Personnage Antipathique

Le terme de personnages désigne l’ensemble des personnages fictifs composants une œuvre littéraire. En devenant, au XIXeme siècle le genre principal, il a redéfini ce concept apparu durant la renaissance, et qui, autrefois, était réservé au genre théâtral. Le personnage, que ce soit pour le genre théâtral ou pour le roman, est créé par le dramaturge ou le romancier dans la logique de l’univers qu’il fait naître dans l’histoire et du regard qu’il est décidé à porter sur le monde. Dans un roman, le

Dans cet extrait du Rouge et le Noir, Julien est rendu antipathique tout d'abord parce qu'il est distrait : "dans sa distraction" (l.2-3). Cela le rend indifférent à l'action, à ce qu'il passe. Stendhal passe donc à une description de ses pensées grâce à un discours indirect libre. On apprend qu'il est ambitieux : "jeune ambitieux" (l.3-4). Ça pourrait être une qualité, mais le reste du texte en fait un défaut. En effet, il est calculateur, impératif : "je me dois d'être son amant" (l.6-7)

1. En quoi le personnage de chacun des textes A, B et C est-il rendu antipathique ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur quelques exemples précis. Dans chacun de ces trois textes, le personnage est rendu antipathique au travers de descriptions, de l'emploi figures de style, de la focalisation interne mais aussi de part le jugement explicite que laisse paraître le narrateur... Le premier texte est un extrait de l’œuvre de Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830). L'auteur nous présente

* Lecture Analytique 1 : Les Caprices de Marianne (Acte I, scène 1) En quoi ces deux personnages apparemment si différents sont ils en fait des alter-égo où se révèle le déchirement de leur acteur ? I. La complémentarité des deux amis 1) L’attirance de l’un envers l’autre Déploration, effusion fraternelle, tutoiement, interrogations (intérêt mutuel). Octave est le confident de Ceolio + auxiliaire. On observe un dévouement profond d’octave qui va de paire avec le besoin de Ceolio.

pour satisfaire Chimène - Infante renonce à Rodrigue pour Chimène - Rodrigue bat Don Sanche - L’amour de Chimène est dévoilé - Le Roi impose sa volonté à Chimène et la force à céder à son amour SP : Analysez la résolution du dilemme des personnages principaux 1. L’honneur est sauf parce que? - La vengeance de Chimène est exécutée - Le devoir familial de Chimène est accompli Périphrase : En ne nommant pas directement son père, Chimène lui reproche son sort pénible de devoir poursuivre

Parlant des personnages d'Hernani, dans En préface à Hernani. Cent ans après, Georges Lote écrit : « On ne peut voir en eux que des types romantiques, conçus et exécutés pour plaire à un public romantique, issus d'une mode transitoire, par conséquent artificiels, d'un intérêt temporaire, et que l'éternelle vérité ne connaît pas. » Vous appliquerez ce jugement aux personnages du drame romantique que vous avez étudié et vous le discuterez. En quoi le drame romantique illustre-t-il les préceptes les

prochaine séance. b. Décrivez la scène. c. Quels ont les personnages principaux ? d. Que font-ils ? A l'aide du "calque" du Mariage de la Vierge répondez aux questions suivantes : II. Composition du tableau. A. a. Tracez l’axe de symétrie vertical du tableau. b. Quels éléments se trouvent sur cet axe ? c. De quelle façon l’axe sépare-t-il les personnages du premier plan ? B. Vous remarquez que le haut du tableau est constitué

Composition : Un alignement de colonnes divise la scène en deux parties. À gauche au fond d'une loggia, est représentée la flagellation du christ ; à droite et au premier plan, un groupe de trois personnages sont absorbés par une discussion, ils sont à l'écart et ne semblent pas concernés par la scène de gauche. Le christ est attaché, mains derrière le dos à une colonne, surmontée d'une sculpture dorée. La lumière : En ce qui concerne la lumière, le peintre éclaire la scène de manière théâtrale

pas tout ce qui se passe : « une conversation pleine de mots qu'elle ne comprenait pas ». -disparition du passé « carreau cassé » - Fin du passage : elle entretient l’illusion. « ferme les yeux » II. L'ironie de Flaubert Le cliché : - personnages n’ont pas de personnalité propre. « un air de famille, quelles que fussent leur différence d'âge, de toilette ou de figure ». -discours banal, plat, plein d’idée reçut souligné par l’absence de pronom dans « On causait Italie » (rappel: Flaubert

Entre ces deux personnages et les autres, Vautrin, l'homme de quarante ans, à favoris peints, servait de transition. Il était un de ces gens dont le peuple dit: Voilà un fameux gaillard! Il avait les épaules larges, le buste bien développé, les muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d'un roux ardent. Sa figure, rayée par des rides prématurées, offrait des signes de dureté que démentaient ses manières souples et liantes