Peste antonine

long de sa lutte. Cette solitude lui permet néanmoins de méditer. C’est la fin de la peste, Tarrou étant la dernière victime. La réouverture des portes annonce la libération, la joie est présente partout dans la ville. Rieux annonce qu’il est l’auteur de cette chronique. Il retourne chez le vieil asthmatique. De là il tire les leçons de ce qu’il vient de vivre, qui permet le titre de l’œuvre : La peste. La scène se déroule à l’écart, le soir, moment de recueillement. Rieux apparaît à l’écart

de la ville d'Oran Conclusion ALBERT CAMUS : LA PESTE : INCIPIT : LA VIE A ORAN Introduction : L'oeuvre de Camus pourrait s'ordonner autour de deux pôles : l'absurde, dont l'oeuvre représentative reste L'Étranger (1942), et la révolte, avec La Peste (1947), mouvement de pensée d'après lequel il existe une valeur qui donne à l'action son sens et ses limites: la nature humaine. Le texte que nous avons à étudier est l'incipit de La Peste, roman publié en 1947. Ce début est conçu d'une façon

semble être le plaisir de la débauche qui attire Lorenzo. Cette scène d’exposition nous donne le ton de la pièce, et nous livre les coulisses du pouvoir. La vie privée du Duc est en fait le reflet de la ville de Florence ® La Peste de Camus : peut on vivre dans la peste sans l’attraper ? La jeune fille est le symbole d’une ville qui se prostitue aux faveurs des Médicis. Lorenzaccio apparaît comme un oiseau blessé et piégé, prêt à tout pour assassiner Alexandre de Médicis.

Fred Vargas maitrise très bien l'art de la surprise et de l'étonnement. Ses personnages sont attachants, tel que Adamsberg même s'il est solitaire. L'enquête racontée dans ce livre est passionnante car, elle lit à la fois mystère et légende ( la peste, la bague protectrice ect. ) On ne se doute pas de qui peut bien être le tueur une seule fois avant la fin. Plan détaillé : I ) Des figures de style pour expliquer l'égarement. 1) Une métaphore pour décrire les difficultés. exemples : l

proche d'Henri III ainsi qu’Henri IV. (Il est d’ailleurs nommé Gentilhomme de la Chambre du Roi (Noble préposé aux offices intérieurs service et dépenses). Comme sont père, il fut élu maire de Bordeaux, en 1580. Il est alors réélu en 1583. (Mais la peste fait des ravages. Il fuit alors son château, et abandonne sa charge de maire) En 1578, lorsque sa maladie de la vessie se déclare, il entreprend un long voyage de treize mois en Italie. Il meurt le 13 septembre 1592 au château de Montaigne, d'un

SITUATION INITIALE Au départ, la peste n’était plus autant préoccupante pour la population même s’il y eu de tragiques évènements qui se sont déroulés dernièrement. Les gens retournèrent à leurs simples vies routinières. L’inquiétude et la surprise de la situation n’empêchèrent pas de détruire la vie quotidienne des gens. ÉLÉMENT DÉCLENCHEUR Mais soudain, lorsqu’un léger grincement s’entendait partout dans la ville. Chacun des citoyens se retournèrent pour apercevoir les grandes portes principales

Rieux consulte ses confrères. Le vieux Castel, l’un d’eux, confirme ses soupçons : il s’agit bien de la peste. Rieux parvient avec difficulté a faire prendre conscience aux autorités de la gravité de l’épidémie. Fermeture de la ville Deuxième partie La ville s’installe peu à peu dans l’isolement. L’enfermement et la peur modifient les comportements collectifs et individuels : ” la peste fut notre affaire à tous”, note le narrateur. Les habitants doivent composer avec l’isolement aussi bien

qui est mort à la guerre en 1914. Il a eu une enfance difficile élevé par sa mère en partie sourde dans un petit appartement insalubre. A l’école primaire il est remarqué par un instituteur Louis Germain (qui deviendra plus tard l’un des héros de la peste), qui lui fait des leçons supplémentaire gratuitement et qui lui obtiendra une bourse pour qu’il puisse aller au lycée. Au lycée il découvre le foot qui deviendra son sport préféré. A 17 ans il se met a craché du sang et a l’hôpital Mustapha on

Albert CAMUS, La peste, 1947 Une épidémie de peste sévit à Oran, en Algérie, dans les années quarante. Lorsque le fléau disparaît enfin, il fait une dernière victime en la personne de Tarrou, l'ami du médecin Rieux, le héros du roman. A midi, la fièvre était à son sommet. Une sorte de toux viscérale secouait le corps du malade qui commença seulement à cracher du sang. Les ganglions avaient cessé d'enfler. Ils étaient toujours là, durs comme des écrous,vissés dans le creux des articulations

philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car, dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir, et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l'esprit l'exemple d'Aod, qui assassine le roi Eglon; de Judith, qui coupe la tête d'Holopherne