Pauvre Petit Garçons

des maisons de petite ville, montait une sorte de colline; et tout au bout on apercevait des arbres comme si un parc l'eût terminée.     De temps en temps un chat traversait la chaussée, enjambant les ruisseaux d'une manière délicate. Un roquet pressé sentait le pied de tous les arbres, cherchant des débris de cuisine. Je n'apercevais aucun homme.     Un morne découragement m'envahit. Que faire ? Que faire ? Je songeais déjà à l'interminable et inévitable séance dans le petit café du chemin de

Question Quel regard ces textes portent-ils sur les femmes du peuple ? Question de corpus sur le personnage de roman Lycée Louis de Broglie – Marly-le-Roi – Année 2013-2014 – 1ère S 1 Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, 1862. La mère de la petite Cosette, Fantine, se trouve dans une extrême misère après avoir été renvoyée de l’usine de M. Madeleine. Les Thénardier, chez qui sa fille est en pension, lui racontent que Cosette est malade afin de lui soutirer de l’argent. Elle en vient à vendre

Cheveux d'Or ne consentît à ce qu'il souhaitait, lui faisait déjà faire de belles robes et des meubles admirables. Pendant que les ouvriers étaient occupés à travailler, l'ambassadeur, arrivé chez la Belle aux Cheveux d'Or, lui fit son petit message. Mais, soit qu'elle ne 15 fût pas ce jour-là de bonne humeur, ou que le compliment ne lui semblât pas à son gré, elle répondit à l'ambassadeur qu'elle remerciait le roi, mais qu'elle n'avait point envie de se marier. L'ambassadeur partit

encore plus vite, entraînant Jedjigha vers le ravin. Puis brusquement, la pelote disparût. La fillette la chercha vainement dans les ronces et les buissons. Revenir en arrière ?... Elle avait perdu son chemin. Alors elle marcha au hasard sur ses petites jambes. Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu'à l'orée de la forêt. C'est alors qu'elle découvrit, à demi-masquée par une épaisse végétation, l'entrée d'une caverne. Elle se fraya un passage et entra. La caverne était profonde. Lorsqu'elle eut

Dans un beau village près de la mer, où il faisait très chaud, habitait un petit homme, âgé de ans du nom de Pablo. Cet enfant qui n’avait pas beaucoup d’ amis , s’ennuyait. Il ne savait pas quoi faire de ses journées. Sa famille était très pauvre et il n’avait aucun jouets pour s’amuser. Le jour de son e anniversaire, les parents de Pablo lui ont fait une surprise. Ils lui ont acheté un ballon !! Pablo ne le savait pas encore

ODORAT « – Mon beau chien, mon bon chien, mon cher toutou, approchez et venez respirer un excellent parfum acheté chez le meilleur parfumeur de la ville. » Et le chien, en frétillant de la queue, ce qui est, je crois, chez ces pauvres êtres, le signe correspondant du rire et du sourire, s'approche et pose curieusement son nez humide sur le flacon débouché ; puis reculant soudainement avec effroi, il aboie contre moi, en manière de reproche. « – Ah! misérable chien, si je

Mais Jean-Christophe, avec son individualisme acharné, sans aucune mesquinerie, fut pour moi une révélation salutaire » et le pouvoir de celle-ci lorsqu’elles sont exprimées sans contraintes « Jusqu’à cette rencontre volée avec Jean-Christophe, ma pauvre tête éduquée et rééduquée ignorait tout simplement qu’on put lutter seul contre le monde entier ». Cela leur permet de découvrir les avantages des autres régimes politiques « Sans lui je ne serais jamais parvenu à comprendre la splendeur et l’ampleur

fois, deux enfants, une fille et un garçon, âgés de huit ans, vivant au Bangladesh. La fille avait une peau douce et rosée, et disposait des cheveux châtains, longs définis par des boucles parfaites. Ses petites mains, toutes claires, avaient une délicatesse et une habilité exceptionnelle qu’on retrouvait rarement chez une jeune a cet âge dans ce pays. Elle provenait d’une famille endettée, puis cela la rendait plutôt fragile. Quant au garçon, lui il était un petit fort et courageux, malgré la pauvreté

personnage à la condition de vie modeste, il y est décrit par l’auteur comme un personnage pauvre. Son portrait est présenté en mouvement, c’est un bel homme conscient et fier de son pouvoir de séduction, qui erre dans les rues de Paris à la recherche d’une conquête. Il a un passé militaire dont il garde l’allure élégante, ses atouts physiques apparaissent comme des armes, il joue de son corps pour séduire. Duroy est pauvre mais fier de cette apparence militaire qu’il amplifie par certains aspects provocants

bloc encore et Créon peut enfin descendre. On voit ses cheveux blancs dans l'ombre, au fond du trou. Il essaie de relever Hémon, il le supplie. Hémon ne l'entend pas. Puis soudain il se dresse, les yeux noirs, et il n'a jamais tant ressemblé au petit garçon d'autrefois, il regarde son père sans rien dire, une minute, et, tout à coup, il lui crache au visage, et tire son épée. Créon a bondi hors de portée. Alors Hémon le regarde avec ses yeux d'enfant, lourds de mépris, et Créon ne peut pas éviter