Pascal Monarque

régime politique centralisé qui n’est soumis à aucune contrainte, et apparaît souvent sous forme de monarchie. En plus de ce pouvoir absolu, l’Etat monarchique confère au monarque une possession absolu des pouvoirs, sans qu’il y ait quelqu’un ou quelque chose qui puisse le contraindre. On est en présence d’un Etat fort, avec un monarque dont le pouvoir est légitimé par la possession d’un « droit divin ». Ce pouvoir, bien que « divin » et puissant, est contraint par des institutions et des fondements qui

Tudors et précisément par Henri VII. C'est notamment le fils de ce dernier, Henri VIII qui a ordonné en 1531 la séparation de l'Angleterre et de l'Eglise catholique car le pape refusait de prononcer l'annulation de son mariage.A l'heure actuelle, le monarque est toujours le chef de l'église anglicane. La monarchie absolue s'arrete avec la condamnation à mort de Charles Ier en 1649. La République d'Oliver Cronwell lui a succédée. Elle consistait en réalité à un régime militaire dans lequel le parlement

permettre la bonne gestion du royaume ou de l’empire. (chapeau) Ceux sont les Carolingiens qui généralisent l’institution de la vassalité, ils sont plus attirés par la création d’un lien personnel créé par un serment de fidélité liant le sujet au monarque qu’à l’idée d’obéissance envers la chose publique, plus abstraite. L’institution de vassalité permet à un homme libre d’entrer dans la dépendance d’un plus puissant que lui, elle se fait par la commendatio : le vassus se recommande à un senior et

appel aux Etats Généraux. A partir de la convocation de ces Etats Généraux, on a l’impression que la crise est irréversible, que le régime est dans une impasse et que le blocage est inévitable. §1. Rappel préalable : la puissance théorique du monarque absolu Théorie ≠ pratique ; droit ≠ faits. La fin de L’Ancien Régime est une période de grande discordance entre la théorie et la pratique. On parle de monarchie absolue pour dire que le roi est dégagé de tout lien, ce qui veut dire que juridiquement

cardinal qui remplace Richelieu, qui garde une grande partie du pouvoir et garde prêt de lui le jeune Louis XIV, encore jeune. C’est donc en 1661 que Louis XIV accède à son pouvoir personnel car c’est cette année-là que Mazarin décède et que le monarque prend en main tous les pouvoirs. C’est à cette occasion qu’il décide désormais de gouverner seul et garde donc auprès de lui, que quelques ministres proche de Mazarin. Il décide par la même occasion de congédier sa mère, Anne d’Autriche, afin d’être

souverain Guy Coquille affirme dès le début de son texte son intérêt pour l’absolutisme monarchique. Il dit tout de suite que le roi est le seul souverain du royaume, le plus grand, celui qui est au sommet, comme l’explique sa formule « le roi est monarque et n’a point de compagnon en sa majesté royale ». Cette phrase constitue la base de la théorie de Coquille. Il considère que les épouses des rois peuvent être légèrement impliquées dans les décisions du roi (« les honneurs extérieurs peuvent être

française depuis le XVIIe siècle jusqu'à la chute de l'Ancien Régime et aux despotismes éclairés du XVIIIe siècle. Les monarques les plus représentatifs du pouvoir absolu sont :  Philippe II d'Espagne (1558-1598)  Louis XIV de France (1643-1715)  Frédéric II de Prusse (1740-1786), ce dernier étant l'exemple le plus fréquemment évoqué de despote éclairé. Bien sûr, le monarque détient le pouvoir, mais il s’entoure généralement de Conseils qui orientent sa politique ; la plupart du temps ces Conseils

point de vue de ce style chez les écrivains. Ainsi, le goût de l’imitation de la nature passe par le respect de règles précises faites d’ordonnances rigoureuses de la symétrie. Tout en s’exaltant en âge d’or lors du XVII ème siècle. Bien que le monarque contrôle tous les arts pour asseoir son autorité en prétendant être le plus grand mécène de son royaume. Il reste toutefois jaloux des artistes qui s’adjoint auprès de son surintendant Fouquet, comme le Vau, le Nôtre, le Brun ou la Fontaine. Il

Connu notamment pour le Triptyque « Louis XV » et le portrait de Louis XIV en costume de sacre. Rigaud côtoyé les grands ambassadeurs et quelques monarques européens, il était connu pour son talent de portraitiste qui avait ravi la cour et était arrivé jusqu'aux oreilles de Louis XIV. L’œuvre sur laquelle nous allons travailler est une commande du monarque qui souhaitait satisfaire son petit-fils, elle se nomme le Portrait de Louis XIV en costume de sacre peinte en 1701 et est exposé à Versailles,

sa femme et son fils. Bref, il ne pleura point. Un flatteur l’alla dire, Et soutint qu’il l’avait vu rire. 30 La colère du Roi, comme dit Salomon, Est terrible, et surtout celle du roi Lion : Mais ce Cerf n’avait pas accoutumé de lire. Le Monarque lui dit : Chétif hôte des bois Tu ris, tu ne suis pas ces gémissantes voix ! Nous n’appliquerons point sur tes membres profanes Nos sacrés ongles ; venez, Loups, Vengez la Reine, immolez tous Ce traître à ses augustes mânesÂmes des