Pascal Bruckner Téléthon

De nos jours, les médias sont omniprésents dans notre société. A l’exemple du téléthon dont parle Pascal Bruckner, d’autres émissions diffusées à la télévision à but caritatif, ont envahi les programmes habituels. Ainsi, le média télévisuel serait le support d’une nouvelle forme de charité, qui a priori, aurait des vertus distrayantes. Tout d’abord, comme nous le rappelle P. Bruckner, l’acte de charité semble avoir changé de statut. Autrefois, celle-ci était souvent associé à l’acte et au devoir

En ce début du IIIème millénaire, les médias sont omniprésents dans notre société. A l’exemple du téléthon dont parle Pascal Bruckner, d’autres émissions diffusées à la télévision à but caritatif, ont envahi les programmes habituels classées selon ces mêmes programmes en émissions dites de « divertissement ». Ainsi, le média télévisuel serait le support d’une nouvelle forme de charité, qui a priori, aurait des vertus distrayantes. Il s’agit d’en discerner les réels sens et intentions de celle-ci

celle que mènent « les perdants » (l. 27), les plus pauvres. La vie quotidienne de ces exclus est « morne », c’est-à-dire triste, car elle est très difficile, et de surcroît ennuyeuse, sans réel intérêt. Les actions exceptionnelles comme celle du Téléthon, les aides apportées par les associations, ont un effet ponctuel mais ne parviennent pas à améliorer véritablement l’existence des plus démunis. L’auteur souligne la difficulté de leur vie quotidienne en employant le nom « dureté » qui a un double