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la qualification de Jean-Marie Le Pen là où on attendait Lionel Jospin a déclenché toute une série de mouvements tels la constitution d’un front anti-Le Pen, l’irruption des jeunes dans la campagne, la stigmatisation des sondages ou la lutte contre l’abstention Les nouveaux acteurs de la vie politique française depuis le 21 avril, les 18-24 ans dont on sait qu’ils se sont abstenus pour environ un tiers d’entre eux et que, parmi les votants, Jean-Marie Le Pen arrive en tête dans cette classe d’âge

« Torturés par Le Pen » par Hamid Bousselham Extrait du Rebellyon.info http://rebellyon.info/Tortures-par-Le-Pen-par-Hamid.html « Torturés par Le Pen » par Hamid Bousselham - Mémoire - Date de mise en ligne : mercredi 22 février 2012 Date de parution : 7 décembre 2006 Description : Extraits de mon livre « Torturés par Le Pen », La guerre d'Algérie (1954 - 1962). Rebellyon.info Copyright © Rebellyon.info Page 1/11 « Torturés par Le Pen » par Hamid Bousselham Voir cet autre

Pierre Desproges lors d'un réquisitoire du "Tribunal des flagrants délires" pour constater que ses motivations étaient fort différentes : Alors le rire, parlons-en et parlons-en aujourd'hui, alors que notre invité est Jean-Marie Le Pen. Car la présence de Monsieur Le Pen en ces lieux voués le plus souvent à la gaudriole para-judiciaire pose problème. Les questions qui me hantent, avec un H comme dans Halimi sont celles-ci : Premièrement, peut-on rire de tout ? Deuxièmement, peut-on rire avec

populaire et de gagner des votes. Cela peut donc expliquer pourquoi l’UMP a commencé ces débats : en gros, en utilisant le FN comme boussole, il compte augmenter sa popularité. Et pourquoi utilisent-ils le FN comme boussole ? Parce que le FN et Marine le Pen est devenu un parti très populaire, dépassant l’UMP et Sarkozy dans plusieurs sondages (Le point.fr 2011). La question suivante, peut être plus intéressante, est donc : Pourquoi le FN est-il si populaire ? La France est pour le moment un pays

| |Front national (FN), dirigé par Jean-Marie Le Pen depuis sa | | |fondation, en 1972. | | |Puis par sa fille Marine Le Pen depuis 2011 | |[pic] |

Marseille lors du second tour des élections présidentielles en 1995, 2002 et 2007. Les scrutins à Marseille sont également caractérisés par un fort vote protestataire : en 1981, Georges Marchais y arrive en tête au premier tour, ainsi que Jean-Marie Le Pen en 1995 et 2002. Ville industrielle, Marseille est très tôt un territoire d'implantation du socialisme en France : Clovis Hugues y est élu premier député d'un parti ouvrier en France en 1881 et Siméon Flaissières, le premier maire socialiste

"pour certains, c'est un gros mot", avait-il souligné, à Besançon, le 13 mars 2007. "Je ne veux pas laisser le monopole de la nation à l'extrême droite. Je veux parler de la nation française parce que je n'accepte pas l'image qu'en donne Jean-Marie Le Pen", avait-il expliqué. L'idée de ce ministère était venue de Patrick Buisson, influent conseiller de M. Sarkozy. Cet ancien journaliste venu de l'extrême droite, présenté comme "l'hémisphère droit de Sarkozy", avait convaincu le chef de l'Etat de la

parti de Charles Milion, UDF (droite) s'était allié au Front National, le parti d'extrême droite de Jean-Marie Lepen pour remporter la présidence du Conseil régional Rhônes-Alpes en mars 1998. En 2002 lors des élections présidentielles, Jean-Marie Le Pen accède au second tour. Effrayé par cette montée du parti d'extrême droite, il veut montrer les dangers de ce parti et d’une manière plus générale, les dangers du Totalitarisme Matin Brun devient un véritable best-seller car il incarne la lutte contre

rock et de littérature. Dès ses 13 ans, il commence à composer quelques textes et découvre le groupe de rock américain « Doors ». Suite à l’arrivé du punk, il s’imagine jouer dans un groupe de musique. Il se passionnera par la suite pour « The gun club », un groupe de punk blues américain mené par Jeffrey Lee Pierce. C’est en 1980, alors en classe de seconde au lycée Saint-Genès de Bordeaux, que Bertrand Cantat rencontrera Serge Teyssot-Gay. Par la suite, c’est grâce à un annonce qu’il rencontrera

confrères : « Il n'y a pas d'électorat FN. Il y a un électorat populaire qui vote parfois Front national, mais aussi communiste et socialiste. Ces électeurs-là pensent à peu près la même chose. » Le plus bel éloge venait de Jean-Marie Le Pen : « C'est le meilleur observateur politique. […] Le plus intelligent, le plus sérieux. […] C'est vrai, il a donné à Sarkozy les mots, les codes, le langage qu'il faut employer vis-à-vis des électeurs du Front national. […] Au fond de son cœur