Peggy Sue et les Fantômes

L’Herbier, La duchesse de Langeais de Jacques de Baroncelli, La symphonie fantastique de Christian-Jaque, ou Mariage de chiffon et Lettre d'amour, tous deux signés par Claude Autant-Lara. Un an plus tard, en 1943, Serge de Poligny réalise Le baron fantôme, et Jean Delannoy présente L'éternel retour. Enfin, durant l'année de la libération, parmi les rares films projetés en salle, deux d'entre eux, Le ciel est à vous, de Jean Grémillon et Premier de cordée, de Louis Daquin, seront source de polémique

Questions Réponses L'homme de guerre breton, Bertrand Du Guesclin, était surnommé : "Le Dogue noir de... Brocéliande En 1923, Darius Milhaud compose la musique pour ballet intitulée "La Création du... Monde Qui a réalisé les films : "Peggy Sue s'est mariée" et "Outsiders" ? Francis Ford Coppola Quelle unité d'énergie ou de travail a pour symbole "kWh" ? Le kilowattheure Quel violoniste et compositeur italien est l'auteur des "Vingt-quatre caprices pour violon seul" ? Niccolò

B7 Em) G Em Moi les ch'vaux, l'révolver et l'chapeau d'clown 3.Moi ti n'a mon ti femme dans mon la case Moi ti n'a princesse, tu vas guetter D G Dans ma tête, j'entends le grand cinéEm B7 Avec son gros anneau dans son zoreilleEm C La belle Peggy du saloon Am B7 J'suis mal en homme dur et mal en p'tit cœur Em D Am G Peut-être un p'tit peu trop rêveur Refrain ( Interlude :Am Refrain et reprise du premier couplet 5 B7 Em) Amsterdam (72) Accordéon 3/Dans le port d'Amsterdam Em Y

quelques-unes des sentences que Montaigne avait fait peindre sur les poutres de sa librairie (sa bibliothèque). Ici traduites, elles y figuraient en grec ou en latin. Je vois en effet que nous tous, tant que nous sommes, nous ne sommes rien de plus que des fantômes et des ombres légères. (Sophocle.) O coeur malheureux des hommes ! O intelligences aveugles ! Dans quelles ténèbres et au milieu de combien de périls s’écoule ce peu de temps que nous vivons ! (Lucrèce.) Pourquoi te glorifier, terre et cendre ? (L’Ecclésiaste

quelques-unes des sentences que Montaigne avait fait peindre sur les poutres de sa librairie (sa bibliothèque). Ici traduites, elles y figuraient en grec ou en latin. Je vois en effet que nous tous, tant que nous sommes, nous ne sommes rien de plus que des fantômes et des ombres légères. (Sophocle.) O cœur malheureux des hommes ! O intelligences aveugles ! Dans quelles ténèbres et au milieu de combien de périls s’écoule ce peu de temps que nous vivons ! (Lucrèce.) Pourquoi te glorifier, terre et cendre