Personnages dans À la croisée des mondes

charismatique, d'un grand-père farouchement athée et de parents sensibles au message d'amour et de respect de Jésus mais insensible à son origine divine. J'ai, tout petit, été baptisé et j'ai grandi avec la certitude que Jésus existait parce que des cours de religion et de catéchisme me l'ont enseigné, comme à beaucoup. Petit à petit, cette certitude a diminué pour faire place à un esprit plutôt scientifique. Je remets en cause la cosmogonie chrétienne et opte plutôt pour la cosmologie. La cosmologie

XVe siècle que les architectes se préoccupèrent pour la première foi d'intégrer la ville à la nature et de tenter de l'adapter au site. L'architecte florentin Battista ALBERTI (1404-1472) fut l'un des premiers à s'intéresser a ces problèmes alors que son contemporain FILARETE (1400-1469) aborde les questions d'aménagement urbain et rural en tentant de placer sa ville circulaire dans un vaste paysage. Quant à Léonard de VINCI (1452-1519), inventeur de génie d'autant plus surprenant qu'il est universel

Théories de la communication II « LA CYBERNETIQUE OU L’IDEE MODERNE DE COMMUNICATION » A la recherche du jugement parfait I. Les révolutions intellectuelles annonçant la cybernétique A. XIVème – XVIème siècle : la Renaissance * Reflux du métaphysique : fin du mystère de la foi, la lecture scientifique des textes fondamentaux. Il faut que la société renonce à la croyance selon laquelle il y aurait une croyance divine : la société ne doit plus être articulée derrière une entité métaphysique

Baudelaire, après avoir joué à interpréter la scène qu’il avait sous les yeux, rend hommage à ces fantômes parisiens et au rapport intrinsèque qu’entretiennent la muse, le langage et le poète. En effet, il revient sur la seule partie de l’anatomie qui soit le reflet de l’âme, sans considération du temps qui passe ; les yeux. Il les compare aux « puits », mot qui supporte la diérèse pour terminer l’hémistiche, à des « creusets » et leur prête la qualité essentielle au

Édouard Manet, Les Courses, 1884, Lithographie, BNF, Estampes, Dc 300 a(1) Art de l’écrivain, art du peintre Une « âpre recherche du réel » Dans son projet des Rougon-Macquart de 1868, Zola classe la société contemporaine en quatre mondes : le peuple, les commerçants, la bourgeoisie et le grand monde. Dans un cinquième, « à part », il range l’artiste, avec la putain, le meurtrier et le prêtre. Ce monde des artistes, Zola le connaît bien : dès l’adolescence, avec son inséparable camarade Paul Cézanne

I.Répondre à un questionnaire I.La découverte du « nouveau monde » 1° Comment se manifeste la curiosité des européens au 16ème siècle ? Au 16ème siècle, la curiosité des européens se manifeste par une soif incommensurable de nouveautés dans le domaine scientifique. Mais aussi par une envie de découvrir de nouvelles terres encore inexplorées. 2° Qu’est-ce qui les pousse à vouloir « découvrir » le monde au 16ème siècle ? Les voyages de grandes découvertes sont stimulés par la curiosité scientifique

bruxelles => architecture très néo-classique mythe qui se construit autour de l'appartenance européenne Très importante : 1- elle symbolise un sentiment d’appartenance européen, voire une culture occidentale. 2- elle a aussi exercé une forte influence dans les régions islamisées. 3- à partir de la Renaissance (15e siècle), les conventions stylistiques et iconographiques de l’Antiquité classique vont très profondément et durablement influencer l’art et l’architecture occidentale. L’art gréco-romain

est le « peintre de la vie moderne », à l’ère industrielle, capitale du Second Empire. Doc compl : C.Baudelaire, « Le peintre de la vie moderne », dossier p.3 sur l’artiste Constantin Guys (cf illustration couverture de notre édition). le travail prealable a la creation : l’observation, « déchiffrer les innombrables legendes » . La distanciation : le spectacle des ‘tableaux parisiens’ « Les fenêtres », « Les foules », « Les veuves » : acuité de l’observation à distance, derrière une fenêtre (dehors

du narrateur A quelle personne le récit est-il écrit et pourquoi ? Saint-Exupéry est l’auteur et le narrateur de ce livre , il l’a écrit à la première personne en utilisant donc le “je” car pour beaucoup de choses, il parle d’évènements qu’il a vécus lui-même. C’est pourquoi le début de son histoire, le prologue, est autobiographique car il veut ainsi se présenter. Même si ensuite il fait apparaître et parler un autre personnage principal, il fera aussi parler ce personnage avec la forme “je”

il s’appelle comme vous‚ mais‚ à vrai dire... ANTOINE. – Je m’excuse. Ça va‚ là‚ je m’excuse‚ je n’ai rien dit‚ on dit que je n’ai rien dit‚