Passion Destructrice Synthese

toutes les dimensions de l'entreprise et renvoie à la fois aux résultats, à la façon de les atteindre et également à la prise de décision et le contrôle. 1. Le concept de performance Le concept de performance suscite aujourd’hui d’énormes passions et de vives polémiques dans le champ de la pensée managériale. En effet, il apparaît davantage comme une notion fourre-tout, un mot-valise, dépendamment des disciplines ou écoles de pensée auxquelles appartiennent les auteurs. La réalité est qu’aujourd’hui

vous trouvez le décret de la mort violente écrite sur les frontières mêmes de la vie. Il n’y a pas un instant de la durée où l’être vivant ne soit dévoré par un autre. Au-dessus de ces nombreuses races d’animaux est placé l’homme, dont la main destructrice n’épargne rien de ce qui vit. », Les Soirées de St-Pétersbourg. 32. Sigmund Freud « L’homme n’est point cet être débonnaire au cœur assoiffé d’amour (…) mais un être au contraire qui doit porter au compte de ses donnée instinctive une bonne

de revenir à un état antérieur, c’est le retour de l’organique vers l’inorganique, état qui précéde l’apparition de la vie, état neutre. ≠ L’énergie respective de ces deux instincts fondamentaux est la libido d’une part et d’autre part la force destructrice ou agressivité. ces deux forces fusionnent dans le ça. ≡ Cette énergie libidinale au cours du développement dans différents objets. Elle peut donc être étudiée dans cet élément de la libido qu’est la pulsion sexuelle et à partir des objets investis

l’enfant né et grandi avec l’idéologie de la violence véhicule par les jouets, les medias…. Comme le mot l’indique, la violence est le viol de la personne, le viol de ses droits, de sa personnalité, de son corps et de son esprit. Du fait destructrice de la violence, il convient de fustiger le fait d’avoir légitimé et justifié la violence car à partir du moment où elle est légitime, elle devient un droit pour l’homme et celui-ci ne manquera pas de prétexte pour recourir à la violence.

il semble qu’on ne puisse changer rien aux intérêts et aux passions qui jettent les hommes les uns contre les autres, au nom de leurs ethnies, de leurs Etats, de leurs religions, etc. - Or, l’histoire, telle que l’historien nous la révèle, a-t-elle un sens, c’est-à-dire une signification profonde, une cohérence, un ordre, une direction ? Au-delà du tumulte et du bruit, du chaos et du non-sens, est-il possible de penser qu’une synthèse ultime est requis ? Les tragédies de l’histoire ont-elles finalement

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miracle : si vous souhaitez innover, vous devez d’abord ouvrir votre champ de connaissances. Amassez le savoir dans toutes les directions possibles, soyez expert de tout, étudiez, ne laissez pas de répit à votre curiosité. En un mot, travaillez avec passion. En tant qu’illusionniste, j’invente des tours. Pour cela, j’explore, je cherche et associe ensuite des connaissances de toutes natures : l’informatique, le maquillage, les techniques de fabrication. Dès qu’une nouveauté apparaît, je la décortique

donner d’abord » : il faut commencer par accorder sa confiance, si l’on veut que l’autre réponde à cette confiance. On voit donc que le regard que je porte sur autrui (et la manière dont je manifeste ce regard) exercent une influence, créatrice ou destructrice, sur son comportement. Autrui ne détermine pas seulement ce que je suis : il impact également ce que je deviendrai… ou resterai. On comprend alors en quel sens je suis « prisonnier » du regard d’autrui. Car si je ne peux échapper à ce regard

additionner à l’explication de l’autonomie, la notion d’auto-discipline par rapport à l’environnement et aux individus qui le composent. Elle se retrouve ainsi dans une régulation des instincts naturels, qui eux-mêmes sont drainés par les intérêts et les passions individuelles, afin de les équilibrer avec la réalité de la vie. Cela rapproche drôlement l’autonomie de deux autres concepts clés : la tolérance et la différence. En effet, pour être autonome dans le monde d’aujourd’hui, il y a un aspect primordial

(...). ». Mais lors du bal donné pour les fiançailles de Claude de France, la princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un prince d'un éclat considérable dans toute l'Europe. Le roi les invite à danser l'un avec l'autre. Il naît alors une passion dans le cœur des deux personnages que Madame de Clèves s'efforce de combattre, fidèle aux leçons de sa mère, qui la met en garde une dernière fois contre les dangers d'une liaison : « Ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles