Paysages Tristes

m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. I. Le voyage

glaneuses, de là ou elles étaient, sur « la belles vie ». IV) Aspects des couleurs et de la lumière : La source de la lumière viendrait du fond du paysage et se contraste à l’endroit ou se trouvent les glaneuses. Les couleurs du paysages sont douces et chaudes, alors qu’au niveau des trois femmes elles y sont plutôt froides et triste. Le jaune et le bleu clair font ressortir l’aspect du soleil dans l’arrière plan, alors qu’elles se noircissent dans l’avant plan. Elles ont été appliqué par

regarderai ni […] ni... » + successions de négations = impression de rapidité car ne s'arrête sur aucun détail (pourtant l'or du soir, ça a l'air d'être sympa à voir) 2)Progression dans l'espace > « j'irai par la forêt »+ montagne > 2 types de paysages bien différents =implique une progression importante dans l'espace > PAR = idée de traverser d'un bout à l'autre > « j'irai »+ « je partirai » + « j'arriverai »+ « je marcherai »/« je ne puis demeurer » = refus de l'immobilisme + besoin de mouvement

Gracq fait plusieurs sauts de ligne pour les délimiter) L’aspirant Grange est en train, il voit la Meuse, il a quitté des paysages tristes et admire celui-ci. Le train est vide et la rivière lui fait penser que c’est un train pour Le domaine d’Arnhem (Edgar Poe). Mais le voyage est ponctué de maisons teigneuses et des petites gares lépreuses. (Description en mouvement du paysage : nature sauvage ≠ « laideur » des gares, habitations et installations militaires) Des soldats attendent sur les quais. Il

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.” Română: „ Mâine

l'Océan splendide, immense et triste, Où le nuage laisse un reflet d'améthyste, L'émeraude écumante et le calme saphir ; Et fixant l'eau, l'air, l'ombre et l'heure insaisissables, Sur une toile étroite il a fait réfléchir Le ciel occidental dans le miroir des sables. La belle et intelligente expo « De Turner à Monet » (jusqu’au 4 septembre à Quimper, Musée des beaux-arts) mérite le détour ne serait-ce que parce qu’on y découvre quelques peintres de paysage (Lansyer, Blin, Penguilly l’Haridon

réflexion contemporaine sur l’image que nous nous faisons sur l’Orient… Dans ce texte, l’auteur propose une image méliorative des voyages énonçant ces derniers avec la 3ème personne du pluriel «Ils » contrairement à l’essai de Claude Lévi-Strauss , Tristes tropiques publié en 1955 , ou l’ethnologue s’adresse directement aux  « voyages ». Pour les deux auteurs, les voyages reposent au départ sur l’idée de découvertes, Michel Le Bris accentue l’idée de promesses et de rêves, tandis que Levi Strauss

qui est une sorte de discours-programme en vers. S’achève par 3 poèmes groupés sous le titre Epilogue. Entre ces introduction et conclusion, Verlaine a groupé ses poèmes en 5 séries : Melancholia, qui ne comporte que des sonnets, Eaux fortes et Paysages tristes ( qui rassemblent des pièces aux rythmes divers). Un autre chapitre, plus souriant, est intitulé Caprices. Le dernier groupe de poèmes ne comporte pas de titre. ➢ Les thèmes : Pas de thématique très unifiée. Verlaine semble chercher sa

bonheur, dans l’attente d’une vie plaisante à vivre, se retrouve finalement confrontée à un avenir réel beaucoup moins agréable que ce qu’elle avait imaginé. Ce passage introduit un univers morose et triste où le désenchantement et la désillusion de Jeanne semblent empiéter et déteindre sur les paysages et descriptions du monde extérieur. Lecture du texte. Caractérisation du texte. Jeanne prend conscience de la perte de sa jeunesse et des rêves auxquels elle croyait, sentiment que le bonheur