Peripeties Germinal

social que manifeste Trapero à travers ce long-métrage, nous pourrions nous attendre à en ressortir touchés, plus instruits et avisés quant à la situation difficile que connaissent de nombreuses populations dans le monde. Il n'en n'est rien. Des péripéties d'aspect profond mais pas assez creusées pour nous atteindre, des personnages assez superficiels, sans réel caractère... C'est avec une impression d'éparpillement que nous suivons chaque protagoniste tout au long du film sans jamais vraiment entrer

peu de détails et pas d'indices spatio-temporels précis : la scène se passe « un jour », dans « les bois ». : « le chêne », « le roseau ». * densité, le dialogue initial entre les deux personnages est introduit par un seul vers, et suivi d'une péripétie narrée en seulement quatre vers : « le vent se lève sur ces mots, l'orage gronde ». Enfin, le dernier dialogue, après la tempête, offre le dénouement de la fable qui se clôt, après une rapide description de l'agonie du chêne, sur une ultime réplique

de Thésée = « quand je lui tends les bras » v.1495 = regrette d’avoir fait appels aux Dieux II- Un récit tragique A- Le récit 1) La structure du récit = Présence d’un schéma narratif traditionnel : Situation initiale, élément perturbateur, péripéties, élément de résolution, situation finale. 2) Suspense dans le récit = 10 vers avant l’apparition du mot « monstre » = Réplique inachevée au vers 1545-1546 = Ponctuation 3) Un tableau = Procédées pour rendre le monstre vivant sans qu’il ne

dans le champ des commentaires ! 1. Voici ma proposition de corrigé (à prendre ou à laisser !) : I) Souffrances et désillusions pour la critique des moeurs (je commence donc par l’anti-héros !) : a) Le schéma narratif selon Propp (le besoin de péripéties dans l’art de la narration, formalisme et structuralisme ‘morphologie du conte’)Proposer au lecteur des exemples d’humanité : Même dans le roman réaliste, le romancier choisit les événements et les mets en relief (Maupassant, préface de Pierre et

I. Les modes de narrations. (Cf. p. 50-53 du manuel Méthodes et Activités, Nathan et p. 311 du manuel Français et littérature 2nde, Nathan) A. Qui raconte ?  Les types de narrateurs (interne / externe) B. Qui voit ?  Les différents points de vue (point de vue interne / externe / omniscient) C. L’enchâssement des récits.  Le narrateur peut insérer un récit dans son récit. II. Les composantes de l’action. (Cf. p. 44-46du manuel Méthodes et Activités, Nathan) A. L’intrigue.  Le

moment là que Hans découvre que Conrad, depuis sa dernière lettre avait changeai d'avis. Le schéma narratif : _La situation initiale : Une grande amitié se lie entre Hans et Conrad. _l'élément pertubateur : L'arrivé d'Hitler au pouvoir _les péripéties : Hans subit les persécutions de ses camarades de classe et découvre que la mère de Conrad déteste les juifs. _l'élement de résolution : Hans part pour l'Amérique _situation finale : Conrad est mort car il à participer à la tentative d'assassinat

dans un asile. Élément déclencheur : La rencontre de Marie qui fut sa fréquentation et sa genre de fréquentation et de Raymond, un ami vivant à côté de chez Meursault et ayant des problèmes avec le frère de une maîtresses qu’il maltraite. Péripéties : Après avoir dîné chez un ami, Meursault, Raymond (qui était présent à cette occasion), et l’ami en question prennent une marche sur la plage lorsqu’ils rencontrent deux autres arabes, qui l’un d’eux par étonnante coïncidence est le frère de la

Ensuite on verra l’organisation textuelle de l’extrait. Malgré le fait que l’on ne puisse pas faire une analyse complète avec cette extrait, on arrive quand même à trouver une situation initial, un élément déclencheur, ce que l’on peut appelé des péripéties et une sorte de dénouement. On peut retrouver la situation initiale dans les lignes 1 a 19, on la détecte des les premières paroles de la scène « Alors Marie-Ange, tu veux quitter ton mari pour suivre Tit-Coq? ». L’élément déclencheur est l’arriver

paisible à Alger quand il apprend le décès de sa mère. Élément déclencheur : Meursault rencontre homme du nom de Raymond Sintès, qui risque d’avoir des problèmes avec le frère d’une de ses maîtresses, et Marie, qui devient sa petite amie. Péripéties : Alors que Meursault et Raymond se promènent sur la plage avec un de leurs amis, ils rencontrent deux arabes, dont l’un est le frère de la maîtresse de Raymond, et une bagarre s’en suit. Par la suite, Meursault, en marchant seul sur la plage rencontre

réplique qui a pour but de convaincre, de persuader, d’expliquer ou d’avouer. L’aparté : un personnage prononce des propos, en présence d’autres personnages, que seul le public entend, ce qui provoque un effet comique. Le « coup de théâtre » : péripétie inattendue qui constitue un renversement de situation ; cela crée un effet de surprise dans le public. « deus ex machina » : expression latine qui désigne un événement dont l’intervention peu vraisemblable résout comme par miracle les problèmes