Paysage Fauve

dans l’art du paysage. Au cours de cette exposée, nous verrons comment CONSTABLE a sur faire exprimer la Nature sur sa toile. I L’identification de l’œuvre. John CONSTABLE  (11 juin 1776 à East Bergholt, - 31 mars 1837 à Londres, en Angleterre) La charrette de foin, (the Hay Wain). 1821 Huile sur toile 130,5 x 185,5 cm National Gallery, Londres. NG1207 John CONSTABLE est un peintre anglais du 19ème siècle. Il appartient au naturalisme. Il est connu pour ces nombreux paysages. Il est passionné

sont dessinés. Le Shakkei : Le paysage emprunté Dans la conception de ce type de jardin, la surface disponible n’a pas beaucoup d’importance, ce qui est capital, c’est le fond du décor. Pour un effet 100% japonais et réussi, le paysage de fond doit être purement naturel et de préférence montagneux. En effet, la technique du Shakkei consiste à donner l’illusion d’un jardin qui s’étend à l’infini en capturant les éléments naturels extérieurs (d’où son nom de paysage emprunté). De cette manière, une

étaient autrefois dépendants de l'agriculture et vivaient repliés sur eux-mêmes. Avec l'ouverture des économies, même les espaces reculés doivent s'intégrer aux échanges. Ils sont maintenant très divers et leur intégration à l'économie est variée. Les paysages montrent le degré de rationalité dans l'organisation des espaces ruraux. Les espaces ruraux se diversifient vers des activités extra-agricoles. Les espaces ruraux sont donc en profonde mutation. Ils subissent l'influence de plus en plus importante

surtout de séduire le lecteur , qui prend du plaisir à la découverte de nouveaux paysages. Pour cela l'auteur crée ou décrit des mondes merveilleux , presque idéale , tant par la beauté des paysages que par les valeurs ou les mœurs des habitants. On peut le voir dans l’œuvre de Bougainville, « Voyage autour du monde », où l'auteur fait l'éloge de Tahiti en le comparant au « jardin d’Éden » , on y ajoutant que le paysage est composé « de beaux arbres »est « baigné d'une fraîcheur » et où les

UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES Institut de Gestion de l’Environnement et d’Aménagement du Territoire Faculté des Sciences Pollution et contamination des sols aux métaux lourds dues à l’industrie métallurgique à Lubumbashi : Empreinte écologique, impact paysager, pistes de gestion Mémoire de fin d’Etudes présenté par Isabelle V RANKEN en vue de l’obtention du grade académique de Master en Sciences et Gestion de l’Environnement Année académique 2009 – 2010 Directeurs : Prof. Marie-Françoise G ODART

valorisée issue des vecteurs identitaires de la destination touristique. Le territoire, véritable pôle de développement touristique doit s’appuyer sur trois grands points qui définissent son identité, son originalité, son caractère unique : les paysages culturels, les savoir-faire locaux. De même que les spécialités et les traditions locales gastronomiques, les us et les coutumes ainsi que les fêtes traditionnelles, et le patrimoine historique et vernaculaire. Tous ces éléments identitaires

associés au plaisir de la découverte. En effet, le contact avec les nouvelles cultures, la recherche de nouveaux paysages sont très prisés. Dans son texte informatif, Michel Le Bris se concentre essentiellement sur deux continents, l’Afrique (puisque il cite le « Maroc ») et l’Asie…L’emploi des adjectifs mélioratifs associés à ces pays montre le charme de ces destinations, notamment par leur paysage. En outre, L’auteur s’intéresse énormément à la richesse culturelle qu’apporte les voyages.

de la terre. 1. Aux Etats Unis : Le Land Art débute en octobre 1968 lors d’une exposition de Robert Smithson, Earthworks, à la Dawn Gallery de New York. Il devient la figure du Land Art. Les premières œuvres ont été réalisées dans des paysages désertiques tels que l’ouest américain à la fin des années 1960. Elles sont souvent gigantesques, car la nature est vaste. Suivront d’autres artistes comme Robert Morris, Nancy Holt, Andy Goldsworthy ou Michael Heizer, qui a déplacé 24 000 tonnes

d’autant qu’elle épouse le stupide jeune homme blond moins de deux mois après l’histoire… M. Dufour M. Dufour n’est pas aussi présent que sa femme et sa fille dans la nouvelle. C’est lui qui conduit, dirige, incite les gens à regarder tel ou tel paysage, se laisse entraîner par l’aspect accueillant de l’auberge… il est là pour se divertir et assume un rôle de manière extérieure (mari et père de famille, etc.). Cependant, on s’aperçoit rapidement que le quincailler est dépendant des choix de sa

amis de la « bande ». Leur évolution. Le soir, ils se retrouvent dans le nouvel appartement de Sandoz, rue Nollet, pour diner. Chapitre 8 Le couple s’installe dans un atelier rue de Douai. Claude est pris d’une véritable rage de travail mais les paysages parisiens qu’il peint sont systématiquement refusés au Salon pendant trois ans. Sans se laisse décourager, il décide de s’attaquer a une vaste composition représentant la Cité et la Seine vue du pont des Saints-Pères. Il accepte d’épouser Christine