Péloponnèse

principalement vainqueur du conflit qui l'opposait au peuple qu'ils considéraient comme Barbares et entre dans une période nommée la Pentécontaétie . Cette période désigne l'intervalle entre la fin des guerres médiques et le début des guerres du Péloponnèse, qui consacre la suprématie politique , militaire et maritime d'Athènes. Pour autant, cette victoire ne marque pas une coupure radicale avec l'ennemi Perse .La guerre ne s'avère pas totalement finie , et les Perses restent néanmoins présent

l'existence de cette alliance, promulguant toujours ainsi à Athènes l'argent de cotisation. Athènes confirme bien son statut de thalassocratie, c'est-à-dire une puissance maritime. C. La perse, arbitre du monde grec ? 431 → 404 : Guerre du Péloponnèse. Opposition entre Athènes et Sparte pour savoir qui doit avoir l'hégémonie sur le monde grec. Les forces sont tellement équilibrées que l'on s'installe dans une guerre longue. Athènes est plus puissante sur mer, mais Sparte est supérieure sur terre

opiniâtre de neuf mois. Pendant la guerre du Péloponnèse, Byzance, en proie aux deux factions qui soutenaient les intérêts de Sparte et d’Athènes, est soumise avec les autres villes de l’Hellespont, à l’influence de ces deux puissances tour à tour victorieuses. D’abord, elle est subjuguée par les succès de Sparte, puis prise par Alcibiade en 408. Enfin, après la bataille d’Aigos-Potamos et la prise d’Athènes, qui mirent fin à la guerre du Péloponnèse, elle est forcée par le Spartiate Lysandre de

La polémique a surgi ces dernières semaines, nous dit-on, au cours des négociations « au plus haut niveau » sur le contenu final du traité. Des pinailleurs de haut niveau, donc, ont estimé que la citation, tirée de l’Histoire de la guerre du Péloponnèse, la grande œuvre de Thucydide, était « mal traduite », « tronquée » et « apocryphe ». Voilà pour la forme. Sur le fond, l’accusation est plus grave : Thucydide, père de l’Histoire moderne, serait en réalité un personnage « peu recommandable », pour

Périclès promulgua la loi refusant les lois civiques aux enfants des citoyens athéniens et des femmes étrangères. Il constitua un trésor de guerre et réprima la révolte de Samos en -440. Cependant, le danger grandissait autour d'Athènes; la guerre du Péloponnèse se déchaîna en -431. Périclès prôna une stratégie de repli. Inférieurs orce terrestre, les Athéniens se retranchèrent dans les murs de la ville et laissèrent les Spartiates ravager l'Attique. Le plan ne résista cependant pas à la peste qui ravagea

le grand-père maternel sont athéniens. Il reconstruit également, avec d’autres cités grecques, les temples détruits par les Perses. Il tente d’unifier la Grèce, mais la résistance de Sparte l’en empêche. Il meurt de la peste lors de la guerre du Péloponnèse.

Cléon (en grec ancien Κλέων / Kléôn), du dème de Cydathénée, est un homme politique athénien qui fut un des successeurs de Périclès, et qui s'est illustré au cours de la Guerre du Péloponnèse grâce à un coup d'éclat dans la réduction du blocus de l'îlot de Sphactérie. Fils d'un riche tanneur, Cléainétos, il avait hérité de l'entreprise familiale, ce qui faisait de lui un personnage vulgaire dont Aristophane a fait une caricature d'une violence extrême dans plusieurs de ses comédies. Il est considéré

les réconcilier. Devant les prétoriens puis devant le Sénat, il justifie sa conduite en prétextant un complot qu'aurait fomenté son frère 3) Principales décisions prises Périclès fait ses prémières manœuvres militaires pendant la guerre du Péloponnèse, causée en partie par l'alliance d'Athènes avec Mégare et Argos et la réaction subséquente de Sparte. Ses décisions politiques s’imposaient d’elles-mêmes à la plupart des citoyens. Il créa l’action de Graphê Paranomôn (plainte en illégalité) qui

plus brillant d'Athènes-, contemporain, ou presque, d'un Sophocle et d'un Euripide, il a connu, au long de ses soixante-dix ans de vie, la grandeur et la décadence de sa patrie. Il meurt en 399, quelques années après la fin de la guerre du Péloponnèse et de la tyrannie des Trente. Physiquement il était fort laid (Xénophon) : chauve, le nez épaté, il ressemblait à un satyre (Platon) ou à un silène (Rabelais) ; ce visage scandalisait les Athéniens pour lesquels la beauté physique était

Préparation : L'exploitation des mines du Laurion Xénophon ( 426 av. J-C, 355 av. J-C ), philosophe, historien et maitre de guerre grec, est né en Attique pendant les premières années de la guerre du Péloponnèse. Elève de Socrate, plusieurs fois exilé pour ses idées politiques, il n'en demeure pas moins attaché à l'essor de sa patrie. Ainsi, il écrit vers 355 Les Revenus, un livre de réformes économiques préconisées pour la cité d'Athènes. Cet extrait traite plus particulièrement de l'exploitation