Personnage De Perdican

montre alors la vie actuelle de son fils, devenu grand seigneur et qui trompe sa femme avec l'épouse du roi. Mais leur amour coupable découvert, ils meurent dans les bras l'un de l'autre. Pridamant, au bord du désespoir découvre alors que tous ces personnages se relèvent et partagent l'argent gagné durant la pièce de théâtre. Eh oui, car Clindor est comédien et a joué devant son père. Le Cid. Rodrigue, fils de don Diègue et Chimène, fille de don Gormas, vont se marier… Mais un problème surgit entre

comme des marques de (son) amitié (qui) tombent toujours sur (ses) épaules » l. 4. Et dans En attendant Godot, Pozzo mentionne de façon très triviale « les coups de pied au cul » qu’il pourrait donner à Lucky, son esclave, l.8. Euclion, étant un personnage de farce obsessionnel et toujours dans la démesure, ses menaces s’amplifient au cours de la scène et vont de pair avec la montée de sa peur qu’on lui dérobe son or : « je t'arracherai les yeux pour t'empêcher de m'épier continuellement, scélérate

éclairages, musique…) —Des êtres en chair et en os, une histoire incarnée B)La présence d’un public, personnage collectif ; la position privilégiée du spectateur —Une « réception » collective (// match) —Une position privilégiée : le spectateur sait tout, voit tout (v. les scènes de « témoin caché », comme dans On ne badine pas avec l’amour quand Rosette entend le faux discours amoureux de Perdican : révèle le tragique) —Quand le spectateur devient témoin ou acteur (apartés, monologues) III-

imagination, nous permet d’avoir une vision personnelle de la pièce, simplement guidée à l’aide des didascalies. Il y a également des pièces qui ont été conçues pour être lues, comme Cromwell de Victor Hugo qui comporte trop de changements de décors, de personnages et de répliques et donc que l’on ne peut que difficilement représenter. En conclusion, il ne faut pas négliger le fait que l’œuvre écrite soit déjà intéressante en elle-même et qu’elle n’est pas obligée d’amener à une représentation, même si celle-ci

pourront user de mensonge pour se faire valoir. La vanité est une sorte de processus de défence utiliser dans le but d'être admiré. D'ailleur certain écrivain du XIXe siècle ,tel que Musset dans «on ne badine pas avec l'amour » ou Camille et Perdican (personnage principaux) étaient promit l'un a l'autre depuis longtemps à un mariage. Mais l'orgueil a pris le déçu , puisque chaqu'un d'entre eux repoussait l'heureux événement en se laissant aller à un mouvement de vanité, en effet ils ne voulaient pas

pièce dans le temps - ou hors du temps. Rares sont les metteurs en scène qui aient rompu avec l'image des « vagabonds intemporels » , et opté pour l'historicisation (Jouanneau1). Les costumes déterminent aussi le système des relations entre les personnages; ils permettent de les individualiser ou de les indifférencier, de les hiérarchiser ou de les mettre à égalité. Ici encore, on constate une tendance à l'uniformisation. A la création, Blin joue sur une forte opposition entre Pozzo2 et les autres

dans la narration d’œuvres théâtrale si on ne se concentre seulement sur les gestes des personnages, leurs costumes, ainsi que sur le décor. Dans On ne badine pas avec l’amour de Musset, on remarque que les didascalies sont rares, les sentiments de Camille et Perdican sont essentiellement développé par la parole. Ce qui ne nuit en aucun cas à la compréhension de la pièce, et l’accès au ressentit des personnages. En effet, il est difficile d’exprimer le contraire de l’affirmation d’Antonin

est propre au genre de la pièce de théâtre. Elle est le seuil par lequel le lecteur entre dans l’œuvre. Elle est le passage vers l’oeuvre. La fonction de la première scène d’une pièce de théâtre est de présenter le lieu, le temps, l’action et les personnages. Elle en donne des éléments. Elle plante le décor en même temps qu’elle cherche à susciter l’intérêt et la curiosité. Dans l’exercice qui nous est demandé, nous avons quatre textes dont trois de genre différents : une comédie musicale et chorégraphique

On retrouve les personnages bien connus de la Commedia Dell'arte : Arlequin, Colombine, ou Pantalon, mais aussi de nouveaux éléments comme le marivaudage, initié par l'auteur du même nom Marivaux, à qui l'on doit Les jeux de l'amour et du hasard et Les Fausses Confidences. Le marivaudage est l'art "d'échanger des propos galants et d’une grande finesse, afin de séduire un homme ou une femme" ou encore le badinage amoureux. Ces pièces de théâtre mettent souvent en scène des personnages touchés par des

jeunes filles comme Angélique dans Georges Dandin ne sont pas libres de choisir leur époux sont également très répandus au XVIIème siècle. Dans On ne badine pas avec l'amour d'Alfred de Musset, par exemple, le Baron arrange un mariage entre son fils, Perdican, et sa nièce, Camille. La jeune fille n'a pas le choix, elle doit épouser son cousin. Dans Roméo et Juliette de Shakespeare, Monsieur Capulet donne un grande fête pour permettre à sa fille, Juliette, de rencontrer le comte Pâris qui l'a demandé en