Personnage De Mathilde De La Mole

comme un roman d‘amour. Il a une particularité en tant que roman d’amour car il y a deux héroïnes. « Car ce roman en a deux contre toutes les règles suivies jusqu’ici. » (Stendhal). Deux héroïnes d’importance égale dans le roman et dans la vie du personnage. C’est une innovation esthétique qui ne correspond pas seulement à une volonté de pas faire comme les autres mais s’il a fait ça, c’est parce que ça va lui permettre de peindre deux conceptions de l’amour complètement différentes, ce qui nous renvoie

Stendhal (Henri Beyle) Naissance : 23 janvier 1783, à Grenoble. Décès : 23 mars 1842, à Paris. Ecrivain français de la première moitié du XIXe siècle réputé pour la finesse d'analyse des sentiments de ses personnages et pour la sécheresse délibérée de son style, il est moins connu sous le pseudonyme de "Louis Alexandre Bombet". Il a participé aux guerres de la Révolution et de l'Empire comme officier de dragons et comme intendant militaire. Biographie : Stendhal naît à Grenoble dans une famille

quelles différences peut-on observer avec Le Rouge et Le Noir de Stendhal ? I L’étranger un roman dénonciateur de la peine de mort. L’étranger retrace l’existence médiocre d’un homme et le déroulement mécanique de son quotidien. Meursault est un personnage ordinaire, il vit dans un monde de sensations, dans l’exaltation de son corps mais ne laisse transparaitre aucun sentiment humain. Par exemple il n’éprouve aucune tristesse quand on lui annonce le décès de sa mère, ne semble porter aucun sentiment

seminarium, mais il y avait beaucoup de personnes aui étaient jaloux. Dans ce livre on voit la grande importance de la politique dans cette époque. Ce que était surprenant c'est que Julien est tombé amoreux pour la deuxième fois avec Mathilde de la Mole. Julien est un personnage tragique. Il est un hèros, il apprècie la valeur du courage et de l'honneur.Les circonstances de sa mort me font penser à Julien par l'image de victime. De tout façon je trouve que sa mort était injuste. Il a essayé de tuer son

intérieure. Malgré le rôle de l’observation réaliste et la dimension historique des personnages, malgré l’exploration minutieuse des rapports économiques fondamentaux, la création stendhalienne n’est pas, comme celle de Balzac, basée sur un „mythe social”, mais, plutôt, sur un „mythe psychologique”. La notion clé en est „l’expérimentation imaginaire”. Stendhal a imposé la formule du roman égotiste, type de roman où le personnage-miroir, création fictive, est un prolongement de son propre moi. L’auteur lui

Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours Textes à étudier : La double famille, Balzac Germinal, Zola  Etienne Lantier Le colonel Chabert, Balzac Lucien Leuwen, Stendhal La chartreuse de parme, Stendhal Fabrice Del Dongo Illusions perdues, Balzac  Lucien de Rubempré Madame Bovary, Flaubert Un amour de Swann, Proust Le bruit des trousseaux, Philippe Claudel La dame pâle, Victor Hugo Le rouge et le noir, Stendhal  Julien Sorel Les misérables, Victor Hugo  Jean Valjean Eugénie Grandet

Lecture linéaire n°2 : Le personnage de Mme de Rênal. Le rouge et le Noir, Stendhal. Parcours associé : Le personnage du roman, esthétique et valeurs. Stendhal  : né en 1783/mort en 1842. Mouvements : romantisme/ réalisme Bibliographie : Armance (1827 1er roman), LRELN (1830), Lamiel (1840, inachevé) LRELN  : publié en 1830. Sources d’inspiration : l’affaire Berthet (exécution de Berthet pour avoir tiré sur son ancienne maitresse)

Littéraire, 1905 exemples : les descriptions sont rares dans Le Rouge et le Noir, elles servent souvent à expliquer le fonctionnement de la société (Verrières et son économie, ses rivalités claniques/ les manigances des salons parisiens chez les de La Mole)/ les descriptions fréquentes chez Zola mettent en lumière le dénuement, la pauvreté, la détresse des petites gens, elles sont plus rarement joyeuses et visent à disséquer les mœurs, les habitudes de chaque classe sociale (le repas de fête de Gervaise)

Table ronde, 1947. BEAUVOIR, Simone de, Le Deuxième sexe, Paris, Gallimard, 1949 [« Stendhal ou le romanesque du vrai », Le Deuxième sexe, t. I, Paris, Gallimard, « Folio-essais », 1986, p. 376-389] BERTHIER, Philippe, « Le personnage stendhalien et l’ère du soupçon », Personnage et histoire littéraire, éd. Pierre Glaudes et Yves Reuter, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 1991, p. 95-106. BLIN, Georges, Stendhal et les problèmes du roman, Paris, José Corti, 1954. BOLL JOHANSEN, Hans, Stendhal

objet de fausses | |interprétations et jugements superficiels abondant de préjugés. La plus ancienne des controverses de la critique stendhalienne est, | |semble-t-il, celle de savoir dans quelle mesure Stendhal a voulu se peindre en ce personnage, chose qui nous semble un peu superflue,| |parce que la question est nettement tranchée d'avance par l'écrivain lui-même: il disait constamment à ses amis que Julien Sorel | |n'était autre qu'Henri Beyle. Julien Sorel est donc moins un être