Personnages Marginaux

élevé puisque les BSI sont aussi soumis aux externalités de biens publics résultant de la non rivalité de l’information. Ces deux effets externes sont assimilables à des biens libres et constituent des facteurs naturels de gratuité des BSI. Le coût marginal de re-production des BSI étant proche de zéro, il ne coûte pratiquement rien de servir un individu supplémentaire. Nous avons précisé, dans deux précédentes analyses4, que les BSI sont obtenus à partir de processus de valorisation des sources d’information

(1834-1910), vont faire paraître en 1870 des bouquins et articles qui fondent un nouveau concept : la théorie de la valeur subjective, et ce, alors qu’ils ne se connaissent pas. Ce courant est aussi nommé : courant marginaliste ou de l’utilité marginale. La valeur d’un bien économique trouve son fondement dans le fait qu’un agent va le désirer pour son utilité, mais le critère d’utilité est subjectif. Ce n’est pas la technologie incorporée dans le bien, ni la quantité de travail qu’il a fallu

(DG). a) Construire les droites (AE), (BF) et (DG) b) Calculer les coefficients directeurs de ces trois droites. 3) En économie, le coût marginal au rang q est le coût supplémentaire dû à la fabrication du (q+1)-ième article quand l’entreprise en a déjà fabriqué q. a) Expliquer pourquoi le nombre dérivé donne une bonne approximation du coût marginal au rang q (repartir de la définition du nombre dérivé) b) Donner une interprétation économique des calculs réalisés à la question 2. Exercice

maximise ses profits en : a) b) c) d) e) Demandant un prix plus élevé au segment de marché avec la demande la plus élastique; Égalisant la marge prix-coût pour tous les segments; Demandant un prix égal au coût marginal; Demandant un prix égalisant la recette marginale pour chaque segment; Vendant uniquement au segment de marché avec la demande la moins élastique. #3 Est-ce qu’un monopoleur classique produit toujours plus qu’un monopoleur utilisant la discrimination par les prix?

obtention de l’équilibre. De la même manière, les producteurs réalisent un surplus (la zone 2), car ils étaient prêts à vendre moins cher ces unités en quantité moindre qu’à l’équilibre comme le montre la courbe d’offre [qui est la courbe de coût marginal dans sa partie croissante]. La somme des deux surplus consiste en un surplus social, maximisé en situation de concurrence pure et parfaite. Deux faits sont alors notables si le monopole conduit effectivement à un prix (P’) supérieur et une quantité

ses activités jusqu’à ce que la situation s’améliore. 4) Une firme en concurrence parfaite qui maximise ses profits produira jusqu'au point où son prix égale son coût marginal (Cm). 5) Une firme en concurrence parfaite produisant une quantité telle que son coût marginal (Cm) est supérieur à sa recette marginale (Rm), produit plus que la quantité qui maximise ses profits. 6) Dans une industrie parfaitement concurrentielle, la courbe de demande de marché a une pente négative.

x2’’(x1) = (3/4)q²x1-5/2 > 0 donc les isoquantes sont strictement convexes. 2. Définir la notion de productivité marginale d’un facteur. Déterminer les productivités marginales des deux facteurs. (1,5 point) - Définition - Pm : Pm1(x1,x2) = (1/4)x1-3/4x21/2, Pm2(x1,x2) = (1/2)x11/4x2-1/2 3. Supposons que la technique actuellement utilisée soit la technique (10,3). La productivité marginale du facteur 1 est alors approximativement de 0.077. De plus, on calcule que l’augmentation de production quand

la quantité vendue 03/09/2009 B. Poirine/UPF 5 03/09/2009 B. Poirine/UPF 6 Recette marginale en concurrence parfaite La recette marginale est la variation de la recette totale résultant de l’accroissement d’une unité de la quantité vendue Recette totale, moyenne et marginale: un exemple RT = PxQ RM = RT/Q Rm = ∆RT/∆Q Rm = ∆RT/∆Q En concurrence parfaite, la recette marginale est le prix du produit 03/09/2009 B. Poirine/UPF 7 03/09/2009 B. Poirine/UPF 8 Maximisation du

tangente verticale la dérivée n’existe pas ; dérivée à gauche et à droite sont différentes et infinies en a. deux demi-tangentes verticales en (a ; f(a)) * Un point d’inflexion à tangente verticale ; la dérivée en a doit être infinie 10. Le coût marginal est le coût que va entraîner la production d’une pièe supplémentaire. Application des dérivées. 1. Théorème de Rolle. Soit f : R R : xf(x) SI * f est continu sur (a ; b) c R * F est dérivable sur l’intervalle ouvert

partiels........................................................................15 Chapitre 5 - Les différents coûts partiels....................................................................................................15 Chapitre 6 - Le coût marginal......................................................................................................................19 Chapitre 7 - Coût pertinent et prise de décision ............................................................................