Pauvres Gens Victor Hugo Explication

212 CXIX. Abel et Caïn . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214 CXX. Les Litanies de Satan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217 LA MORT CXXI. La Mort des amants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .222 CXXII. La Mort des pauvres . . . . . . . . . . . . . . . . . . .223 CXXIII. La Mort des artistes . . . . . . . . . . . . . . . . . . .224 CXXIV. La Fin de la journée . . . . . . . . . . . . . . . . . . .225 CXXV. Le Rêve d’un curieux . . . . . . . . . . . . . . . . . .

les paroles de l’autre ?       Quelles sont les phrases mystérieuses dans la bouche d’Antigone ?       Comment comprenez-vous la phrase : "C’est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes" ? THC pour la séance 3 : lire jusqu’à la page 31 ("Pauvre Ismène !"). Comment est évoqué Créon par les deux jeunes filles ? Relever les arguments d’Ismène et ceux que lui oppose Antigone sans forme de tableau.   Séance 3 (= 1 h): Lecture de la scène entre Antigone et Ismène puis corrigé des questions

| |identifier le style indirect libre |introducteurs | | |3 |Extrait de Claude Gueux de Victor Hugo |Identifier le narrateur |Maîtriser le vocabulaire des 5 sens |Réécrire un récit en changeant de narrateur | |P. 35 | |Identifier

L’Enfant maudit (1831) • Splendeurs et misères des courtisanes (1847) Note: Ce livre vous est offert par Feedbooks. http://www.feedbooks.com Il est destiné à une utilisation strictement personnelle et ne peut en aucun cas être vendu. 2 A MONSIEUR VICTOR HUGO. Vous qui, par le privilége des Raphaël et des Pitt, étiez déjà grand poète à l'âge où les hommes sont encore si petits, vous avez, comme Chateaubriand, comme tous les vrais talents, lutté contre les envieux embusqués derrière les colonnes, ou tapis

corps Olympien aux servitudes sales! Oui, même après la mort, dans les squelettes pâles Il veut vivre, insultant la première beauté! — Et l'Idole où tu mis tant de virginité, Où tu divinisas notre argile, la Femme, Afin que l'Homme pût éclairer sa pauvre âme Et monter lentement, dans un immense amour, De la prison terrestre à la beauté du jour, La Femme ne sait plus même être Courtisane! — C'est une bonne farce ! et le monde ricane Au nom doux et sacré de la grande Vénus! ni Si les temps revenaient

montrer en quoi le lien postulé par Victor Hugo, dans la préface de Cromwell, entre mélancolie et christianisme se trouve vérifié dans nos pièces. Je prendrai pour guide, au cours de cette rapide enquête, l'Anatomie de la mélancolie de Robert Burton (1621), ouvrage monumental et passionnant qui fait la synthèse, au début du XVIIe siècle, de la riche tradition médicale, philosophique et littéraire sur le sujet. I. L'héritage antique Quoi qu'en dise Victor Hugo, la mélancolie, du moins en tant que

rhétorique arriva au collège, Georges Izambard, qui avait vingt et un ans, qui était poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens. Il prit Arthur Rimbaud en affection, lui ouvrit sa bibliothèque et lui fit découvrir notamment Rabelais, Hugo, Banville, encouragea ses essais poétiques qui révélaient une étonnante faculté d’assimilation, une extrême précocité et même une originalité incontestable. L’adolescent fit pour lui un devoir : ____________________________________________________________

Magasins de l’élite : niveau intellectuel, culture élevée. * Donner une image de soi à travers les objets. b. Une écriture sérielle * Abondance des objets qui envahissent le quotidien à cette époque. * Itinéraire symbolique : de pauvre à riche géographie Sud-Nord) * Inventaire, comme le Père Goriot, effet de réalisme qui fait entrer la société de consommation dans la littérature. c. Le regard du narrateur sur ses personnages * Ironique, personne stéréotypées, s’imaginant

Bordeaux ! Et la présence d’Arsène Lupin s’affirmait une fois de plus, et par quel acte redoutable ! Ce fut la terreur. On n’osa plus rester seul dans sa cabine, et pas davantage s’aventurer seul aux endroits trop écartés. Prudemment on se groupait entre gens sûrs les uns des autres. Et encore, une méfiance instinctive divisait les plus intimes. C’est que la menace ne provenait pas d’un individu isolé, et par là même moins dangereux. Arsène Lupin maintenant c’était... c’était tout le monde. Notre imagination

rhétorique arriva au collège, Georges Izambard, qui avait vingt et un ans, qui était poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens. Il prit Arthur Rimbaud en affection, lui ouvrit sa bibliothèque et lui fit découvrir notamment Rabelais, Hugo, Banville, encouragea ses essais poétiques qui révélaient une étonnante faculté d’assimilation, une extrême précocité et même une originalité incontestable. L’adolescent fit pour lui un devoir : _________________________________________________________________________________