Pesticide

2 – comparaison du fonctionnement sur 2 agrosystèmes  3 ‐ impact écologique de l'agriculture   A ‐ en fonction de nos choix alimentaires                          B‐ relatif aux impératifs de rendement  Etude de dossiers :  ‐ Engrais ; Elevage ; Pesticide ; tomates  Chapitre 2: nourrir 9 milliards d’Etres Humains: défis techniques et scientifiques    ‐ amélioration des rendements et gestion durable  A ‐ les techniques sur le matériel végétal                                          B‐ une agriculture raisonnée   

durable pour la protection du patrimoine. Consommer bio est aussi bon pour la protection de la faune et du paysage. Ils ne contiennent pas beaucoup d’eau donc l’eau n’est pas gaspillée. Des analyses de contrôle déterminent la quasi-absence de résidus pesticides. Les fruits et légumes bio ne parcourent plus des milliers de kilomètre avant d’arriver dans les assiettes des consommateurs. Il n’y a pas d’agent chimique qui altère le gout et les aliments ce qui évite le gaspillage puis des recettes originales

véhicules automobiles, les installations de chauffage, des centrales électriques et installations industrielles: produits chimiques dudioxyde de carbone, de soufre et d'azote, poussières, particules radioactives, produits (dont certains engrais et pesticides), etc. Il ya deux types de sources: d'origine anthropique, par exemple, lesémissions des fours et des chaudières (chauffage des locaux, y compris la combustion du bois et le chauffage industriel), les moteurs (routier, maritime et aérien), les usines

Facteurs environnementaux Température (incluant le gel hivernal) Pluie (excès ou sécheresse) Vent Grêle Polluants Ensoleillement (insolation) Humidité relative • Pratiques culturales Choix du site (incluant rotation des cultures) Fertilisation Pesticides Irrigation Drainage Sol (structure, compaction, pH , salinité) Blessures mécaniques • Facteurs génétiques Vis-à-vis cette diversité de facteurs pouvant engendrer des anomalies sur les plantes, il faut éviter à tout prix de conclure trop rapidement

et des maladies nosocomiales jugées préoccupantes. La recherche de justes équilibres entre exposition au risque et solutions médicales est en cours est rendue difficile dans un contexte d'exposition accrue à des cocktails de polluants complexes (pesticides en particulier) et perturbateurs hormonaux, de modifications sociétales et climatiques planétaires (cf. maladies émergentes, risque pandémique, zoonoses, risque de bioterrorisme..), La lutte contre les infections nosocomiales à l'hôpital, ou

multipliées notamment dans le cadre des actions du Parc naturel régional. Les difficultés : Les eaux d’irrigation du Rhône chargées de polluants s’évacuent pour une part vers les étangs. Par le biais des chaînes alimentaires, les métaux et les pesticides, par exemple, contaminent poissons et oiseaux piscivores. Les dunes dont la flore est remarquable sont de plus en plus exposées à la houle et aux tempêtes (montée du niveau marin), ainsi qu’au piétinement par les touristes. Leur végétation se dégrade

Les produits chimiques qui polluent l’eau sont issus des engrais et des produits phytosanitaires qu’on utilise, comme les insecticides, pesticides ou fongicides employés couramment pour éliminer les insectes et protéger les végétaux. Ces produits peuvent être charriés par les eaux de ruissellement et polluer les nappes phréatiques. Les engrais chimiques sont transportés dans les lacs ou les rivières par les eaux de pluie et entraînent ainsi la dégradation de l’eau. Le domaine de l’industrie est

été fait avant ; j’ai toujours cherché le meilleur compromis entre les exigences du jeu de golf moderne et le respect de la nature. Entretenir un golf de qualité avec 0% de produit phytosanitaire est un doux rêve, mais une sensible réduction des pesticides est possible. Sommes-nous obligés d’apporter le même soin aux 120 ha du golf ? Notre objectif à court terme est d’obtenir le « LABEL ECODURABLE » délivré par l’agence de certification ECOCERT et de se plier à ses exigences. Avec pour objectif une

peuvent être d’origine naturelle : émissions volcaniques, plantes produisant des pollens, foudre... Mais également dues aux activités humaines : transports, industrie, chauffage des bâtiments, agriculture avec l’utilisation d’engrais azotés, des pesticides, les émissions animales et l'incinération des déchets. II.Quels sont les effets sur la santé humaine? Les effets de la pollution de l’air dépendent de notre état de santé, de la concentration des polluants, de la durée pendant laquelle on les

concombre, melon, pastèque, giraumon, etc…). Une bioconcentration dans la viande et le poisson, via la chaîne alimentaire est plausible (c'est un phénomène connu et courant pour d'autres pesticides rémanents, organochlorés notamment), mais non documentée pour le chlordécone aux Antilles. Une centaine d’échantillons de lait maternel a fait l'objet d'analyses : 40% des