Péroraison

comprendre l’ordre des arguments présentés. Il s’agit d’un plan type qui sera utilisé pour construire un discours. La disposition dans la rhétorique classique est divisée en plusieurs parties : l’exorde, la proposition, l’argumentation et enfin la peroraison. Exorde : c’est le debut du discours au travers duquel l’orateur se doit attirer l’attention de son public en le rendant docile, attentif et bienvaillant. Hugo commence son discours annoncant et contestualisant le theme qu’il soutiendra en débutant

une vrai rhétorique judiciaire. Son discours argumentatif direct est du à une très bonne organisation: - EXORDE, qui permet de capter l attention du lecteur - La NARRATION qui expose les faits - L'ARGUMENTATION qui développe la thèse - La PERORAISON qui conclut le discours. B ) Des registres variés * L’œuvre est écrite comme un genre de journal intime, écrit a la première personne du singulier. Contrairement aux récits habituels, celui-ci n'est écrit au passé simple mais au présent et

digression (amplificatio, digresso), où l' orateur sort de son sujet spécifique pour en faire percevoir les implications générales ; (vii)la péroraison ou conclusion. Dans un même discours, l' orateur fera appelle aux différents ressorts de l' éloquence : il se concilie le public dans l' exode, l' instruit dans la confirmation et la réfutation, et l' émeut dans sa péroraison. 7. La mémoire La mémoire est une qualité à développer pour se souvenir de son discours, mais elle ne relève pas à proprement parler

-le développement (l.5 à 12) : un espoir illusoire. -la péroraison (l.12 à la fin) : la marche vers la mort. * ------------------------------------------------- Une vision dramatique de la condition humaine

discours (notamment judiciaire) : • L’exorde où l’on interpelle le public ; • La narration qui rappelle les faits à envisager ; • La confirmation et réfutation où l’orateur expose son argumentation et critique celle de ses adversaires ; • La péroraison qui clôt la prise de parole, en résumant l’argumentation. Le discours tel qu’il a été théorisé dans l’Antiquité reste un genre pratiqué jusqu’à nos jours, aussi bien par Victor Hugo en 1848 (ex : Les Misérables publié en 1862) que par Robert

III/ LA DIMENSION POLEMIQUE DE LA SCENE (axe plus difficile à soutenir, servez-vous de ces éléments pour la conclusion) 1. La portée subversive de la scène Molière s’amuse à l’aide des maximes à parodier les 10 commandements bibliques. La péroraison d’Arnolphe (discours de conclusion) s’apparente à un sermon. Il invite Agnès à « savoir son office ». Plus loin, Agnès lira les maximes que lui dicte son directeur de conscience mais certaines de ces maximes ont des connotations grivoises. Molière

lui-même. De plus, son avocat semble occuper une position de supériorité « je me suis penché sur cette âme » comme si Meursault était un simple objet à analyser. L'avocat parait être quelqu'un de fier. A la fin du discours, l'avocat fait une péroraison, qui est souvent un moment de bravoure des avocats. Le narrateur utilise ici le dicourt indirect. Il essaye de faire plaindre Meursault en attirant la pitié des jurés, au fond,on pourrait même dire qu' il leur souffle l'attitude qu'il faut adopter

l'inconstance présentée comme hommage rendu à la femme pr sa beauté. *'' les inclinations naissantes '' à '' conquête à faire '' : descript° plaisirs de la séduction comparé conquête militaire * '' Enfin, il n'est rien '' à '' conquêtes amoureuses '' : péroraison comparant insatiable désir du séducteur à ambit° épique d'1 conquérant:Alexandre B-L'énonciation * DJ utilise pronoms '' on '' ''nous '' ''je'' ''moi'' → D'abd parle au nom de ts les Hs & après transforme opinions en maximes * Présence

des faits. 3. La confirmatio (=argumentation) elle comporte generalement la propositio qui redefinie le point à debattre, l’argumentation qui expose les arguments en commencant par des raisons fortes, puis faible, puis très forte. 4. La péroraison comportant la conclusion (reprise/résumé des arguments) et le couronnement (ultime appel à la sensibilité, fin vibrante) Pour faire un beau discours l’orateur doit : Choisir le ton et le registre en fonction de l’auditoire. Construire des phrases

l’exorde = ( intro)A la place de la captatio benevolentiae = recherche de la bienveillance et de la sympathie de l’auditoire = une attaque polémique qui s’adresse aux hommes peu propre à les amadouer.2) Non respect du propos généralisant et de la péroraison = conclusion qui touche les coeursA la place = Anecdote personnelle et ironique => La fin du contrat social de l’homme et de la femme ( querelle avec 1 cocher) III Le Pamphlet : Ton polémique de l’adresse aux homme : véritable provocation en