Pesticide

peut revêtir de multiples formes et être : brève ou chronique ; visible (fumée) ou invisible (pesticides dans l’air[3]) ; émise massivement ou en faible dose ; émise en quantité dispersée (exemple : pollution émise par les centaines de millions de pots d’échappement) ; locale et émise par une source fixe (exemple : cheminée, usine…), ou émise par des sources mobiles (voitures, épandeurs de pesticides, transport maritime ou aérien[4], etc.), l’ensemble de ces sources contribuant à une pollution

parasites, aux pesticides et aux rigueurs du climat que les organismes naturels. S’ils sont répandus dans l’environnement sans avoir été stérilisé au préalable, ils pourraient mettre en péril tous les organismes naturels et détruire ainsi toute la biodiversité. Le problème est que tous les utilisateurs d’OGM n’ont pas forcément les moyens de les faire stériliser ou de les acheter déjà stérilisé. De plus, un OGM résistant aux pesticides risque d'accroître l'utilisation de ces mêmes pesticides. À terme,

II) Avantages de l’agriculture biologique L’agriculture biologique a de nombreux objectifs, ce qui montre qu’elle présente de multiples avantages pour tous. En effet, elle conduit au refus du recours aux produits chimiques de synthèse et aux pesticides. Elle vise donc, par ses objectifs écologiques, à préserver les écosystèmes naturels du sol, des plantes, des animaux, de l’eau et des paysages. Elle garantit également l’obtention de produits sans OGM (Organismes Génétiquement Modifiés). Elle recherche

développement durable. Face à la crise qui frappe, aujourd’hui, l’agriculture, les OGM sont des plantes plus résistantes, moins sujettes aux maladies et demandant moins de pesticides que les cultures normales. De plus, leur culture serait facilitée et demanderait moins d’énergie fossile : diminution des épandages d’engrais, de pesticides,… On a même introduit des gênes d’araignées dans des chèvres pour que leur lait produise des fibres textiles. Ils pourraient également être une voie pour résoudre le

et améliorées qui sont plus performantes et poussent plus rapidement. Pour favoriser la croissance des productions, on développe l’irrigation, les engrais chimiques sont de plus en plus utilisés dans les champs, et pour protéger les cultures les pesticides sont développés. En même temps, l’Etat assure les paysans de l’achat de leurs productions, les incitant ainsi à investir. Ils se mécanisent, bénéficiant alors de l’électrification des campagnes. Des vulgarisateurs parcourent le pays pour faire connaître

l’écologie. (le plus petit)-– (silence) (le plus grand)-- Tu te rends compte de la chance que nous avons de vivre dans un monde où les fruits et légumes que nous mangeons sont tous bio à 100%, pas d’engrais chimique, pas d’insecticide, pas de pesticide et surtout pas d’OGM. (le plus petit)-– (mutité) (le plus grand)-- Tu te rends compte de la chance que nous avons de vivre dans un monde où la viande que nous mangeons vient d’animaux vivant en liberté et non en batterie , qu’ils se nourrissent

se raréfie rapidement, avec les conséquences que l’on peut imaginer pour tous les êtres vivants. Les raisons de cette catastrophe? Ruisseaux et fleuves canalisés, zones humides «assainies», rives des lacs bétonnées; déversements d’engrais, de pesticides et d’eaux usées, accidents industriels; prélèvements d’eau pour la production d’électricité, l’approvisionnement en eau et l’irrigation des cultures. Plus de la moitié des cours d’eau, des zones humides et des plans d’eau naturels ont été détruits

à la main. Lorsque la terre est meuble, c'est-à-dire humide et non tassée, le travail va vite mais cela reste fatiguant. ∙ Le désherbage aux pesticides : le pesticide est un produit chimique qui s’infiltre dans le sol et tue les racines. Mais dans certaines communes, les pesticides sont interdits car ils s’infiltrent aussi dans les nappes phréatiques et contaminent l’eau. ∙ Le désherbage thermique : c’est

gérer les cours d’eau de manière plus écologique (barrages, fleuves etc.). C’est à dire ne rien déverser dans les rivières (le lisier, les pesticides etc.)  Préserver les nappes souterraines qui représentent 97 pourcent des réserves d’eau douce mondiale. Il faut protéger les nappes souterraines des sources de pollution (comme les nitrates, les pesticides etc. qui sont contenus dans les eaux de ruissèlement et dans les fuites provenant des habitats)  CES SOURCES DE POLLUTION DOIVENT ÊTRE RÉDUITES

Premièrement, il est probable que le champ dans lequel a été effectuée l’expérience ne soit pas infester d’une grande quantité d’insectes, et donc, que le pesticide n’est aucune influence. D’autre part, la température dans lequel les plantes ont poussés était très variable. La présence de la chaleur pourrait aussi modifiée la fiabilité du pesticides B.T. Malgré tout, je suis d’avis que les résultats de mon expérience sont fiables et peuvent être pris en considération. CONCLUSION Pour conclure