Paysage Fauve

« Bâtir dans la nuit mes féeriques palais… » Documents A – Victor Hugo, « Rêverie », Les Orientales, 1829. B – Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, « Tableaux parisiens », 1857. C – Jules Supervielle, « San Bernardino », Débarcadères, 1922. D – Saint-John Perse, « Le mur », Éloges, « Images à Crusoé », 1911. m Vous répondrez d’abord à la question. ■ Question (4 points) Comment s’exprime, dans chaque poème, le désir d’ailleurs ? m Vous traiterez ensuite un de ces trois

le changement de technique, de médium de représentation, les fauvistes éclatent les couleurs jusqu’alors parfaitement codifiées. C’est notamment la série de Arbres Rouges de vlaminck qui fait scandales. Les idées classiques sont bouleversées. Le paysage restera le sujet premier de ces artistes car c’est par lui que les possibilités d’expression sont les plus multiples. Le peintre symboliste Gustave Moreau a beaucoup influencé les pères du fauvisme, Vlaminck et Matisse. Comme a dit ce dernier : « Moreau

circonstances". L'impressionisme est un mouvement pictural Français qui date de la deuxième moitié du XIXème siècle. L'impressionisme se caractérise par la volonté de privilégier l'impression que laisse un paysage plutôt que de le représenter tel qu'il est objectivement. Les impressionistes peignent des paysages ou des moments de la vie quotidienne, c'est à dire qu'ils choisissent leurs sujets dans la vie de tous les jours. L'impressionisme privilégie les jeux de lumières (clair, obscur), l'abscence de contours

famille modeste, il étudie le droit avant de partir à Paris, où il travaille dans un octroi. Cette position lui vaut son surnom de « douanier ». Il apprend lui-même la peinture et produit un grand nombre de toiles, qui représentent souvent des paysages de jungle. Il n'a pourtant jamais quitté la France. Son inspiration provient surtout de livres illustrés, des jardins botaniques et de rencontres avec des soldats qui avaient participé à l'intervention française au Mexique. Ses toiles montrent

couvent car elle voulait devenir religieuse ; sa vie chez sa patronne, madame Vanzade, dans son hôtel de Passy. Puis elle en vient à mettre de l’ordre dans l’atelier. Enfin, ils sortent ensemble dans l’île Saint-Louis puis plus loin, admirant le paysage de la Seine, des ponts et des quais. Un jour, ils sont vus par les amis de Claude ; un autre, ils sont surpris par la visite impromptue de Jory et d’une femme prête à se déshabiller sur le champ pour poser alors que Christine, confuse, est cachée

là, il rencontre Monet; donc peintres d’Argenteuil. Première influence: Moment de triomphe de Corot, (1796-1875), peintre de paysage, gagne l’exposition de Paris. Il est très indépendant et assez solitaire, voyage beaucoup en Italie. Il est un des premier peintre de plein air, ne se mèle à aucun groupe. (Joconde.fr, dessins de Corot) 1844, musé du Louvre, dessin de paysage. A donné un de ses dessins à Pissaro. Il était assez généreux en conseils. Pour lui, l’important c’était les valeurs (si vert

maintenant. — Tous les éléments dun monde miniature sagitaient dans létroit navire, et avec eux, passions, projets, haines, amours, vice, vertus. Sur lavant se tenaient deux individus paraissant tout particulièrement sensibles aux beautés du glorieux paysage déployé sous leurs yeux. Le premier était un jeune homme de haute taille dont les regards exprimaient une incommensurable confiance en lui-même. Un large Panama ombrageait coquettement sa tête; un foulard blanc, suspendu avec une savante négligence

couvent car elle voulait devenir religieuse ; sa vie chez sa patronne, madame Vanzade, dans son hôtel de Passy. Puis elle en vient à mettre de l’ordre dans l’atelier. Enfin, ils sortent ensemble dans l’île Saint-Louis puis plus loin, admirant le paysage de la Seine, des ponts et des quais. Un jour, ils sont vus par les amis de Claude ; un autre, ils sont surpris par la visite impromptue de Jory et d’une femme prête à se déshabiller sur le champ pour poser alors que Christine, confuse, est cachée

dans un couvent car elle voulait devenir religieuse sa vie chez sa patronne, madame Vanzade, dans son htel de Passy. Puis elle en vient mettre de lordre dans latelier. Enfin, ils sortent ensemble dans lle Saint-Louis puis plus loin, admirant le paysage de la Seine, des ponts et des quais. Un jour, ils sont vus par les amis de Claude un autre, ils sont surpris par la visite impromptue de Jory et dune femme prte se dshabiller sur le champ pour poser alors que Christine, confuse, est cache derrire

par une longue vallée. Un torrent à lit pierreux souvent à sec, alors rempli par la fonte des neiges, arrose cette vallée serrée entre deux montagnes parallèles, que dominent de toutes parts les pics de la Savoie et ceux du Dauphiné. Quoique les paysages compris entre la chaîne des deux Mauriennes aient un air de famille, le canton à travers lequel cheminait l’étranger présente des mouvements de terrain et des accidents de lumière qu’on chercherait vainement ailleurs. Tantôt la vallée subite-