Périphérie bruxelloise

Mode de transport et formes de l’urbanisation. .......................................... 126 Figure 85. Évolution de la motorisation de la population belge. ................................... 127 Figure 86. Exemple de lotissement pavillonnaire en périphérie parisienne..................... 127 Figure 87. Bruxelles avant le tout à la voiture........................................................... 129 Figure 88. Les grands projets routiers à Bruxelles (années 1970) ................................

conclus entre l’État, les Communautés et les Régions, visés à l’article 92bis, § 1er, de la loi spéciale du 8 août 1980 de réformes institutionnelles (et par les articles 42 et 63 de la loi spéciale du 12 janvier 1989 relative aux institutions bruxelloises) sont essentiellement de nature contractuelle. Ils ne constituent pas un acte juridique unilatéral et ne peuvent donc en tant que tels faire l’objet d’un recours en annulation devant le Conseil d’État. Le fait que l’accord conclu ait en l’espèce

efficace pour intimider les classes populaires. C’est le cas par exemple de la répression des déplacements. La tarification par zones des transports publics pénalise une deuxième fois les familles que la ségrégation urbaine a déjà vouées aux périphéries malcommodes. Les jeunes surtout ne l’acceptent pas et souvent bougent sans payer, pourchassés par des bataillons de contrôleurs dont la mine et l’armement participent artificiellement, mais de façon malheureusement efficace, à un sentiment d’insécurité

(l’expression de “personne sans domicile” n’était pas encore en usage) trouvés endormis ou mendiant dans l’espace public et qui ne transportaient pas une certaine somme d’argent devaient être emmenés dans ce que l’on appelait des “colonies” de la périphérie rurale du pays. La nouvelle loi, adoptée en 1993 (et qui mentionne pour la première fois l’exclusion liée au logement), stipule que les personnes sans domicile ne sont plus punissables et doivent être prises en charge dans ces centres d’accueil

temps, c’étaient des pays plus pauvres, moins industrialisés avec un dominant agricole donc une communauté à 2 économies : économie industrialisée avancée avec une tradition industrielle ancienne et de l’autre côté, ces états moins innovants à la périphérie de l’Europe. Parce qu’ils sont plus pauvres, alors il faut des transferts de fond pour les aider à décoller économiquement. Leur adhésion comprend donc un investissement. Le fait d’aller vers une union sans cesse plus étroite oblige des transferts

à partir des données de Cambridge Econometrics. Au Mexique, le District fédéral de Mexico et sa périphérie concentrent la plus forte densité de production, alors que les régions les plus productives se situent dans le nord (Nuevo León, Campeche et Chihuahua) et dans le sud du pays (Quintana Roo et Coahuila). De plus, en termes de croissance du PIB par habitant, le District fédéral et sa périphérie comptent parmi les régions les moins performantes du Mexique tandis que des poches de croissance semblent

modification du mode de production économique. En même temps qu’il y a cette restructuration économique et destruction d’emploi dans le secteur classique (licenciement dans les grandes entreprises), se multiplient le nombre d’entreprises, souvent à la périphérie des villes, qui ont besoin d’une main d’œuvre flexible, bon marché, malléable et qui correspond fort à l’esprit de l’époque de Ronald Reagan. Donc a lieu une grande immigration clandestine et à un moment donné, ce n’est pas tenable. Donc la politique

agricoles sont urbanisées chaque année. Tous les quinze ans, un département disparaît sous l’urbanisation. La grande distribution occupe 1,4 million d’hectares, soit plus de 30 % des surfaces urbanisées. 62 % du chiffre du commerce est réalisé en périphérie (jusqu’à 80 % dans certaines régions) contre 25 % au centre-ville, et 13 % dans les quartiers. En Allemagne, les chiffres sont plus équilibrés : 33 %, 33 %, 33 %. Dans les années 1970, on autorisa entre 500 000 et 1 million de mètres carrés

de l’accompagnement et de complément de formation. © Groupe Eyrolles Réunion en équipe : trois jours, dans un cadre arboré, loin de l’entreprise Toute l’équipe de direction, soit onze personnes, a pris ses quartiers dans un hôtel de la périphérie bruxelloise. En début de mission/séminaire, le leader présente le coach et lui donne Coaching d’équipe : recentrer l’activité 211 la parole en expliquant l’objectif de la démarche. Il annonce que le coach sera présent durant tout le processus

et dʼactualisation de directives préalablement repérées. En Belgique, compte tenu de la complexité et du nombre des structures belges, lʼéchantillon à été choisi selon dʼautres critères. Nous avons interviewé des hauts responsables de la région bruxelloise chargés de politiques dʼégalité hommes/femmes et des hauts responsables du ministère de lʼEmploi et du Travail au niveau fédéral, également en charge de ces questions dʼégalité. Concernant la Grèce, je laisserai mes collègues présenter le corpus