Persienne

vaincu les Français et s’apprêtent à occuper le pays. 5 10 15 20 25 30 Ce n’étaient pas encore les Allemands qui arrivaient mais UN Allemand : le premier. Tout le village, derrière les portes fermées, par l’entrebâillement des persiennes demi-closes ou à la lucarne d'un grenier, le regardait venir. Il arrêta sa motocyclette sur la place déserte ; ses mains étaient gantées ; il portait un uniforme vert, un casque sous la visière duquel on aperçut, lorsqu’il leva la tête, un visage

verrez le complexe architectural abritant l'ambassade des cinq pays scandinaves, un choix inédit. L'architecture traduit ici une nouvelle vision commune de la diplomatie. Derrière une façade formée de lamelles horizontales en cuivre, telles des persiennes, se cachent les bâtiments des différentes ambassades, reflétant chacun la culture nationale. Rejoignez ensuite la partie Nord-Est du Tiergarten. Pour cela, continuez à longer la rue Tiergartenstrasse jusqu'à la rue Hofjägerallee, qui vous mène

présence de la « jeune fille blonde » à sa fenêtre; ce qui nous rapproche plutôt de l’écrit de Mme de la Fayette. Stendhal œuvre à la manière des peintres impressionnistes en dépeignant le cadre par touches, en insistant bien sur le contraste entre les persiennes perroquet et la saleté des rues. Le portrait de la jeune femme est légèrement esquissé, laissant tout de même une place au rêve. L’atmosphère ambiante y est en symbiose avec l’humeur de ses héros : joyeuse mais timide. Le cadre spatio-temporel

révoltée, qui va éventrer son dompteur, je traversai ma chambre pour le saisir, pour l’étreindre, pour le tuer! » (p.78) Explication 2.2 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour le capturer, il fait appel à un serrurier et lui commande des persiennes en fer ainsi qu’une porte à toute épreuve pour ne pas qu’il s’échappe et qu’il puisse alors le tuer. Sa démence le rend tellement aveugle qu’il décide même d’incendier sa propre maison en y oubliant les domestiques à l’intérieur. Mini-conclusion 2 :

appartements du studio au T4, offrant un panorama sur la ville et sur la Vallée de la Sèvre. Le bâtiment réutilise des langages architecturaux des anciens « séchoirs » de bord de Sèvre notamment grâce aux balcons bois qui rappellent les anciennes persiennes. Les appartements aux beaux volumes, généreux bénéficient de vastes balcons ouverts pour une exposition idéale Est/Ouest apportant ainsi aux intérieurs une grande luminosité. Pour votre tranquillité, la Résidence "Renoir" s’inscrit dans un

« de la fonte rouillée », « le jour blafard », … mais aussi des verbes dépréciatifs comme «crevaient » et « creusant » ou d’autres adjectifs comme « lézardé » ou « nues ». On remarque également les répétitions des « sans » (sans boiserie, sans persienne, …) et la présence de l’adjectif « seul ». (Le champs lexical de la saleté s’accorde avec le premier, il montre bien l’idée de négligence de l’endroit. On peut voir : «graisseuse », « un ruisseau d’un eau couleur rose tendre », « mangées par la

paragraphe : on apprend sa destination. Le voyage semble être régulier mais qui n’est pas traditionnel, escapade secrète à Rome -> 2 prénoms = hypothèse : femme et maitresse. 2) La jalousie Alain Robbe-Grillet  « Une jalousie » : une espèce de persienne. RG joue sur le sens des 2 mots. On suppose que c’est le mari du personnage qui regarde à travers une jalousie (volet orientable) et qui ressent de la jalousie (sentiment). Focalisation externe. Le narrateur, qui est derrière sa jalousie, ne narre

de Voltaire, le géant décrit tous les humains, à part les philosophes, comme étant « un assemblage de fous, de méchants, de malheureux. » Ces écrivains peuvent choisir les différents registres, même si un est dominant, l’ironie. Dans les Lettres Persiennes de Montesquieu, des Perses débarquent en Europe et envoient des lettres à leurs chers en décrivant les mœurs et coutumes européens, de manière presque ridicule. Mais, si la fiction est trop présente dans le texte, le message peut être éloigné par

et de l’esprits-> le poète et cet alchimiste des mots transforment la boue en or-> relation avec “Le Vin des Chiffoonier”, l’un des plus ancien du recueil.Charles BAUDELAIRE Le soleil Le long du vieux faubourg, ot pendent aux masures Les persiennes, abri des secrétes luxures, Quand le soleil cruel frappe a traits redoublés Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés, Je vais m'exercer seul 4 ma fantasque escrime, Flairant dans tous les coins les hasards de la rime, Trébuchant sur

Haussmann (« Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville / Change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel) », Le cygne); et, d’un autre côté, le Paris marginal (gris, pauvre, sale) (« Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures / Les persiennes, abri des secrètes luxures / Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés / Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés », Le Soleil ; « Blache fille aux cheveux roux, / Dont la robe par ses trous / Laisse voir la pauvreté […] —Cependant