Passion Rend T Il Heureux

Au coeur du conflit sino-japonais, une jeune fille mandchoue de 16 ans essaye de vivre sa vie d'adolescente en s'épanouissant dans le jeu de go, sur la place des "Mille Vents", où elle se rend régulièrement, et où elle bat ses adversaires les plus compétents. Cette fille garde l'espoir : peut être qu'un jour tout ira bien pour elle, malgré cette dure réalité qu'elle doit confronter au quotidien. Parallèlement, les récits d'un jeune soldat japonais engagé dans le conflit sino-japonais nous intriguent

(Kant) Selon Kant, le bonheur ne peut pas être défini : nous ne pouvons dire avec certitude ce qui nous rendra heureux car pour cela il nous faudrait une connaissance absolue de nous-mêmes et du monde. Le bonheur n’est pas un idéal de la raison mais un idéal de l’imagination : [L]e concept du bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que véritablement il désire et il veut. (…)

sérail (voir Annie Becq, Lettres persanes, foliothèque, p. 22 et suivantes). De ce roman, Usbek est le centre (le sérail ne concerne Rica que comme témoignage de ses mœurs persanes, et comme objet de pensée). C'est le lieu, le seul, où se jouent les passions amoureuses (les persans ne nouent aucune relation sentimentale pendant leur exil). On pourrait penser que c'est là aussi que Usbek peut être doté de quelque chose comme une psychologie : victoire sur l'amour (lettre 6 : « Ce n'est pas Nessir que

Si je veux quelque chose c’est que j’en décide librement, rien (c’est-à-dire : ni les passions, ni l’inconscient, ni l’ignorance ne peut en être l’origine) ni personne ne m’y a poussé. La question de savoir si on peut vouloir le mal signifie donc : peut-on faire le mal en connaissance de cause, librement, en sachant que ce que l’on fait est mal ? Ou bien ne fait-on le mal que par aveuglement, à cause des passions, ou de notre histoire passée, en n’ayant pas vraiment conscience de faire le mal ? Dans

désir renvoie avant tout au domaine du corps. Le désir est défini comme pulsion, c'est à dire la recherche du plaisir. Par exemple, on peut désirer une bonne glace; on peut désirer de manière charnelle une autre personne. Le désir renvoie aussi à la passion : quand vous désirez quelque chose ou quelqu'un, vous ne pensez plus qu'à ça et sa vous obsèdent. Par conséquent le désir, c'est une source de souffrance, au sens où il vous enlève votre liberté. Le désir corporel apparaît comme une force qui vous

prochain, son anonymat, est ce qui rend le devoir de sollicitude étonnant, paradoxal, hasardeux... _ Amour charitable: « Veux-tu vivre gaiement? Chemine avec deux sacs , l’un pour donner, l’autre pour recevoir », Goethe. _ Être charitable c’est avoir de la compassion pour son prochain. Mère Theresa: « on ne souhaite pas la paix, on la fait. On fait la paix on est la paix, et on la donne aux autres. » _ Aimer c’est être soumis à une force, subir une pression, une passion; être dirigé vers (ou par) un

est assouvie (accomplie, comblé) ou lorsqu’il y a une absence de douleur. - Le désir = Ce qui est contingent (occasionnel, incertain, pas quelque chose de nécessaire) : changeant, focaliser sur un objet précis. Pour certains pour être heureux il faut assouvir tous ses désirs. Le désir naît d’un manque, tendance vers ce qui est extérieur, c’est que l’on ne possède pas : Platon : l’objet du désir c’est quelque chose que l’on est dépourvu. Le désir est paradoxal, il veut guérir les blessures

accomplir ses désirs c’est lutter contre la souffrance puisque vaincre le manque et donc atteindre l’attaraxie = bonheur. Le bonheur chez les philosophes Stoïcien est caractérisé par l’absence de maux de l’âme, l’absence de souffrance, Absence de passions et de tensions internes. Le bonheur est nommé par ces philosophes l’ataraxie et est un principe assimilable à un état de l’esprit. Le bonheur stoïcien est défini par l’absence de maux or d’après la définition du désir accomplir tous ses désirs

l’idée du philosophe. Le philosophe lui, veut connaitre ce qui est bon pour la cité et, une fois cette connaissance connue, veut faire ce qui est juste, en dépit de l’opinion du peuple. Alors, quelle est la valeur de la rhétorique ? Semble-t-il qu’elle rend puissant ceux qui la maîtrise. Mais cette puissance a-t-elle une valeur ? Le dialogue comporte trois parties, chacune d’entre elle correspond à un nouveau personnage opposé à Gorgias. Entretient avec Polos, de 461 d à 481 b, Troisième partie avec

Mais le bonheur est-il une somme de plaisirs ? Est-il exact que le bonheur et le plaisir soit une seule et même chose? Le plaisir est certainement une motivation que l'on peut poursuivre, mais y a-t-il des recettes pour être heureux ? Les gens qui « ont tout pour être heureux » ne le sont pas forcément et ce n’est pas obligatoirement une maladresse de leur part. Le bonheur est-il de l'ordre d'une pratique? Le bonheur est-il un simple hasard ? Le bonheur est-il une sorte de grâce païenne qui survient