont pas les moyens d’acheter des pesticides ou de l’engrais, qui permettent de produire davantage et sans trop de perte (sans parasites comme les insectes ou les champignons). Les animaux n’ont pas été remplacés par des machines pour labourer les champs et transporter les récoltes. Les systèmes

la proportion de biomasse exploitée pour la chimie et l’industrie. Les biocarburants de 1ère génération : Les biocarburants de 1ère génération: les limites : Concurrence avec les cultures à usage alimentaire. Utilisation d’engrais et de pesticides pour une culture intensive des végétaux. Utilisés comme additifs à hauteur de 10% Les biocarburants de 2ème génération : Exploitation de la lignocellulose (présente dans la paroi des cellules des végétaux) du bois, paille, résidus et déchets

huiles, …), Ce sont des produits d’usage quotidien de l’homme pour combler son besoin énergétique. Ils résultent d’une transformation de la roche pétrolifère enfuit dans le sol. Donc son origine s’y trouve. c- les produits phytosanitaires (pesticides, herbicides) Il s’agit des produits d’usage agricole résultant des combinaisons et transformations chimique donc dangereux pour le sol. d- Les déchets (ménager comme industriel) Ce sont les résidus de ce qui a été consommé dont le consommateur