Patricien

république. 2. La république triomphante (509-133 av. J-C) : - Les luttes patricio-plébéiennes : Les premiers siècles sont marqués de luttes patricio-plébéiennes les patriciens, qui se disent être les premiers compagnons de Romulus, suite à ses oppositions les patriciens gagnent et gardent tout le pouvoir. Face aux patriciens, on trouve des marchands et des paysans sans pouvoir politique et religieux mais avec des devoirs militaires important., c’est ce qu’on appelle la Plèbe. Très vite la Plèbe

romain : Les lois, dont le détenteur du pouvoir de faire les lois est le peuple, les comices sont la réunion du peuple en Assemblée qui fait des lois. La plèbe et les patriciens sont les deux parties où émane le droit d’édicter la loi. Les patriciens sont les aristocrates (personnes plus importantes du peuple), les patriciens sont le reste du peuple. Ces 2 classes sont en lutte : guerre civile sous la République romaine. La plèbe obtient un certain pouvoir dans le fait où ils peuvent adopter

considéré comme le créateur de la vieille famille des Iulii qui, selon l’empereur Claude, se joignit ensuite aux patriciens de Rome6. Par ce lignage, César revendiqua, lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia, une ascendance remontant à Vénus7 dont il célébrera les vertus génitrices (Vénus Genitrix). En réalité les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine

des vaillants romains et de leur ville. Il fut plus tard assimilés à Quirinus. Tite-Live encore, après avoir rappelé que « Romulus comptait plus de partisans dans le peuple que parmi les Patriciens », rapporte une rumeur plus sordide d’après laquelle Romulus aurait été tout simplement massacré par les patriciens, et suppose que son apothéose sous le nom de Quirinus fut un stratagème politique destiné à apaiser le bon peuple. f) Les ascendances de Romulus Il existe diverses versions sur l’ascendances

d’incinérer un corps, comme c’était la coutume, on l’exposait au public. Le temps d’exposition du corps dépendait de la position du défunt dans la société. Pour les plébéiens n'était exposé qu'un seul jour et incinéré directement alors que pour les patriciens le corps était exposé plusieurs jours et de multiples règles étaient respectées : -le plus tôt possible après la mort, le fils ou le membre de la famille le plus proche embrassait le mort afin de recueillir le dernier soupir -on fermait les yeux

même chose que Populus qui signifie peuple. Le populus est l'ensemble de la population romaine par opposition aux membres du Sénat. Tous les patriciens ne sont pas forcément sénateurs. D'ou cette formule « SPQR » qui signifie Senatus Populus Que Romanus, c'est a dire l'ensemble de la population romaine. La Plèbe ne revanche est ce qui s'oppose aux patriciens, cette Plèbe se distinguant elle même en deux Plèbes, une Plèbes rustique, et une Plèbe urbaine. La Plèbe rustique est un genre de classe moyenne

le spectateur et lecteur informé par les didascalies qui coupent le soliloque «  bruits d'armes «  associé au «  chuchotement en coulisse «  . Ce passage met ainsi en place une mort dramatisée , elle est spectaculaire par sa violence «  Le vieux patricien le frappe dans le dos , Cherea en pleine figure «  et suscite la terreur et la pitié , en effet la fin de cette tragédie met en place un enchainement rapide des actions d'une extrême violence soulignée encore par les didascalies «  hoquets / rire/

communistes de toutes l’Europe à se lever contre le dominant, en allant même jusqu’à la violence. Analyse d’un extrait du livre « L’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’a été que l’histoire de luttes des classes.Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurande et compagnon, en un mot oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une guerre ininterrompu, tantôt dissimulée, une guerre qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire

une certaine laïcisation du droit romain, par rapport au ius oral pratiqué auparavant, ainsi qu'un conflit entre la plèbe et les patriciens. Historique[modifier]Articles connexes détaillés : Lex Terentilia et Decemvir Au début du ve siècle av. J.‑C., le droit romain (ius) est oral, et appliqué de façon presque religieuse par les pontifes, issus des familles patriciennes. En 462 av. J.-C., pour mettre fin à ce qu’il considère comme un arbitraire dont pâtit la plèbe, le tribun Gaius Terentilius Harsa émet

Dieux Soit augures néfastes, oiseaux de mauvaise augure. Le Roi doit s’abstenir de prendre une décision pour la cité = doit respecter les règles dictées par Dieu ; FAS, dictées par Dieu au roi de Rome. Fin de la monarchie  509 av JC : les patriciens, membres du Sénat, évincent et exilent le dernier Roi de Rome : Tarquin le Superbe. Il se serait emparé du pouvoir par la force, assassiné son beau-père, gouverner sans respecter les coutumes = despote, tyran. Volonté de fonder un gouvernement