Pathétique

Le pathétique est très présent dans ce poème. La grand-mère est personnellement impliquée dans cette mort atroce : « ils m’ont tué ce pauvre petit être » ce qui accentue la pitié du lecteur pour elle. Un mouvement de gradation est présent sur les émotions de la grand-mère: « était là qui pleurait » ; « disant » > « cria-t-elle », « les sanglots l’étouffant » Les spectateurs aussi sont touchés : « en silence », « tous pleuraient », « tremblant » . l'interjection « Hélas ! » souligne

I Le refus du pathos II L’ironie Il s’agit de relever tout ce qui concourt à créer une situation qu’on pourrait qualifier de 1°) Une priorité aberrante: anticipation de la faute de l'esclave, qui justifie le châtiment pathétique puis de montrer, dans un second temps, comment la narration refuse cette voie. ("quand nous voulons nous enfuir"). L'erreur, la maladresse est transformée en faute (pour

le meurtre lui-même que Chimène met en valeur que l’horreur du corps étendu mort. Son accusation est donc fondée sur trois points : * l’horreur du crime * l’intérêt du roi * son corollaire, la valeur du comte a) L’utilisation du pathétique L’horreur de la mort est montrée de façon crue (insoutenable psychologiquement), avec des procédés d’amplification (anaphore, parallélisme, homophonie : sans/sang, hyperbole : le sang « coule à gros bouillons »). Le mort est « vu » et « trouvé »

une mère nourricière ...............b-Mais elle est meurtrie par deux fils de comportement "haineux" ...............c-Réunion des deux dimensions de l'allégorie à la fin du passage ..........Axe 2 : Un mélange d'épique* et de pathétique* ...............a-Le pathétique de la mère ...............b-Les procédés d'amplification ..........Axe 3 : La partialité de d'Aubigné: une peinture partiale des évènements ...............a-Un engagement du poète dans ce qu'il écrit ...............b-La responsabilité

charognards (il ne veut pas mourir avant de l’enterrer par peur des charognards)! ! ➡ Pas adouci ou idéalisé, on la visualise comme une viande, réalisme violent! II. Une scène pathétique • Lien fort entre les deux protagonistes -> scène pathétique! • Idéalisation de manon, vocabulaire élogieux, hyperboles qualifiant Manon! • Pathétique dans les sentiments de DG (voc de l’amour + voc des soins)! • Absence d’égoïsme de DG, ses dernières forces sont vouées à Manon! • Fusion des 2 pges : les vêtements de DG

  Lecture analytique L’Assommoir d’Emile Zola Chapitre 10 ID FDL : 567 « L’Assommoir » d’Emile Zola Sommaire I) Un tableau pathétique de la classe ouvrière II) Une prise de conscience de la misère • Contraste • Formules imagées Analyse L'Assommoir chap. X " Mais ce fut là le dernier beau jour du ménage. [...] volé chez son patron " Au chapitre X, Gervaise et Coupeau ont fêté le dernier événement joyeux : la communion

Surinam mais un compagnon de Candide I Le refus du pathos Il s’agit de relever tout ce qui concourt à créer une situation qu’on pourrait qualifier de pathétique puis de montrer, dans un second temps, comment la narration refuse cette voie. 1°) Une situation a priori pathétique -> Mettre en évidence les éléments qui relèvent du pathétique, c’est-à-dire, en gros : La situation du personnage: position dans l'espace (à terre) et état physique (vêtements grossiers et incomplets, corps: utilisation

dialogue entre Done Elvire et Don Juan. Les registres tragiques et pathétiques dominent la scène. Nous nous demanderons en quoi les deux registres précédemment cités apparaissent dans le texte. Ainsi, nous verrons d’abord le registre pathétique, avant de traiter le registre tragique. Tout d’abord, cette scène contient une importante part émouvante, c’est à dire avec la présence du registre pathétique. En effet, le personnage de Done Elvire personnifie parfaitement cette

l’enterrement montre l’expression tragique du destin que souligne cet extrait. Pour identifier ces différents aspects, il sera intéressent d’approfondir l’analyse sur la tendresse et la douceur des deux amants qui attirent l’empathie, puis, sur l’expression pathétique et tragique de cet extrait.Dans cet extrait, les deux amants inspirent de l’empathie et de la tendresse. En effet, malgré leur tristesse et la gravité de la situation le couple reste inséparable. Comme le montre le pronom personnel « nous », qui

révèle être une déclaration d’amour où se mêlent les registres pathétique et dramatique. Nous verrons en quoi cette scène constitue le dénouement de la pièce et comment Cyrano accomplit ici son ultime coup de théâtre. Pour cela, nous verrons en première partie comment le masque de Cyrano tombe progressivement et comment Roxane découvre la vérité. Dans une seconde partie, nous verrons en quoi cet acte est empreint du registre pathétique. Le personnage de Cyrano joue dans ce passage son dernier