Personnage De Mathilde De La Mole

INTRODUCTION Nous sommes ici au chapitre XVI du livre 2. Julien est monté à Paris où il se trouve secrétaire du marquis de la Mole. C’est donc une nouvelle étape dans sa quête du pouvoir à laquelle s’ajoute une nouvelle étape amoureuse. En effet, la fille du marquis, Mathilde, jeune femme courtisée du tout Paris, va s’intéresser à Julien qui représente pour elle l’aventure, l’insolite. Cherchant à le séduire, elle lui envoie une lettre l’invitant à la rejoindre dans sa chambre la nuit.

nous allons analyser si un personnage de roman doit nécessairement susciter l’admiration et la sympathie pour intéresser le lecteur. Dans une première partie nous verrons comment un personnage sympathique et pour lequel on a de l’admiration peut susciter de l’intérêt chez le lecteur. Cependant, nous analyserons dans un second temps combien un personnage antipathique peut également susciter de l’intérêt chez le lecteur.Dans un roman pour intéresser le lecteur un personnage doit être admirable et sympathique

en mettant en lumière l’actualité du roman : il n’est pas seulement historique, mais aussi politique. Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé n’est pas fortuite. La critique stendhalienne s’est engouffrée dans cette voie et a consacré une bonne part de son activité, au XXe siècle, à rechercher les modèles historiques des personnages fictifs 1. Voir p. 61 (I, 5). 2. Voir la représentation triomphale qu’en donne David dans Le Premier Consul franchissant les Alpes

de Parme. Stendhal a des points commun avec ses personnages car comme eux il s‘engage dans l’armée. Il a également une forte admiration pour Napoléon qui incarne pour lui l’héroïsme moderne. Le roman propose à la fois une réflexion sur le bonheur, l’amour et une critique sociale. Dans cet extrait, Mathilde est partagé entre sa fierté de noble et son amour

il devient l'amant de l'actrice Mélanie Guilbert; il la suit à Marseille, où ils vivent en couple, et s'essaye au commerce, sans grande motivation, ni grand succès d'ailleurs. Mais, ces années d'apprentissage auront une grande influence sur le personnage de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir. En 1806 toujours grâce à son cousin Pierre Daru, il s'engage encore une fois et est affecté à l'intendance où il fera montre d'exceptionnels talents d'organisateur[réf. souhaitée], ses fonctions au sein

de la Mole comme secrétaire. Chez le marquis il entre dans la « haute société parisienne » et il reste deçu puisque cette classe sociale est très corrompu et conspiratrice. Ensuite il fait la connaissance de Mathilde, la fille du marquis, et il apprend le codes pour vivre dans cette maison aristocratique. Mathilde remaque et admire Julien car il s'oppose aux jeunes de son age qui sont vides et sans projets pour l'avenir. Les deux se rencontrent quelque jours après et à ce moment-là Mathilde comprend

gagner, ou tout perdre. C’est ce risque assumé dans l’inquiétude qui donne à son histoire les couleurs d’une aventure héroïque. Et l’enjeu est le plus haut qui soit : le sens même de cette existence qui est la part de chacun, sa seule part. Mathilde de la Mole est moins sincère que Clélia ou Mme de Chasteller ; elle règle ses actes sur l’idée qu’elle se fait d’elle-même plutôt que sur l’évidence de l’amour, du bonheur : est-il plus orgueilleux, plus grand de se garder que de se perdre, de s’humilier

Roman :Parcours : Personnage : Valeur et esthétique (pas de textes du parcours associé pour l’oral) Analyse linéaire n°11 : Portrait de Julien Sorel (Livre 1, chap.4) Le Rouge et Le NoirExtrait de l'œuvre :   Livre 1 chapitre 4. Première apparition du personnage principal Julien Sorel Introduction  : · Première apparition du personnage de Julien· Peinture de la classe paysanne de l’époque, métier

apparue l’ambition qui anime les personnages de roman et tout particulièrement les trois protagonistes masculins des textes suivant : Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, Le Rouge et le noir de Stendhal et enfin Bel-Ami de Guy de Maupassant. . La notion d’ambition recouvre différentes formes et le personnage de la femme semble être un moteur de l’héroïsme. Elle est, chez le héros libertin qu’est Valmont bien différente de celle de Julien Sorel, personnage incarnant la jeunesse de 1830

d'impardonnables faiblesses du "grand homme de province" (périphrase récurrente), alternativement héros et anti-héros, est sans cesse aggravé par les contrepoints de deux cercles vertueux : la famille de Lucien et le Cénacle des vrais grands hommes (autour du personnage de D'Arthez). Il faut noter pour finir, que les "illusions perdues" sont non seulement celles de Lucien face au monde littéraire et à son avenir, mais aussi celles de sa famille envers ses capacités et ses qualités humaines. L'Assommoir d'Emile