Personnage De Néron

éléments indispensables à la compréhension de la situation initiale : la présentation des personnages, le lieu et le temps de l’action, les données antérieures et les enjeux et obstacles probables. Concernant le lieux et le temps de l’action celles-ci sont immédiatement déterminées : Britannicus évoque l’Antiquité romaine ainsi que l’indique la didascalie initiale « La scène est à Rome, dans une chambre du palais de Néron » (on peut voir que les contraintes de mise en scène sont prises en compte grâce à

Molière. Séquence 5-FR20 5 Chapitre 1 > Le texte théâtral A B ......................................................................................................... 9 Les caractéristiques du texte théâtral L’action et les personnages Chapitre 2 > Le théâtre, miroir du monde : Petite histoire du théâtre à partir de quelques scènes d’exposition A B C D E .................................................................................................................

IV, Néron subit les ordres (longues tirades) de sa mère Agrippine auxquels il ne semble pas résister, (peut de dialogue de la part de Néron). Dans la scène suivante III, c’est Burrhus, son gouverneur qui tente de le convaincre de ne pas tuer Britannicus, Burrhus souhaite donc le bien pour la famille impériale, il veut raisonner Néron par le champ lexical de la paix (« paix v1305, « vie »v1320, « bonheur » v1340). Dans la scène IV, Narcisse, pourtant gouverneur de Britannicus veut aider Néron à se

nous est présenté Don Diègue qui dans ce passage exprime à son fils la douleur de la trahison qui lui a été faite. Ce texte fait appel à la sensibilité du lecteur en lui faisant partager des émotions, car il est amené à avoir de l’affection pour le personnage principal. Sa détresse nous apparait dès le premier vers de son monologue avec les interjections “Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !“ qui résument les trois aspects de la situation. Déjà sa haine envers Don Gomès, expliquant son désir

Règne à Rome des Julio-Claudiens. (d'Auguste à Néron.) Personnages : Néron (empereur), Britannicus (fils de l'empereur Claude), Agrippine (veuve du père de Néron, veuve de Claude), Junie (amante de Brit.), Burrhus (gouverneur de Néron), Albine (confidente d'Agrippine) Analyses. Acte I, scène 1. (vers à 36.) v°12 | « Las de se faire aimer, il veut se faire craindre. » | -Oposition (aimer / craindre) -Antithèse | Métaphore de Néron : il va vers le pire aux yeux de sa mère.

Introduction Cette pièce est située dans l'acte central de la pièce, à la fin de l'acte III. A ce moment, on envisage le destin du personnage-titre, Britannicus, dont l'héroïsme l'affirme face à son adversaire, Néron. Mais Néron n'accepte pas la faiblesse de Britannicus, ce qui va achever de transformer définitivement le « monstre Néron » : C'est une dimension tragique de la scène. Tout dans cette scène fonctionne par antiphrases : les compliments sont tournés en critique. Cela donne lieu à

en dépit de ceux qui tiennent cela indigne des spectateurs.» Corneille n'avait-il pas affirmé que l'amour est «une passion trop chargée de faiblesse» pour constituer le ressort d'une oeuvre tragique? Par ailleurs, Pyrrhus est trop brutal pour un personnage de son rang : «Ceux qui louent le reste de la pièce ont tous condamné sa brutalité, et je m'imagine voir un de nos braves du Marais, dans une maison d'honneur, où il menace de jeter les meubles par la fenêtre si on ne le satisfait pas promptement

 il accède en tant que commandant en  chef  de  la  garde  prétorienne,  seule  force  armée  présente  à  Rome,  à  la  responsabilité de la protection de l’empereur.  Cette  charge,  qui  à  l’apogée  de  l’empire  fera  de  son  titulaire  le  deuxième  personnage de l’état, est loin d’être une sinécure dans un contexte politique où  les  conditions  de  l’accès  et  du  maintien  au  pouvoir  suprême  dépendent  d’un  fragile  équilibre  entre  les  volontés  et  les  intérêts  de  l’armée  d’une  part, 

Néron né le 15 décembre 37, est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie Julio-claudienne. Il accède au trône le 13 octobre 54, à la mort de son grand-oncle et père adoptif Claude (Claudius). Il fut dépossédé de son pouvoir en 68 et fût contraint à se suicider. Néron symbolise depuis des siècles la Rome décadente. Empoisonneur, matricide, supposé incendiaire, débauché, monstre humain par excellence, et même, en cette période d'émergence du christianisme, il aurait été le premier persécuteur

Néron est un jeune homme calme et apprécié. Mais son destin se trouve entre les mains de sa mère, Agrippine, épouse de l'Empereur Claude. Cette dernière s'efforce en effet de propulser son fils à la tête de l'Empire par diverses manipulations et intrigues. C'est ainsi qu'elle parvient à le faire adopter par son époux et à lui faire épouser sa fille, Octavie. A la mort de Claude, Néron est proclamé empereur au détriment du fils naturel du défunt, Britannicus. Encadré par Burrus, préfet au prétoire