Personnage De Pecqueux

PERSONNAGES IMPLIQUES , CAUSE ET CIRCONSTANCE DE LA MORT La première mort qui survient dans le roman n’est pas montrée , seulement racontée par le biais d’autres personnages, mais constitue le point de départ du roman : c’est celle de Louisette , la sœur de Flore, abusée par GRANDMORIN et qui meurt dans les bras robustes de son fidèle ami Cabuche. Ensuite viendra celle de GRANDMORIN , sauvagement assassiné par Roubaud, rancunier, et Séverine dans le train , après qu’il ait appris le viol

une lutte à mort, Jacques et Pecqueux tombent ensemble sous les roues du train chargé de soldats en partance pour le front. Sans chauffeur ni mécanicien, le train fou poursuit sa course, devant l’affolement impuissant des hommes. I. Une puissance meurtrière Cette scène qui clôture la Bête humaine témoigne nettement de la vocation narrative du train. Omniprésent dans l’action du roman, le train se révèle dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un

Macquart » . Dans ce commentaire de texte nous montrerons dans quelle mesure ce roman est-il réaliste . Nous verrons en premier lieu comment Zola amplifie le réalisme à l'aide de lieux puis enfin par les sentiments et les relations qu'entretiennent les personnages . Tout d'abord, Zola cite des lieux qui sont réels : « Rouen », « Paris », « Le Havre », « La croix Maufras », « le quartier d'Europe » à paris … même si peu sont présent dans ce livre les lieux y sont décrits précisément : « C'était impasse d'Amsterdam

Exemple : Deux arrêts de La Lion par la neige dans la nuit dans le chapitre 7 Ensuit, Zola exploite les phénomènes hallucinatoires chez les personnages avec différents buts pour le sens et la portée donnés.. On trouve deux types d'hallucinations : Premièrement, les hallucinations représentent quelque chose de recherché : Par exemple dans le chapitre 7, Jacques et Pecqueux croient voir les feux de la voie: "les yeux fixes, dans l'attente des feux rouges, si absorbé en son vouloir, qu'à deux reprises il eut

associés au naturalisme mais il est important de voir que ce livre dépasse totalement les limites du réalisme. On retrouve une certaine fatalité dans la plupart des actions de chacun des personnages qui cherchent à échapper à un futur inévitable. Toutes ces tentatives d’évasion de la réalité conduisent les personnages à être victimes d’hallucinations. Ces apparitions restent symboliques dans ce roman mais conduisent à nous rappeler la fatalité dans laquelle nous sommes placés. On peut retrouver ce

Les personnages Les personnages de la Bête Humaine obéissent à un système très précis. Tous les rapports entre les acteurs du drame sont du même type : un couple dans lequel s’infiltre un élément étranger qui en détruit l’équilibre et l’harmonie. Par exemple, Lantier s’infiltre dans le couple Séverine-Roubaud, De même pour Grandmorin. Flore s’infiltre dans le couple Lantier-Séverine. Il existe aussi n marriage à trois que forment Jacques, Pecqueux et la Lison. Les principaux personnage sont

une série de la famille des « Rougon – Macquart », qui connu un très grand succès. En 1898 il publie « J’accuse » et écrit une lettre au président pour clamer l’innocence de Dreyfus. Le 29 septembre 1902 il meurt à Paris. Caractéristiques des personnages Séverine : Son portrait physique la présente comme séduisante, grande, mince et très souple. Elle est aussi fine et fragile. Dans son enfance, elle a toujours fréquenté des bourgeois plus ou moins riches. Elle sait donc être distingué, elle apparaît

angoissant. En effet, on retrouve plusieurs indices qui témoignent d'une mort brutale entre les deux personnages tel que la présence du passsé simple qui montre que l'action se déroule de manière vive "il y eut" "retrouva", la scène est marquée par la rapidité puisque la fonction du passé simple est de marquer une succession d'actions brèves. La chute commune fait figure dans l'extrait puisque les personnages sont caractérisés par une fatalité "amicale": "vécu en frère" "effroyable embrassade", ils sont

La folie Nous avons pu remarquer au cours de la lecture de La Bête Humaine l'omniprésence de la thématique de la folie. Nous allons donc dégager les principaux éléments concernant dans un premier temps les personnages les plus importants, puis les personnages secondaires. Premièrement, la folie de Roubaud. Aux premiers abords tout à fait normal, Roubaud se révèle vite être quelqu'un de très colérique et violent, alors qu'il n'a vraissemblablement pas l'habitude de l'être. « En trois ans, il ne

raconte l'univers sombre de la "vapeur", ou la machine, monstre palpitant, se mesure à la violence des passions humaines. Ce vendredi-là, la neige a recouvert la Normandie. L'express Le Havre-Paris quitte la gare conduit par Jacques et Pecqueux. Séverine est parmi les voyageurs. Au début, la Lison est juste ralentie et parvient à avancer grâce à l'acharnement de Jacques qui reste très préoccupé par ces mauvaises conditions météorologiques. Mais la neige est de plus en plus abondante sur